Coralie est déjà l’heureuse maman d’un petit garçon. Mais maintenant qu’il a 3 ans, la question de faire un second bébé se pose pour elle. Elle vous présente sa réflexion, les pour et les contre dans son témoignage.
Témoignage : Se poser la question du deuxième bébé
Bonjour à toutes et à tous,
Les 3 ans de Loulou ont sonné depuis quelques mois déjà.
Il est rentré à l’école, il est propre, de plus en plus autonome.
Les travaux de la maison seront bientôt terminés.
Et la question, insidieuse, vient germer :
Et si on faisait un petit deuxième ?
Chez moi, si je devais reformuler, ça se traduit par « J’écoute mon cœur ou ma tête ? »
Ma raison est plutôt dans le contre un petit dernier et me dit :
« Ça y est, tu es enfin sortie des 3 premières années, plus de couches, plus de nuits sans sommeil (ou presque!), plus de déplacements qui prennent l’allure de déménagements ! Tu vas retrouver un peu de temps pour toi, aller aux toilettes seule (youhou!!), tu vas partager avec ton fils des activités de grands, un peu plus intéressantes que les gazouillis que vous échangiez à travers les barreaux de son parc. Tu veux vraiment retourner dans cette galère ?
Tu veux que je te rappelle dans quel état tu étais les premiers mois ? Les prières que tu faisais pour sortir de ce cauchemar ?
Tu te rappelles les engueulades de couple pendant le terrible two pour savoir lequel aurait la meilleure solution à proposer face à la tornade qu’ils avaient en face d’eux ? Tu veux tuer ton couple en fait c’est ça ? Et le salaire de la nounou, tu t’en souviens ?
Avoue que maintenant qu’il est à l’école, tu respires un peu mieux quand même niveau finances ! Alors c’est ça que tu veux, te couper un bras pour arriver à faire garder le petit dernier ou alors arrêter de travailler, toi pour qui l’épanouissement en dehors du rôle de maman et l’indépendance financière est un combat quotidien.
Et ta patience légendaire avec un seul enfant, tu vas faire comment avec un deuxième ? Tu vas devenir un monstre hurlant dans toute la maison ?
Et comment tu vas faire pour vivre des instants privilégiés avec loulou avec un bébé dans les bras ? Vas-tu accepter que le centre de ta vie n’en soit plus tout à fait le centre, de faire des sacrifices pour lui, car tu devras t’occuper du bébé ?«
Et mon cœur, lui plutôt pour un second bébé de répondre :
« Ne t’inquiètes pas, les choses seront plus simples cette fois, tu ne l’accueilleras pas dans la même situation, tu seras plus sereine et puis avec le deuxième, on se met moins la pression qu’avec le premier. Tu seras plus cool, moins dure envers toi, aussi. Le lâcher-prise ça s’apprend. Et puis je sais que tu fonds déjà à la seule pensée de loulou transformé en grand frère couvrant de bisous son petit frère ou sa petite sœur.
Tu les imagines grandir ensemble, t’attendrir de leur complicité.
Tu rêves déjà de cette famille à 4 branches, c’est ce que tu as toujours souhaité. Un 2ème bébé comme un cadeau au 1er aussi. Offrir à l’aîné un compagnon de vie, comme toi avec tes sœurs. Ne pas lui imposer cette solitude forcée de l’enfant unique« .
Et puis, en plus de ma raison et de mon cœur, il y a l’entourage qui donne son avis sur la question.
Ah l’entourage, si sûr de lui, divisé en deux clans distincts :
Il y a ceux pour qui il est inconcevable de ne pas faire de deuxième enfant (voire un 3ème, un 4ème ou une équipe de foot !) au risque que ton fils se transforme en un être égoïste et insensible, et qui ne se gêne pas pour te le répéter à chaque occasion « Il serait moins sur toi s’il avait un petit frère », ou « Il apprendrait à prêter si… » ou « Il ferait moins de caprices si… ».
Oui j’en ai des catalogues des comme ça.
Le 2ème bébé comme un remède à tous les maux du premier !!
