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Sandra est atteinte du syndrome OPK. Après quelques temps elle finit par tomber enceinte. Sauf que très malade, elle se sent extrêmement mal. Voici son témoignage.
{Témoignage} Enceinte mais tellement mal dans ma peau
Avec Doudou cela fait maintenant 7 ans que nous sommes ensemble déjà ! Dès le début la question des enfants était sur le tapis : lui en veut plein et assez jeune si possible, et moi non, je n’arrive pas à me projeter assez loin pour me voir avec un petit ventre, avec un enfant plus tard c’est trop loin.
Et puis un jour au tout début de notre relation je fais un gros kyste aux ovaires, urgence, hospitalisation et tout ce qui va avec. Quelques semaines plus tard, lors de mon dernier rendez-vous pour une échographie, je vois un gynéco que je n’ai jamais vu et là sans prendre de gants il m’annonce que si un jours je veux avoir des enfants il faudra passer par la case PMA car je suis OPK ! Du haut de mes 15 ans, les jambes écartées je ne comprends pas très bien ce que ça veut dire et à cette époque la question des enfants n’est pas d’actualité donc je ne réagis pas vraiment et mets cela de côté dans ma tête. Nous avançons dans notre relation et cette question de bébé arrive petit à petit et un beau jour on se lance. J’arrête la contraception (un implant) et on commence comme beaucoup de personnes sans forcément faire d’examen ni rien. Au bout de presque un an toujours rien, je prends mon courage à deux mains et regarde ce que c’est que ce syndrome OPK. Je ne m’étais jamais vraiment renseignée et je prends une petite claque. J’appelle mon gynéco qui me dit qu’il faut passer des examens. Suite à cela il me confirme que je suis OPK, mais me rassure en me disant que ce n’est absolument pas grave mais que forcément une aide est mieux. On commence le suivi au CHU et même si ce suivi n’a pas duré longtemps il a été très dur pour moi car je déteste les hôpitaux, prendre des cachets et tout ça, donc une vraie épreuve pour moi. Mais miracle, au bout de la première injection ça marche !! Je suis enceinte ! Que du bonheur. Mais dès la première semaine je me sens mal. Nausées, seins qui gonflent, mal de dos, mal de tête, vertiges, perte de connaissance, vomissements, je suis au bout du bout je perds 10 kilos en même pas un mois… Alors oui je suis très très contente de devenir maman mais pas d’être enceinte. Je suis allongée tout le temps, j’ai du mal à tenir quelque chose dans les mains, je n’arrive plus à me laver toute seule, ni à marcher ni rien. C’est un vrai calvaire. Je me suis déjà faite hospitaliser mais presque rien n’a changé. Au lieu de vomir plus de 20x par jours je ne vomis QUE 15x, c’est un début ! Mais c’est dur, le temps est long, je suis épuisée physiquement et psychologiquement… Alors des jours je me demande si au final ce n’était pas un signe du destin. Si nous ne sommes pas allés à l’encontre de la nature en la forçant pour faire cet enfant. Je sais, mes pensées sont dures mais je n’y peux rien, je regrette toujours de penser cela mais je me demande pourquoi le sort s’acharne sur moi, sur nous. Le plus dur c’est aussi le regard des autres, de la famille, ils ne comprennent pas pourquoi : « t’es triste alors que tu vas donner la vie, sois heureuse, t’es pas la première ni la dernière« . Alors oui c’est vrai je ne suis pas première ni la dernière mais à ce moment-là je fais mon égoïste et je ne pense pas aux autres. Bien que je ne sois pas la seule au monde à être mal, je suis quand même seule chez moi, à dépendre de tout le monde car je suis tellement faible que j’arrive tout juste à marcher. Je suis seule chez moi à mettre plus de 30 minutes pour boire un verre d’eau car j’ai du mal à tenir des choses en main. Je suis seule chez moi à pleurer tous les jours car je suis seule tout le temps avec tous ces problèmes. Je n’arrive plus à être positive, à sourire, j’ai l’impression de me laisser mourir.
