Halala, les doutes de début de grossesse. Je suis moi-même passée par là, comme de nombreuses femmes enceintes. C’est une fois qu’on a les deux pieds dedans qu’on se met à flipper : mais au fait, je suis prête à être maman ? Franchement pour ma part, je n’ai jamais eu la révélation qui a fait que j’étais certaine de ce que je faisais. Je ne pense pas non plus qu’il puisse y avoir de moment parfait. Ça se fait, bébé a décidé de venir et c’est bien tout ce qui compte. Et vous, comment vous sentiez-vous au début et pendant votre grossesse ? Voici la question (et les doutes) de Jo.
{Question} Enceinte mais suis-je prête à devenir maman ?
Bonjour à toutes,
Après quelques symptômes avant-coureurs, le test de grossesse me confirme ce que je pensais depuis déjà un petit moment : 2 barres, je suis enceinte !
Et moi qui depuis quelques mois traîne avec plaisir sur les articles maternité de La Mariée en Colère, qui suis gaga devant les bébés de mes copines, fond en larmes en regardant les bodys chez Monoprix, me voici tout à coup envahie de milles et un doutes…Oui j’ai toujours voulu avoir des enfants, et oui j’aime mon homme et je suis sûre qu’il sera un père formidable, mais suis-je prête la maintenant, tout de suite, à 27 ans, à m’embarquer dans cette aventure ? A accueillir un enfant dans 9 mois et à être maman pour le reste de ma vie ? A changer de mode de vie radicalement ?
C’est une grossesse plutôt surprise car on n’avait pas vraiment décidé de se lancer officiellement, mais on était de moins en moins vigilants question contraception. Alors du coup ça cogite encore plus dans ma tête : on ne l’a pas vraiment décidé, ce n’est pas le bon moment, j’aime mon boulot et je ne veux pas m’arrêter si vite, j’ai encore envie de voyager, je me sens encore gamine moi-même, comment pourrais-je être une maman ?…
Alors voici ma question : Est-ce que à la découverte de votre grossesse vous vous sentiez prête ? Le devient-on ? Et y-a-t-il effectivement un « bon moment » ou bien « ce n’est jamais le bon moment » et c’est quand même que du bonheur ?
Merci à vous !
Vous avez une question à poser aux lectrices du blog ? Posez là ici.
loulouchat dit
Je trouve le post justement en cherchant des témoignages, sûrement as-tu dû prendre ta décision ? Pour ma part je suis presque dans la même situation. On faisait de moins en moins attention, jusqu’à ce que je dise : » bon, stop les bêtises, maintenant on fait gaffe ! » et zou le mois de juin pendant lequel nous avons été super prudents : SURPRISE ! faisant un test à la va – vite pour 4 jours de retard et des nénés obuesques j’apprends donc que je suis enceinte. J’en étais tellement abasourdie que j’ai failli en vomir. Même si j’ai toujours rêver d’avoir des enfants, je ne m’attendais pas à en accueillir un dans ces conditions. J’ai bientôt 28 et je passe un concours en avril de l’année prochaine, sauf que d’après les calculs ma généraliste, cette petite et heureuse graine de pavot devrait trouver le chemin de la sortie en MARS et je me sens super angoissée !
Le papa est en reconversion pro, et moi toujours étudiante : voilà le tableau
Je n’en dors pas la nuit tant j’ai peur de ne pas pouvoir assurer, et qu’il y ait des répercutions sur mon couple…
Tout ça pour te dire que tu n’es pas seule, et qu’on est jamais prête je crois.
Margaux dit
Si ça peut aider je me souviendrai toujours de ce que mon premier chef m’a dit quelques semaines apres mon arrivée dans mon premier emploi : « si tu attends le bon moment pour avoir un enfant, tu n’en auras jamais ! ». ? Merci chef !
Elsa dit
Cette angoisse est tout à fait légitime et même de bonne augure : comment imaginer que quelque chose d’aussi énorme qu’un bébé puisse débouler dans sa petite vie à deux ? Impossible !