Et puis, il y a l’autre clan, les magnifiques optimistes « Non mais il faut être fou pour faire encore des enfants dans ce monde. T’as pas peur qu’il soit au chômage ou qu’il se fasse embrigader par des terroristes ».
Ben, en fait, tu vois j’ai peur de beaucoup de choses, mais c’est pas forcément ce qui me serait venu en premier !
Et moi au milieu, je ne sais pas, je ne sais plus. Ce qui était une évidence s’est transformé en un tourbillon de questions.
J’ai peur, peur que ça soit trop pour moi, que je ne sois pas capable d’assumer.
Peut-être que je veux trop, que je veux tout. Je veux un bébé mais sans détruire mon couple.
Je veux un second bébé mais conserver ma vie de femme
Je veux un deuxième bébé sans mettre nos comptes en banque dans le rouge.
Je veux un autre bébé mais continuer à profiter de mon petit garçon.
Est-ce que toutes ces questions, ça veut dire que je ne suis pas encore prête, que j’ai encore besoin de temps ?
Oui mais cette putain de machine biologique, elle s’en fout, elle que j’ai besoin de temps. Elle file, à toute allure.
Ou est-ce que parfois il faut faire taire ses peurs et se laisser porter, parce que finalement, sans essayer, on ne saura jamais.
Car au fond de moi, j’en reste persuadée, je ne me sentirai complète que quand tu seras là, petit bébé. Il y a déjà de la place pour toi, dans mon cœur et dans ma vie.
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FilouBidou dit
Bonjour Mamounette,
Merci pour votre réponse et conseils. Je suis justement en psychothérapie cognitive + homéopathie et j’éprouve un besoin d’en parler un maximum pour comprendre ce qui m’arrive, pourquoi je suis comme ça, est-ce que je suis une bête bizarre, des soutiens et d’avoir des retours d’expériences.
J’ai beau me répéter qu’il n’y a rien de grave, que je suis plutôt chanceux au contraire (tout n’est pas rose mais beaucoup de voyant sont au vert), mais non ça ne veut pas. Je culpabilise et j’ai l’impression que je ne vais pas y arriver, qu’il n’y aura plus de plaisir/bonheur mais que des corvées. Je culpabilise pour ma grande aussi, j’ai l’impression que je vais la brider dans son évolution en ne pouvant pas faire cette activité ou celle-là avec elle. Parfois le mal-être est tellement violent que je me dis dit ce qu’il ne faut pas ce dire… heureusement la prénom de ma fille suffit pour dire NON NON NON.
Je suis quelqu’un qui aime maitriser son environnement, alors forcément l’arrivée du second enfant fracasse ce désir.
Là ou je me dis que c’est encore plus étrange, c’est que j’ai exprimé le désir en premier d’avoir un second enfant, personne ne m’a forcé, alors pourquoi être submergé de stress maintenant ? Je savais quelle serait la finalité. Ceci dit j’ai réalisé récemment que ma situation pro n’était plus tenable avec une vie de famille, rien de grave en soit, mais profil hyper pointu et donc moins de point de chute possible. Trop de changement, trop de responsabilité et mon précédent monde s’écroule et moi j’étouffe.
Je sais que je suis malade, j’ai envie d’en finir avec cette saleté, mais la solution ne m’apparait pas encore. J’attends impatiemment que la psy me sorte de ce mauvais pas. Des fois je demande à qui de droit un coup de baguette magique pour dénouer ma tête, mais ça ne marche pas trop :).