Le pire c’est que je suis au début de mon 4ème mois et je suis déjà au bout du rouleau je ne sais pas comment je vais être à la fin …. Le seul point positif c’est quand j’ai une échographie et que je vois notre bébé qui est lui en pleine forme. Le voir bouger comme un fou dans mon ventre me fait vraiment du bien. D’un côté j’espère être la seule dans cet état car je ne le souhaite à personne mais d’un autre j’aimerais ne pas être seule pour pouvoir me dire que ce n’est pas SI dramatique après tout. Avez-vous déjà ressenti cela ? Merci pour vos réponses les filles.
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J’ai été touchée par ton témoignage. Enceinte après un an d’essai , les symptômes ont commencé à peine le test positif. Les très fortes nausées ont duré une quinzaine de jours, vite remplacés par les vomissements incoercibles au bout de 3 semaines.je vomissais une dizaine de fois par jour. Les transports étaient un enfer, les repas un supplice alors que j’étais gourmandes. J’étais tout le temps fatiguée et au bord des larmes. J’ai été arrêtée puis hospitalisee, sous perfusion car je perdais trop de poids (j’étais à 45 kg mais le bébé allait bien). J’ai un un traitement à base de doxylamine, qui m’a soulagée quelques jours, puis des anti vomitif. J’ai réussi à reprendre le dessus à près de 5 mois et demi de grossesse. J’ai ressenti la culpabilité (certains professionnels de santé qui doutaient de mon envie de cet enfant), l’incompréhension (la famille qui pensait que j’en faisais « trop »)… bref , ça a été très difficile. Aujourd’hui, mon bébé a 6 mois et j’ai totalement occulte ce qui a trait à ma grossesse. Mais je ne regrette pas mon petit bonhomme qui m’a fait oublier cette année « gâchée «
Bonsoir,
Tout d’abord félicitations pour ta grossesse même si elle ne se passe pas au mieux…
Je suis OPK mais diagnostiquée à 30 ans après une première fausse couche. Grosse claque d’apprendre ça aussi tard, on me dit que je vais galéjer, que je ne pourrais surement pas y arriver sans aide PMA. Finalement 4 mois après la fausse couche, je retombe enceinte. Aujourd’hui j’en suis au tout début à 6 semaines, je flippe de refaire une fausse couche, je n’en parle à personne et pourtant j’ai des nausées et des vomissements à longueur de journée, c’est épuisant. Mais j’essaie de me dire que si j’arrive à mener cette grossesse à terme ça sera tellement chouette.
J’espère vraiment arriver jusqu’au bout et je souhaite que ta grossesse s’améliore avec le temps, dans quelques mois tu seras toute ravie d’avoir ton bébé avec toi, très bon courage pour ces prochains mois, on les oubliera après, tiens le coup, le jeu en vaut la chandelle (parait-il 😉 )
Coucou moi aussi j’ai (un peu) galéré …je suis moi même passer par une PMA. Après 5 tentatives et deux fausses couches précoces je suis enfin enceinte de 10SA (8semaines de grossesse), j’ai des nausées et une fatigue présente 24/24 mais j’ai toujours peur de refaire une fausse couche. Je suis donc en arrêt depuis l’annonce de ma grossesse pour ne prendre aucuns risque (tous les médecins qui me suivent m’ont dit d’être en arrêt). Je suis toute la journée toute seule à la maison, deux personnes de mon entourage sont au courant et nous avons tellement peur de s’avancer que j’en parle à personne d’autres…. Même avec mon mari nous n’en parlons pas… on attend le 3eme mois pour se projeter mais c’est très dur… Même après 3mois il n’y a pas 0 risques mais il faut qu’en même profiter de sa grossesse.. en espérant que les nausée disparaitront…. courage a vous toute
Bonjour Sandra,
Je ne suis pas OPK, mais j’ai une maladie auto-immune pas sympa, toute ma vie les médecins m’ont répété qu’il allait être difficile de tomber enceinte, voilà un peu plus d’un an que j’ai rencontré l’homme de ma vie, et comme une grosse farce, le 01 avril 2016 j’apprends que je suis enceinte, après 15 jours de douleurs en tout genre, vomissements, et forte fatigue.