Ma fille est née il y a 5 mois, et même si ma grossesse était attendue depuis un moment, au moment du test j’ai ressenti ce gros doute moi aussi « et si ? » « et si? »… Mais heureusement, la grossesse dure 9 mois et ensuite bébé est là et tout devient plus concret. Le travail devient très secondaire pendant la durée du congé, puis ensuite (en tout cas dans mon cas), on est heureuse de retourner à une vie « normale », c’est à dire notre vie d’avant mais avec un petit supplément.
Les priorités changent, les habitudes aussi : ici on n’allume presque plus la télé, les week-ends sont plus longs, le temps s’écoulent différemment.
Pour les voyages il faut rester assez réaliste et savoir s’adapter. Mademoiselle va faire son baptême de l’air dans 2 mois, et nous planifions notre prochain grand voyage pour l’année prochaine (elle saura marcher, mangera des morceaux…). Et puis… je suis tentée de te dire que la maternité est déjà un sacré voyage en soi !
Bref, vas-y fonce ! Et surtout ne te pose pas trop de questions. Chaque cas est unique, chaque femme, chaque famille… Donc fait les choses comme tu le sens et tout se passera bien 🙂
Caouette dit
Coucou!
Moi perso j’attend toujours d’en vouloir réellement (j’ai 26 ans dans trois mois) et je commence à réaliser que je n’en voudrais peut-être jamais. Pour le moment j’aime ma vie telle qu’elle est. J’adore (mais vraiment j’ai ça dans la peau) voyager aussi et même si on peut voyager avec son enfant, on ne peut pas avoir le même rythme que sans et on ne peux pas forcément tout faire (sans compter qu’on adapte les endroits à visiter c’est à dire parcs animaliers, zoos, ferme educative etc….)-et que certaines activité ont un minimum d’age requis ( saut en parachute, parapente, safari…etc)
. J’aime ma liberté, j’aime le calme, le silence etc…. Et mon compagnon, ma famille et mes amis suffisent à mon bonheur. Je ne ressens aucun besoin d’enfanter. J’adore les enfants (et eux aussi m’adorent) mais je suis aussi contente de les rendre à leurs parents à la fin de la journée! Je trouve que c’est une énorme responsabilité que l’on porte jusqu’à la fin de ses jours et j’aime mon indépendance. Par ailleurs, De plus en plus on retrouve des témoignages anonymes sur les forums sur des femmes ayant regretté d’avoir des enfants. Peut-être que je regretterais de ne pas en avoir un jour mais je préfère regretter de ne pas en avoir eu plutôt que regretter d’en avoir eu. Et puis je pourrais toujours adopter si vraiment c’est trop tard niveau physiologique. Quand on accouche par contre , pas de service après-vente (ben oui on peut pas rendre bébé).
Avoir un enfant, c’est beaucoup de bons moments mais aussi beaucoup de mauvais. Les mères diront que ça en vaut la chandelle (l’oxytocine y est pour beaucoup).
Il faut voir ce don’t toi tu as envie. Demandes-toi dans chacun des cas ce que tu gagnes et ce que tu perds (profite de ton objectivité avant que les hormones ne prennent le dessus). Demande toi pourquoi tu veux avoir un enfant ( beaucoup ne le savent pas ou le font pour de mauvaises raisons comme pour ne pas être seul quand ils seront vieux, parce que tout le monde le fait….etc).
Et la société n’aide pas beaucoup car elle est pro-naissance (grand dieu n’allez jamais dire que vous ne voulez pas d’enfant, on vous regardera comme si vous avez commis un meurtre). Je ne sais pas pourquoi mais apparemment tout le monde se doit d’idolâtrer et d’édulcorer la maternité dans la société. Ceux-là même qui te diront que la maternité c’est que du bonheur seront les premières se confier anonymement sur le fait qu’il regrettent. J’ai plein de petites anecdotes à ce sujet d’ailleurs comme des personnes qui mentent sur le fait que leur enfant font leur nuits et le mari derrière qui dit que le bébé se réveille toutes les deux heures….etc. Bref, tout le monde doit dire qu’ils adorent la maternité et que c’est trop génial tout le temps!