Merci de m’avoir écouté en tout cas et merci pour le blog, ça fait toujours du bien 😉
mamounette dit
Rassurez vous, le premier mois avec bébé (voire un peu plus) est un raz de marée! Comme pour le premier! Parfois il est plus difficile d’accueillir le 2eme que le premier (alors qu’on pense pourtant savoir gérer!). Perso j’ai mis moins de temps à me lier avec le 2eme que le premier, mais ça n’a pas empêcher que je me sente submergée! Et mon mari culpabilisait aussi beaucoup de devoir beaucoup travailler et d’être moins présent! Ce qui compte je pense, c’est d’avoir conscience de ce manque de temps, et de profiter à fond du peu que vous avez avec eux. Les qq heures où vous êtes là, soyez vraiment présents et impliqué, et ça vaudra plus qu’être là des jours complets à ne profiter qu’à moitié^^. Le lien avec bébé n’est pas forcément inné comme on pourrait le croire! Il se créera avec le temps j’imagine 🙂 Prenez votre temps et si vraiment ce mal être persiste malgré vos projets de vie en évolution, n’hésitez pas à vous faire aider. Parler aide beaucoup et voir un psy ou parler de son mal être à un médecin traitant ou autre n’est pas signe de faiblesse, de folie (et quand bien même! la vie est tellement folle parfois^^)…Prenez soin de vous! Et gardez confiance en vous et l’amour qui unit votre famille! P.S : je ne suis pas pro du sujet, mais entre paumés de la vie on peut se soutenir comme on peut LOL
FilouBidou dit
Bonjour,
Depuis une semaine, je suis père d’une petite fille de 3 ans 1/2 et d’un fils de 1 semaine. Pour les deux enfants, il s’agit d’une volonté profonde de moi et de ma femme d’être parent.
La grande nous apporte énormément de bonheur et depuis le souhait d’avoir un second enfant et l’excitation de savoir que mon fils était en cours d’approche. Le jour de sa naissance je me suis « houps tu as fait une connerie, tu ne vas pas y arriver » et le lendemain le doute c’est transformé en un bonheur grandissant.
2 ans plus tard je demande à ma femme si elle ne voulait pas un second et après quelques mois elle me dit « ok ».
Mais voilà, car il y a toujours un mais, voilà une semaine que mon petit est né et je n’arrive pas à me convaincre que je vais assumer un second enfant, c’est un peu tard me diriez vous. La famille est distante (expatrié) et je travaille beaucoup la journée (je pars entre 6h et 18h30). Ma femme (courageuse) assume les enfants toute la journée. Je culpabilise de cette situation et je ne vois pas comment m’en sortir :(. On court nuit et jour. Pour ne rien aider je déprime et je n’arrive pas à lui donner l’amour qu’il mérite, pire j’ai l’impression de ne plus faire autant pour ma grande. L’impression qu’on aura 0 minute à nous deux. On prépare de revenir vers la famille et réduire la durée de travail pour se faire du bien, mais bon je trouve ça toujours aussi dur à assumer.
Help me, dites moi que ça va passer, dites moi que je me trompe et que demain sera ensoleillé….
Au plaisir de vous lire.
Salomé dit
Nous sommes parents d’un petit mec de 4 ans tout juste et je suis enceinte de presque 4 mois.
Nous avons souhaité prendre le temps suffisant pour nous construire à 3, profiter et moi, j’avais besoin de me reconstruire après une première maternité très difficile et éprouvante.
Mais peu à peu, sortis des couches et des nuits blanches, la première année d’école passée, 2 situations professionnelles stables, on a eu l’envie de mettre bébé 2 en route avec presque autant de naïveté et spontanéité que le 1er. Comme si tout était oublié !
Comme pour notre fils, je suis tombée enceinte très vite et c’est maintenant que mes angoisses reviennent. Et cette question : on est heureux, le temps a apaisé les mauvais souvenirs, on retrouve une vie normale, est ce que l’on est pas un peu maso ??
Et en même temps, quand je reviens en arrière, qu’est ce qu’elles sont passées vite ses 4 dernières années. Et qu’est-ce que l’on aime (globalement 😂) être parents. C’est une difficile mais tellement jolie aventure 🙂
Fanou dit
Ici aussi nous avons eu la même réflexion puis notre décision est venue naturellement. Quelques mois plus tard, bébé numéro 2 était en route mais… pas tour seul!!
« Regardez madame !!! il y en à 2 !!! » ces mots je les entends encore raisonner dans ma tête. Mes jumelles ont maintenant 4ans, nous sortons enfin la tête de l’eau. Les premières années ont été terribles… mais j’ai la chance d’avoir des enfants en pleine santé. Des petits pots de colle!
