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Cela fait 3 ans qu’Aurélie et son chéri sont en essai bébé, sans qu’aucun souci médical n’ait été trouvé pour expliquer cette longue période d’attente. Mais pourquoi ne tombe t’elle pas enceinte ? Voici son témoignage.
{Témoignage} Infertilité inexpliquée : le parcours psychologique
Bonjour,
je m’appelle Aurélie, j’ai 34 ans, mariée depuis 4 ans à un chéri formidable et en essai bébé depuis 3 ans.
J’écris aujourd’hui surtout par besoin de relâcher la pression et de recevoir peut-être des témoignages d’autres femmes dans mon cas, qui comprennent le sentiment d’impuissance et de douleur qui nous envahie parfois.
Avec mon mari nous avons tout fait « dans l’ordre », mariage, achat d’une maison avec travaux et puis l’envie qui nous titillait depuis un moment déjà de fonder une famille, s’est faite plus forte.
Je changeais de boulot et d’un naturel très pragmatique (peut-être trop) j’ai repoussé le projet bébé le temps de signer mon CDI et de faire ma place, tellement persuadée que notre mini-nous pointerait rapidement le bout de son nez.
Et puis j’ai arrêté la pilule et mes cycles ont repris, réglés comme une horloge comme du temps de mon adolescence.
Aucune place au doute, aucun test de grossesse négatif, le 1er jour était toujours là, pile à l’heure ! Les mois ont passé et après en avoir parlé avec mon mari, nous avons décidé de consulter, au fond de moi je sentais que quelque chose n’était pas normal.
Le long parcours des examens a alors commencé, échographie, prise de sang et spermogramme d’abord, normaux d’après ma gynécologue. Et puis hystérosalpingographie. Là les premiers ennuis ont commencé, le radiologue a été incapable de m’injecter le produit de contraste, pas d’explication du pourquoi ou du comment, expérience assez traumatisante car il s’y est repris à plusieurs fois sans succès sans rien m’expliquer et puis a jeté l’éponge en me disant de revenir au cycle suivant.
Un mois plus tard, hystéro le retour, chez le même radiologue conseillé par ma gynéco… L’examen se passe, pas une partie de plaisir mais j’ai au moins des résultats que je pense positifs, mes trompes sont perméables.
Bilan final « infertilité inexpliquée », le mot est lâché
Ma gynécologue décide de nous adresser à une consœur spécialiste de la fertilité dans un hôpital proche de chez nous.
3 mois pour avoir un rendez-vous, déjà plus d’un an a passé.
Après un premier rendez-vous, elle nous explique que nous allons devoir recommencer les tests car les premiers datent d’il y a un an et surtout que l’hystérosalpingographie a été mal réalisée, il manque un cliché qui permet de confirmer la réelle perméabilité des trompes… Youpie.
Comme j’en ai déjà eu deux, elle me propose de ne pas l’envisager tout de suite afin de voir s’il n’y a pas un problème ailleurs avant de m’obliger à repasser cet examen pas très agréable. Nous voilà repartis dans la longue attente des rendez-vous, des résultats, des nouveaux examens,… Finalement elle me trouve une réserve ovarienne faible pour mon âge mais toujours rien qui change le diagnostique d’infertilité inexpliquée, elle me rassure malgré tout en me disant qu’à 32 ans une grosse naturelle est malgré tout toujours plus que possible.
Me revoilà donc à la case hystéro, cette fois je passe l’examen à l’hôpital, le personnel est adorable, rassurant, mon intimité est couverte, je retrouve un peu de dignité par rapport aux examens précédents mais malheureusement cette fois impossible de passer le cathéter servant à l’injection du produit de contraste.
Le radiologue pense à une sténose du col de l’utérus, peut-être dû aux précédentes hystéro. Ne souhaitant pas m’infliger un nouveau passage en force, on me refixe un rendez-vous quelques jours plus tard en présence de ma gynécologue.
Même résultat final, impossible de réaliser l’examen.
Impossible de franchir mon col de l’utérus
Nouveau rendez-vous avec ma gynéco, cette fois il faut que je passe par la case chirurgie.
Hystérographie diagnostive afin de voir quel est le problème au niveau du col et cœlioscopie afin de réaliser l’examen des trompes. 3 nouveaux mois d’attente avant de voir le chirurgien, programmation de l’opération un mois plus tard.
Finalement pas de sténose, le passage de mon col est simplement « tordu » (l’angle vers l’utérus est très important) et il faut simplement utiliser un matériel plus rigide afin de ne pas buter sur les parois du col. Quant à mes trompes, elles sont impeccables.
Psychologiquement c’est un soulagement mais en même temps un immense sentiment de déception, d’avoir subit tout ça et de ne toujours pas avancer dans notre projet bébé. J’ai l’impression d’être charcutée sans raison et cela se ressent aussi sur mon couple, même si mon mari est formidable, entre les examens pas toujours délicats et l’opération, nos moments câlins se font plus rares.
Ce qui évidemment n’aide pas non plus. A côté de ça nos amis continuent d’agrandir leur famille, les questions se font plus pesantes, les regards compatissants ou gênés de ceux qui savent ou qui commencent à se douter aussi… Mais on s’accroche, on tient bon, on discute beaucoup, on décide de prendre du temps pour nous, on prévoit des vacances que l’on n’avait pas prises depuis notre voyage de noces.