En tout cas, fais comme tu le sens. Tu as le droit de te sentir prête mais tu n’as pas à te sentir coupable si tu ne te sens pas prête. Ce choix t’appartient et impactera ta vie future donc fais ce que toi tu souhaites au plus profond de toi.
Sophie dit
Tout d’abord félicitations pour ta grossesse, tu verras ce n’est pas QUE du bonheur, mais ça vaut vraiment le coup !!
Mon fils a presque trois mois, j’ai donc découvert ma grossesse il y a tout juste un an. Elle était 100% planifiée et je n’avais aucun doute sur le fait que c’était le bon moment dans nos vies pour faire un enfant (boulot stable, maison achetée, c’était l’étape suivante logique). Nous avions nos sorties et nos loisirs mais quand même l’impression de tourner en rond (le même cours de sport tous les lundis soirs, les séries télé le dimanche après-midi, pff …) et l’envie de consacrer ce temps à un bébé, de le voir s’éveiller.
Tout ça pour dire que je croyais avoir tout compris et tout anticipé, mais que ça ne s’est pas vraiment passé comme prévu.
Déjà, j’ai appris quelques jours après avoir appris ma grossesse que j’avais fait une séroconversion à la toxoplasmose aux environs de la date de conception donc pour LE bon moment on repassera ! Vive l’angoisse pendant les 4 premiers mois jusqu’aux résultats de mon amniocentèse. Toutefois, c’est toute cette inquiétude que nous avions pour lui qui a fait que nous savions, dès le départ, dans nos tripes, que nous étions ses parents et que nous étions prêts, vraiment prêts.
Aujourd’hui il est en bonne santé. Comme prévu c’est génial de le voir s’éveiller. Ca reste ultra fatigant, bien plus prenant que je n’avais pu l’imaginer, et mes cours de sport me manquent, et j’ai trois mois de retard sur les séries que je regarde habituellement, et c’est la galère pour sortir faire la moindre course, … mais je ne voudrais pas revenir à « avant lui ». Je ne voudrais pas revenir à mes dimanches après midi de séries télé, je préfère jouer 1000 fois à la petite bête qui monte, et me péter le dos à monter la poussette pour aller faire une balade. Bon je suis quand même contente quand il dort 😉
Nathalie dit
Moi j’ai une technique pour aider à accepter plus vite le changement de vie : faire la liste de tout ce qu’on aime dans notre vie sans enfant et voir comment l’adapter à une vie avec enfant.
Exemple:
– ton boulo, tu l’aimes ! tu ne vas pas le perdre tu sais, juste t’arrêter quelques mois… et tu n’auras même plus envie d’y retourner après 🙂
– tu aimes vraiment beaucoup sortir le soir ? bon oublie les toutes premières semaines mais commence à réflechir à une liste de babysitter potentielles, plus la liste sera longue avec leurs numeros, plus tu seras sûre de pouvoir continuer à sortir
– tu aimes voyager ? c’est large « les voyages »,il y en a plein de types différents.
Tu voulais aller où avant de savoir que tu étais enceinte ? Bali (dis au pif) ? bon et bien renseigne toi sur bali, écume les blogs de famille et prévois un voyage pour l’été 2017 ! Tu as des blogs comme les petits globe-trotteurs avec plein d’idées de voyage avec bébé/enfant et le site les petits baroudeurs qui vend tout ce dont tu peux avoir besoin.
C’est une réalité : on peut voyager avec des bébés/enfants mais encore faut-il prévoir et se lancer !
– Tu aimais faire des treks ? là, c’est plus compliqué. La plupart des gens qui faisaient beaucoup de trekking change pour la cyclorandonnée quand les enfants sont petits. Une remorque enfant et c’est partie pour de fabuleuses aventures en famille en France, en Europe ou à l’étranger.