Avant nous étions tellement bien organisé, aujourd’hui c’est freestyle au quotidien ! On prend la vie comme elle vient !
Parfois je me dis que nous aurions pu avoir une vie plus confortable si nous avions eu que notre première fille car 2 enfants de plus c’est un sacré budget! Vive les alloc !!
Et puis parfois (souvent quand même !!) je me dis que c’est juste génial de pouvoir vivre le quotidien avec les 3 poulettes et que finalement les années galères sont dernières nous. Il n’y a rien de plus beau que de les voir toutes les trois si complices.
coraliegirard dit
Il ne faut pas que mon compagnon voit ta réponse sinon il ne voudra jamais qu’on commence les essais 🙂
Belle continuation à vous, profitez bien maintenant que le gros de la tempête est passée !!
Lolo2cln dit
Salut. Chez nous pas autant de question on c’est même empêché de faire le second plus tôt. Mais il faut s’écouter je pense. Prenez votre temps si vous en avez besoin. Perso nous avons attendu de sentir notre premier assez prêt. Il était vraiment trop vif pour réussir à le gérer lui et un bébé hihi. Puis juste avant de rentrer à l’école il s’est beaucoup a ssagit. Il a pris un peu des distances de grands. Moins besoin de nous…etc nous nous sommes lancés. La crainte qu’il n’accepte pas le bébé à duré jusqu’à notre retour de la maternité puis finalement heureuse surprise c’est un grà frère très attentionné et nous arrivons parfaitement à avoir du temps pour les deux! Nous ne regrettons pas d’avoir laissé 4 ans d’écart. Et effectivement la différence d’âge ne fera en rien un blocage pr leur relation peut être même au contraire. C’est surtout leurs caractères qui seront compatibles ou non!^^
Petit plus non négligeable . Grand frère portait encore des couches la nuit. Et quand petit frère est arrivé finito!!!!! Grand frère apaisé.
N’écoutez que votre coeur, votre couple, votre premier enfant…votre réflexion est très saine je trouve. Et si vous ne voulez finalement qu’un enfant…Et alors?^^ ce sera votre choix et vous serez trois mousquetaires très heureux aussi hihi
Prenez soin de vous 😊
coraliegirard dit
Merci. C’est tellement rare de s’entendre dire que cette réflexion est saine. En général, les gens ont beaucoup de mal à comprendre et condamnent le choix de l’enfant unique.
Bou dit
Bonjour Coralie,
Pour te faire part de mon experience, avec mon mari nous avions décidé de n’avoir qu’un enfant car nous avons une grande différence d’âge. Puis quand mon fils a eu 2 ans j’ai eu l’envi d’un 2ème. Bien évidemment en discussion avec mon mari pour être en accord mais mise à part ça les questions que tu te poses sont aussi venues vers nous. On avait trouvé notre équilibre familial et de couple. Car être un couple pour nous compte presque avant tout étant donné que c’est grâce à cet amour que nous avons nos enfants.
Ajd notre fils a 4 ans 1/2 et notre fille 8 mois. Pour la deuxième j’ai vécu son arrivée tout autrement, comme tu le dis bcp plus cool et plus zen, moins exigeante envers moi même et mes principes. Le grand a trouvé sa place petit à petit et dit à qui veut l’entendre que c’est SA sœur ! Et malgré la différence d’âge la complicité est là et belle à voir. Quand à notre couple finalement il a « simplement » fallut continuer à y faire attention et à se prendre du temps. Côté finance ( car oui sans être matérialiste ça compte quand même!) nous nous sommes réorganisé mais pouvons subvenir aux besoins et loisir de la famille, des enfants . Et malgré que bcp nous disait que c’était mieux des enfants rapprochés, c’est vraiment super d’avoir d’avoir une différence d’âge car le grand plus autonome et nous partageons pas les même choses, activités, jeux avec sa sœur.