Comme je te comprends, à partirez de ce moment j’ai vomi 20 fois par jour, ma tension est descendu à 9, et j’ai perdu près de 15kg… en 1mois… l’enfer! Personne ne peut se douter à quel point le désarroi que l’on ressent est puissant, j’étais seule comme toi à me battre pour ma survie, alors que ce petit être grandissait dans mon ventre, je voulais qu’il parte tellement j’étais à bout de force et pourtant c’était inespéré! Mes seuls moments d’apaisement étaient comme toi les éco ! Bref au bout de 4,5 mois de grossesse les symptômes ont cessé brutalement, et pour cause ma petite fille etait décédé… je peux te dire que là j’ai vraiment regretté de ne pas vomir encore et encore, de ne plus avoir mal… la culpabilité vis à vis de mes proches etait terrible, et puis le temps fait son œuvre, aujourd’hui je pense que j’ai vécu la pire épreuve de ma vie, et j’espère guérir de tout ça… la seule solution que j’ai trouvé pour tenir dans ta situation c’est manger des compotes et des craquettes, en trés petite quantité tout au long de la journée même quand tu as envie de vomir, de bons bains chauds aussi, et un homme solide à tes côtés, surtout écoute toi, laisse les gens penser ou dire ce qu’ils veulent, toi seule sait! Bon courage
Bonjour Sandra,
tout d’abord je tiens à d’adresser mes félicitations pour le joli bébé à naître, puisque c’est la finalité mais aussi la raison du début.. bref je me comprends 🙂
Je ne prétends pas savoir ce que tu ressens physiquement, car comme Caro, je n’ai pas eu de complications lors de mes grossesses. Par contre psychologiquement, sache que tu es loin d’être la seule à ne pas supporter l’état de grossesse, et cela est au final parfaitement compréhensible ! on ne se reconnait plus, tant physiquement que moralement, tout le monde n’a d’yeux que pour « ton joli petit bidou » et les discussions autour des nausées matinales, de la péridurale ou du choix d’allaiter ou pas .. ça va un moment. On est aussi une femme sous ce tas d’hormones (et de cellulite) et on n’a pas forcément envie de ne parler que de pertes blanches, de kilos pris, du nombre de fois où on a vomi dans la journée, de la grosseur de nos chevilles ou si on a des montées de lait ou pas. J’imagine que de ton côté, tu es obligée de rester seule à la maison, donc fatalement tout ce que tu ressens est accentué c’est normal, et surtout les mauvaises sensations. As-tu des amis, de la famille qui peut venir te rendre régulièrement visite ? pour t’aider, discuter avec toi, te faire rire .. ?
Par ailleurs tu ne dois pas culpabiliser de ne pas t’épanouir, ni te dire que c’est le destin qui te « fait payer » le fait d’être passé par la PMA alors que ton corps à la base n’y arrivait pas seul. Sinon tu imagines que devraient dire toutes les personnes qu’on réanime par défibrillateur ! 😀 La science a fait des progrès énormes, tu as eu raison d’en profiter.