Bref tu as des rêves ? Vous aviez des projets à 2 ? et bien tu as 9 mois pour te renseigner et les adapter pour 3. Ca soulage beaucoup les angoisses de changement de vie! après, il faut de la volonté pour réaliser ces projets car finalement, à la maison, dans cette nouvelle vie, on n’est pas si mal avec nos petits amours….
Juliette dit
Je te rassure, à moin davoir grandit chez les mormons avec 12 frères et soeurs de tous âges..on est jamais vraiment prêts à avoir un enfant!
Comment être prêt pour quelque chose qu’on ne connaît absolument pas?
Tu verras à la naissance de ton petit bout tout sera naturel ( non ce n’est pas de la magie, mais beaucoup de chose seront evidentes : les couches, le lait…le b à ba quoi!)
Tout le reste ce construira petit à petit..
Pas de stress, cool et tout ira bien!
Pour l’anecdote, je suis maman depuis 3 semaines et je me posais les même questions, et finalement tout les jours j’apprend à le connaître un peu mieux, mes reflexes se mettent en place ..et je suis étonnée d’y arriver aussi « facilement »car j’étais vraiment une grosse maladroite avec les enfants de mes amies!!
Popie dit
Je te rassure, même quand on pense être prêt (moi quand on a arrêté de se protéger je pensais que ça roulerait tout seul), on a un gros coup de flippe quand on l’apprend ! J’ai mis 4 mois à me sentir mieux (on se pose des questions et en plus on subit les hormones ça n’aide pas !). Et quand j’ai senti mon fils bouger ms doutes se sont envolés, il y a eu d’autres doutes après mais rien à voir avec la frousse que j’ai eu à départ (grossesse voulu et je me suis quand même demandée si on aurait pas du attendre et même si j’aurais pas du mettre fin à la grossesse, alors qu’aujourd’hui je suis tellement heureuse avec mon fils et tellement heureuse d’avoir changé de vie!)
Sophie dit
Je rejoins Popie dans son témoignage.
Il y a presque 7 mois, j’étais sur mes toilettes, le test à la main … et même si on s’y était préparés, j’ai eu un petit frisson. De me dire que ma vie allait complètement changé. J’en ai déjà parlé à mon mari … et ça fait du bien, les hommes sont si rassurants.
Et comme Popie quand j’ai senti bébé bouger tout est venu d’un coup : l’amour de mon bébé, et donc l’envie d’être mère et d’accepter le changement de vie.
Bonne grossesse, profites en le temps passe si vite.
Jaimepaslespseudos dit
Salut Jo, c’est fou je suis exactement dans la même situation que toi et déjà ça me fait beaucoup de bien de te lire et me rendre compte que je ne suis pas la seule à vivre ça. J’ai appris ma grossesse il y a 2 semaines et j’ai totalement flippé… Mon mari lui était plutôt ravi de la nouvelle. Moi aussi je ne veux pas arrêter de travailler, je veux encore voyager et garder ma liberté de jeune femme « insouciante ». J’ai 25 ans et comme toi on avait baissé la garde niveau contraception mais j’affirmais à tout le monde que je n’étais pas prête, car oui après mon mariage (l’année dernière, et même avant ça…) tout le monde me demandait « alors c’est pour bientôt?? ». Ce qui avait le don de sérieusement m’énerver !