Bref pour nous ce fut de l’amour en plus dans notre famille même si je dois l’avouer ce fut bcp de questions jusqu’à la naissance de notre dernière et jusqu’à cet équilibre finalement retrouvé rapidement.
coraliegirard dit
Merci de ton retour. Ca me fait beaucoup de bien. Quand je te lis, je me dis Pourquoi pas nous, pourquoi on y arriverait pas. Et je me rends compte que l’envie est plus forte que mes doutes !
Sandrine dit
Tu réponds toi-même à tes questions avec ta dernière phrase!
Lorsque j’ai accouché de ma fille, j’ai eu ce sentiment bizarre de l’aimer et d’aimer déjà le second enfant que j’aurai un jour, c’est comme si elle n’était pas venue seule sur cette terre, elle est venue avec la promesse qu’un jour elle sera grande soeur.
marie dit
coucou, ici ils ont six ans et demi d’écart et j’ai eu aussi cette réflexion, et en fait avec un si grand écart je trouve que c’est génial et pourtant tout le monde me disait le contraire. Ils s’entenden’ super bien et je trouve cela moins contraignant que quand ma première était petite, je sais pas comment l’expliquer mais tout paraît plus facile. Je ne regrette pas d’avoir eu mon baby boy je me sent complète ! Par contre maintenant je suis sûre pas troisième 😉 Ton cœur te dira quand ça sera le bon moment mais vu le questionnement je pense qu’a un moment donné tu aurais un petit deuxième😉 bonne continuation
coraliegirard dit
Merci pour ce commentaire. Ça me rassure tellement. C’est tellement culpabilisant ces discours sur la différence d’âge qu’il faudrait la plus petite possible. Mais pour moi c’était inenvisageable avant aujourd’hui !
Claire dit
Je pense que tu es presque décidée 🙂
Chez nous le grand a 16 mois et je suis enceinte de 4 mois.
Alors oui la petite enfance c’est difficile, d’autant plus que nous avons un garçon très sensible qui se réveille toujours plusieurs fois par nuit.
Mais nous avons toujours voulu plusieurs enfants, ces mois compliqués et fatigants (mais tellement riches !) c’est un peu le deal…
Mes parents ont 4 enfants et ils m’ont toujours dit que jusqu’à ce que le dernier ai eu 3 ans ils n’ont pas vu le jour… Donc oui on est dans des années crevantes mais perso je m’y attendais et au final ça passe vite !
Elodie dit
Comme je te comprends… moi qui ai toujours rêvé d’avoir 2 enfants d’âge rapproché, cela fait quelques semaines qu’avec mon mari on se demande si on en a vraiment envie…
notre puce de 21mois est une tornade d’amour, un bulldozer de bonheur, mais pour le moment je ne me sens pas assez forte physiquement et mentalement pour gérer un 2 ème petit bout…
J’ai 5ans d’écart avec mon frère mais nous ne sommes pas du tout proches, alors que mon mari a le même écart avec son frère et ils sont inséparables, donc la différence d’âge ne veut vraiment rien dire 🙂
coraliegirard dit
Merci beaucoup à toutes pour vos réponses. Qui sait dans quelques temps j’écrirais peut-être un article sur l’arrivée du deuxième !!
Maman d'un ptit bouchon dit
Ptit bouchon va sur ces 2 ans dans 4 mois avec monsieur nous voulions 3 ans d’écart si possible entre le 1er et le 2eme … la question du deuxieme vient egalement tout doucement a moi… cette envie folles surtout quand je revois les émissions mes copines qui sont enceintes mais il y a ces contres aussi (qui serait plutôt des angoisses…)est ce le non moment? Mais y a t’il un bon moment ? avec en plus vais je réussir à aimer ce deuxieme petit être autant que le premier …? Ptit bouchon ne va t il pas se sentir mis de côté ?
Drouillet dit
J’adore !! Je revis mon passé ! Ma fille a 6. 5 ans et mon fils 4 ans. Et je suis assez folle pour attendre le 3e!
Ecoute ton cœur. La raison suivra !