Je n’ai qu’un mot à te dire: patience. Je sais, c’est nul, mais il n’y a pas de remède miracle. Il faut attendre que ton petit bout grandisse, et soit suffamment fort pour ne plus avoir besoin de tes réserves pour sortir comme un grand. Et puis tu vas bientôt le sentir bouger, et là tu seras déjà moins seule la journée. C’est bête mais moi ça me faisait ça, je sentais mes filles donner des coups de pieds et du coup je jouais avec elles en gratouillant le ventre et elles répondaient comme cela. Bref ça aide aussi à relativiser son propre sort de savoir que si on endure cela c’est parce qu’on passe au second plan maintenant… 🙂
Mine de rien, même si c’est « bateau » : essaie un peu de profiter, ne serait-ce que qq minutes par jour. Car crois moi, même si on déteste la grossesse, quand on ne l’est plus, ben ça manque (bon ok, je dois aussi être un peu maso mais bon). Et tu oublieras ce que tu as vécu… jusqu’à la prochaine grossesse si tu en as une.. et là tu te diras « mais bon sang je le savais pourquoi j’ai fais çaaaaaa??? ». Et puis tu réoublies 🙂
Si je t’ai fais rigoler, tant mieux, c’était le but, au moins tu ne t’es pas sentie mal pendant 5 minutes.
Bon courage et prend bien soin de toi.
Merci pour ton petit mot, personnellement j’ai rigolé et ça m’a fait du bien 😉
Je ne suis qu’à 6 SA, mais c’est ce que j’avais besoin d’entendre 🙂
bonjour,
Je suis OPK, je suis tombée enceinte (naturellement) après 2 ans d’essais. J’ai été très malade et fatiguée jusqu’au début du 5ème mois.
Ce qui a arrangé les choses ? j’ai arrêté le travail. La fatigue et le stress en moins ont fait qu’en 2 semaines je n’avais plus ni fatigue (je pouvais me reposer n’importe quand dans la journée), et presque plus de ces affreuses nausées.
je te souhaite bon courage !
Bonjour Sandra,
je ne sais pas si ça peut te « rassurer » mais sache que moi-même, même en n’ayant aucun problème de santé ou de grossesse particulier, j’ai détesté être enceinte. Je n’ai jamais réussi à être cette maman « bisounours » ni même ressentir cette béatitude que toute femme normalement constituée devrait ressentir (dixit les diktats de la femme parfaite).
Le seul conseil que je puisse te donner, c’est de ne pas hésiter à faire appel à un ou une psychologue pour en parler. Mon conjoint m’a regardée de travers quand j’ai commencé à en parler mais au final, il s’est rendu compte que ça m’avait fait beaucoup de bien. J’en avais besoin car, malgré son soutien, je n’arrivais pas à me sortir de cette dépression post-partum qui avait commencé pendant la grossesse.
Je te souhaite aussi bon courage et espère que tu réussiras à retrouver un peu de sérénité dans peu de temps.
Sandra,
Je ne prétend pas comprendre ce que tu traverses, à côté de toi mes soucis de grossesse semble futiles!
Loin de ma famille et de mes amis, je suis arrêtée depuis un peu plus d’un mois, et jusqu’à la fin. J’ai une phlébite, j’ai fait un palu, et quand enfin ça s’est plus ou moins calmé, j’ai repris le boulot et j’ai fini aux urgences, contractions alors que je ne suis qu’au tout début du 6eme mois!
Je comprend en revanche parfaitement bien ce que tu ressens, cette sensation d’être prisonnière d’un corps qui réagit pas « comme il devrait », ces longues journées toute seule à la maison où tu déprimes, tu pleures, tu te poses un milliard de question, tu culpabilises…
Et l’entourage qui ne comprend pas forcément, ou qui te sors des trucs du genre « c’est pour la bonne cause, plus que 3 mois à tirer, et puis bb va bien c’est l’essentiel »..
Tu as le droit de te sentir mal, tu as le droit d’en vouloir à ton corps, mais pdt dessus tout, tu as le droit d’être y peu égoïste. Et puis si tes visites chez le gyneco et le fait de voir ton petit bout grandir et bouger comme il faut t’apporte du réconfort, alors tout n’es pas perdu, lol!
C’est une très longue et mauvaise période à passer, n’hésite pas à te rapprocher d’un pro, psycotherapeute, hypnotiseur, ou autre. Vraiment ça aide. Cela pourrait t’aider à éviter de culpabiliser après l’arrivée de bb, et à te livrer sans peur de jugement ou autre. Vraiment, ça aide.