Bref, j’ai pleuré pendant 1 semaine parce que j’étais totalement perdue… Une vraie bipolaire car à un instant je pensais au bonheur de porter la vie et j’étais presque émerveillée devant mon écho de datation (où on ne voit rien) puis 5 mn après je pleurais en songeant à avorter. J’ai beaucoup parlé avec mon mari, beaucoup pleuré et j’avais surtout besoin d’être rassurée car les mots de mes amies n’avaient pas d’impact, seuls ceux de mon mari ont pu m’apaiser et calmer mes angoisses/peurs/questions. Puis après plusieurs discussions et une engueulade aussi… Je me suis réveillée un matin en ayant enfin pris la décision de le garder et en arrivant pour la première fois à m’en réjouir et à être heureuse d’attendre un bébé 🙂 Et pour répondre à tes questions : Non je ne me sentais absolument pas prête et je répétais ça en boucle mais y a-t-il un bon moment ? Je ne sais pas. Je suis maintenant à 1 mois de grossesse et je flippe, j’ai du mal à croire que j’aurai un bébé en janvier mais il me reste 8 mois pour m’y préparer et je pense que je saurai que j’étais prête quand je l’aurai dans mes bras. Car finalement, je suis tatie depuis que j’ai 10 ans, j’ai pleins de nièces/neveux et que je sais que je sais m’en occuper parce que j’avais déjà cet instinct étant gamine alors il est toujours là en moi caché derrière mes angoisses. Après porter, mettre au monde et élever un enfant, non ça n’est pas QUE du bonheur mais je pense que n’importe quelle maman, en tout cas toutes celles avec qui j’ai discuté, te dira que les sacrifices en valent largement la peine. Et puis faire une IVG et vivre avec ce poids… ça n’est pas anodin et pour se lancer, il faut être sure de son choix à 100 %. Personne ne peut te dire quoi faire, c’est à toi seule de trouver la réponse mais en parler (surtout avec ton homme) ça aide… Bon courage
cha dit
Ta question est légitime, alors non il n’y a pas de bons ou mauvais moment, on est jamais réellement prêt, et même quand on croit l’être, on planifie, on programme, et rien ne se passe comme prévu!
Alors pas d’inquiétude, toutes les futures mamans se sont posées cette question, tu en auras d’autres, même une fois bébé là, tu en auras d’autres, et encore, et toujours.
J’aime à croire que ce sont ces questionnements qui font que nous sommes des mamans, parce que, après tout, on s’inquiète et on se pose des questions pour ceux qu’on aime, alors quoi de plus naturel que de se poser des questions sur notre/nos enfant?
Profite de ta grossesse, ça passe vite, et puis bonne continuation 😉
Marine dit
Coucou. Saches que ce n’est jamais vraiment le moment de faire un enfant. On peut toujours trouver 1001 excuses. Et je pense qu’on est jamais vraiment prêtes. On a 9 mois pour le devenir. J’ai déjà écrit plusieurs témoignages sur La Mariée en Colère notamment sur ces doutes par lesquels on passe toutes. Tu n’as pas fini de te poser des questions mais cet enfant tu l’aimes déjà et tu vas l’aimer de plus en plus. Et puis tu pourras plus t en séparer et tu te demanderas comment tu as pu vivre sans. Alors oui il va fouttre le boxon dans ta vie je te le cache pas mais comme tu le dis vous aviez baissé la garde sur la contraception…c’est déjà un désir d’enfant caché : ) Profites à fond de ta grossesse. Ce n’est que 9 mois. C’est long et court à la fois. C’est à la fois cool et chiant comme état. Toutes mes félicitations.
Julia dit
Quand je suis tombé enceinte, j’avais 20 ans. Je suis sortit des toilettes avec mon test à la main et des larmes plein les joues. J’étais pas prête, je ne voulais pas.. Je crois qu’on à beaucoup le même ressenti quand le test parle enfin. Je pense aussi qu’on serait folle de ne pas avoir peur, de ne pas se poser de questions. Mais maintenant ma fille à 2 ans et demi, et je sais qu’on est jamais vraiment prêt, mais que pour rien au monde je ne changerais ma vie dorénavant.
Tri3nu dit
Et moi c’est tout le contraire! On va commencé les essais bébés tout soudain et j’arrive totalement à me projeter avec un enfant! Grâce à des amies déjà mamans qui sont très franches avec moi, je peux me rendre compte des sacrifices mais je suis prête!!!
Par contre, je ne me projette pas du tout dans une grossesse. Je n’arrive pas à m’imaginer avec un gros ventre, sentir un être bouger en moi. Ce qui fait que je suis un peu dans un déni de comment cela pourrait se passer.
Je ne sais pas s’il y a un déclic à un moment, des amis qui ont 3 enfants dont une fille de 5 ans m’ont dit cet été: c’est bizarre de devoir aller à l’école pour une réunion parents/prof…On n’a pas la sensation d’être des adultes.