Maman de princesses dit
Bonjour,
Ces reflexions la je les ai eu au 3ans et demi de ma grande, et j’avais une relation tres fusionnelle avec elle donc je me disais pas de place pour un deuxieme. Mon mari lui voulait un deuxieme donc j’ai fini par me dire aller banco je laisse faire la nature si ca prend c’est le destin… et le destin m’a donné une deuxieme princesse!
Autant te dire que c’est le jour et la nuit entre les debut d’un premier et d’un deuxieme! On est dix fois plus detendu, le temps passe a une vitesse folle, ma deuxieme princesse a 3 mois et demi fait deja ses nuit depuis ses 2 mois et je n’ai pas vu le temps passer. Moi qui etait pas une fana des bebes j’ai eu une veritable revelation! Je me demande meme comment j’ai pu attendre aussi longtemps pour faire le deuxieme!
Ecoute toi, les doutes sont légitimes mais rassure toi en tant que maman on arrive a gerer, j’arrive toujours a avoir du temps pour ma premiere, je gazouilles avec ma deuxieme, ma famille est enfin celle que j’esperais 😉
Marianne dit
Moi aussi je me pose la question.
Puis je regarde les familles autour de moi, les exemples de femmes qui en sont sorties : mère, grand-mère, collègues… Aucune n’a regretté, toutes profitent de leurs enfants devenus grands. Oui elles ont galéré au début, « comme tout le monde », mais on s’en sort, et on en sort fière et grandie d’avoir su y arriver.
Voilou.
Après la pluie le beau temps dit
En plein dans cette réflexion bébé 1 à 15 mois et l’horloge biologique approche doucement le chiffre 4… que faire et quoi choisir…je pense qu’il n’y aura pas de bonnes ou mauvaises décisions il y aura surtout des gens qui quoi que l’on fasse trouveront toujours quelque chose à dire…alors si on essayé de vivre sans le regard pesant des uns et des autres et décider à l’intérieur du couple ce qui est bon pour nous 3…tout ne se résume pas à une question d’argent, de sommeil etc c’est à mon sens une question de bien être intérieur…belle réflexion à vous
Clairz dit
Qu’est ce que je me retrouve dans ce témoignage… et encore ma fille n’a que 2 ans. Il y a encore quelques mois, je ne voulais pas d’un autre enfant car en effet j’ai trouvé les premiers mois difficiles (surtout pour le sommeil, nous concernant) et maintenant que cela va mieux, je commence à penser, à vouloir ce 2e enfant.
On se pose tellement (trop) de questions mais cela fait du bien de se dire que l’on n’est pas les seules.
Merci
Elodie dit
Wahou ! J’aurai pu écrire cet article !
Nous sommes exactement dans la même réflexion que vous et avec les mêmes pour et les mêmes contre !
J’essaie aussi de me dire que maintenant professionnellement, financièrement, les choses sont différentes et que j’ai confiance en mois en tant que maman mais je ne peux pas m’empêcher de flipper, d’angoisser en repensant aux difficultés des débuts et des nuits sans sommeil. J’ai peur de, de nouveau, souffrir du manque d’en de liberté, de ma vie de femme…
dans quel état d’esprit est votre mari ?
Bonne continuation en tous cas 😉
Sophie dit
Bonjour,
Je comprends cette ambivalence. 3 ans c’est vraiment l’âge où tout change … entre le bébé et le petit garçon. C’est justement pour éviter de passer par ce dilemne que nous avons fait nos bébés rapprochés (et encore … 18 mois d’écart). Je pense que pour le moment vous devriez encore vous laissez du temps surtout si tu as tant de « conflits » dans ta tête. Mais comme j’en ai 2 je confirme les dires de ton petit coeur … avec un deuxième on est plus zen, moins exigeant envers soit même. Et c’est vrai que du coup bébé cristallise moins les angoisses. Fait ce qui te semble le mieux pour toi car maman heureuse … enfant(s) heureux.
Tia dit
J’ai l’impression que tu as déjà ta réponse, tu as l’air d’en avoir envie de ce 2ème bébé !
Laisse toi un peu de temps peut etre ? Tu n’es pas obligée de respecter un certain écart d’age entre les deux.