Un masseur (ou masseuse) peut aussi t’aider à te sentir mieux dans ton corps. N’hésite pas à demander à ta sage femme..
je te souhaite bien du courage, et surtout n’oublie pas qu’il y a des pris qui sont là pour aider à mieux vivre ces moments difficiles, qui renauderont à mettre des mots sur tes émotions ou tes sentiments..
Alors là ! je suis sur les fesses, ton histoire c’est la mienne..
Gros kyste a 15 ans on m’annonce OPK (par contre j’ai changer d’amoureux plusieurs fois moi lol) je met un implant et l’enlève pour mon homme actuel, on me rediagnostique OPK, PMA bonjour, ca a également fonctionné du premier coup pour nous !
Bref la suite est également quasiment la même que la tienne, vomissement, à 5 mois je ne pouvais plus marcher, j’ai eu le dos bloquer 2 fois a 6 mois et 7 mois (quand on porte un bébé c’est dur d’être bloqué du dos) je suis tombée malade n’ayant pas pu me soigner j’ai tousser et pas pu travailler pendant 1 mois et j’ai vomi jusqu’à l’accouchement, bref autant te dire que j’ai vécu 9 mois d’enfer…
Et tu sais quoi ? Bah je recommence mdr
Tout ca pour te dire que malheureusement face aux maux de grossesses nous ne sommes pas égales (dans mon entourage j’avais une femme enceinte de jumeaux qui se portait à merveille) que ce n’est pas facile, que peut être tu ne t’épanouira jamais pendant ta grossesse (on m’as dit que si pendant que bébé bougerais, bah non ma fille me faisais très très mal et je n’appréciais pas ca du tout), mais ce n’est pas grave, ne te sens pas mal face à ca, qui aimerais en baver autant honnêtement ?
Ne te culpabilise pas, et essaye de la vivre au mieux que tu peux, un conseil vu que tu souffres, surtout ne te prive de rien, ne te frustre pas, c’est déjà pas évident.
Courage à toi en tout cas.
Dans mon entourage, il y de jeunes mamans (enceintes en même temps) qui ont détesté être enceintes ! L’une d’entre elles a eu une grossesse compliquée du début à la fin (nausées +++ et pertes de sang au 1er trimestre et alitement complet au 3ème avec MAP dès la fin du 6ème mois !!) ; même son accouchement n’a pas été de tout repos. Elle a mis du temps à s’en remettre, elle s’en est voulu de voir son corps si mal réagir à ce qui aurait du être la plus belle des aventures. Sa fille aura un an dans 3 semaines et elle va désormais mieux. Le premier trimestre est souvent très éprouvant, j’ai pu le constater autour de moi. Je te souhaite que le fameux « regain d’énergie » du deuxième trimestre passe par toi et que tu retrouves du plaisir à bouger et (tout simplement) à être enceinte. Je te souhaite beaucoup de courage !!
Je suis enceinte, sans aucune complication. Je n’ai eu ni nausées ni gros symptômes douloureux, et pourtant je ne me sens pas heureuse d’être enceinte… je suis heureuse d’attendre un nouvel être humain, mais je serai contente quand ma grossesse sera finie… alors je te comprends, si en plus tu souffres ou que tu as d’autres désagréments , je dirais que c’est normal de ne pas trouver ça épanouissant ! Et ceux qui font des remarques devraient simplement réfléchir à ce que ça peut faire de ne plus maîtriser son corps comme d’habitude, de se sentir démunie… et à celles qui ressentent un épanouissement pendant la grossesse profitez-en, mais ne pensez svp pas que c’est le cas pour toutes les futures mères (ou pire, penser qu’elle ne désirait pas son enfant ou autres idées totalement indépendantes des sentiments de la grossesse…). Courage et bisous