Après les résultats de l’opération, ma gynécologue nous propose d’entamer la procédure de PMA, insémination pour commencer.
Enfin nous avons l’impression de voir le bout du tunnel ! On lui parle de notre projet de vacances et là petite douche froide, nous avons choisi une destination où il y a eu des cas de virus Zika, nous devons donc reporter le début du traitement et en plus utiliser un moyen de contraception… Ensuite nous devons attendre un mois après notre retour pour faire les analyses et savoir si nous avons contracté le virus.
Pas de moustique durant notre séjour, nous connaissons donc déjà le résultat mais sommes malgré tout obligés de faire les tests.
Ensuite enfin le rendez-vous avec le biologiste pour démarrer le traitement en vue de l’insémination. Là il nous décourage un peu en nous parlant de statistiques et de taux de réussite, seulement 15% et pour moi avec une réserve ovarienne faible le taux chute encore… En plus mon prochain cycle tombe pendant les vacances de Noël et le centre PMA étant fermé pendant 15 jours je dois décaler le début du traitement au cycle suivant. Je sors de là un peu démoralisée mais mon mari cet optimiste invétéré me porte à bout de bras.
Fin janvier enfin, après presque 3 ans de suivi médical je commence la stimulation ovarienne.
Pas vraiment d’explications sur le traitement ni sur les effets secondaires auxquels s’attendre mais dans l’ensemble ça se passe plutôt bien, tellement bien qu’à la première échographie de contrôle deux beaux follicules mâtures ! Je dois faire l’injection de déclenchement de l’ovulation à 2h du matin, pas de problème cette fois je suis surmotivée.
2 jours plus tard rendez-vous pour notre première insémination, mon mari est au top, 16 millions de petits soldats prêts à nous faire un (ou deux) beau(x) bébé(s).
Là nous sommes un peu laissés livrés à nous même entre la récolte et le moment de l’insémination, juste des salles d’attente froide, sans personnel pour nous expliquer la suite, sans savoir si on attend réellement au bon endroit mais bon… Le moment attendu arrive enfin, le personnel est rassurant et tout se passe bien. Nous repartons avec l’ordonnance pour la prise de sang et l’échographie en cas de résultat positif et surtout avec l’espoir qu’enfin ça y est nous ne pouvons que réussir !!!
Même si nous essayons aussi de nous préparer au cas contraire tout le monde est tellement certain que cette fois c’est la fin d’un long parcours que nous aussi.
Et puis hier matin, à 4 jours de la prise de sang je sais que ça a échoué
Même si le risque était là on y croyait tellement fort.
J’ai passé un moment à pleurer, consolée par un mari adorable qui du coup ne me montre pas à quel point il est déçu lui aussi.
Et surtout je me sens vidée, fatiguée et je me demande si j’aurai le courage d’affronter un nouvel échec, je ne peux pas recommencer de stimulation sur ce cycle, ce qui veut dire que de toute façon quoi qu’il arrive nous ne serons toujours pas parents cette année, c’est douloureux. Mon mari aura 37 ans et moi 35 ans, j’ai l’impression de me mettre une pression supplémentaire en pensant à nos âges et je m’interroge y-a-t-il un moment où il faut renoncer ?
Merci d’avoir pris le temps de me lire, écrire a un effet thérapeutique et peut-être que lire des témoignages similaires m’aidera à me relever de ce nouvel échec.
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Coucou j’ai 29 ans, je n ai jamais pris de contraceptifs je suis avec mon mari depuis 10 ans et 2 ans de mariage. A nos 1 an de mariage j apprend que je suis enceinte le rêve après 7 ans d esperance… mais cette joie est de courte durée je fait une fausse couche a 2 mois. Je vois une gygy qui me dis ça va venir ! Je la gronde pour lui dire que ça fait 7ans que j attends et ne répond pas et me dis je vous propose l acupuncture… je prend son papier et m en vais… je rentre chez moi et prend rdv avec un spécialiste de la pma pas de place avant 3 mois… mon mari préféré attendre encore un peu…. 6 mois passe et rien… psychologiquement je suis au bout du rouleau… je prends rdv avec la.gygy de la pma je n en peux plus mon couple en prend un coup je suis inconsolable pour en rajouter ma cousine accouche de son bébé qui aurait du naître au même moment que le notre OMD merci Corona je ne la vois pas et pas de réunion de famille je ne veux pas voir leur adorable bébé qui aurait pu être le mien.. je vais voir mon généraliste qui me fait faire une pds de prolactine fsh lh et la ma prolactine est trop élevé je refait une pds encore élevé (78) il me dis faudrai voir pour changer de pilule contraceptive. Non mais quoi non mais vous avez rien compris…cest decide pma après encore 3 mois d attente. Entre ca irm cérébral pour un diagnostics d adénome hypophysaire ca fait peur ce truc… Diagnostique négatif.
Quelques mois après cest parti pma prise de sang spermo. La echographie pelvienne la praticienne ne dis sopk catastrophique a droite et limite à gauche vous avez un cycle regulier ? Je réponds oui elle répond donc a bah cest pas ça. ? Quoi ? Compte rendu discrète dystrophie ovarienne. Mais ça veut dire quoi ce truc ? Google dis sopk… ok ça commence bien ! Je fais la pds amh est ping super élevé. Cest donc bien le sopk. Les mois passe bah oui encore 3 mois… la gygy me dis il y a rien de grave on va faire des iac… pufff mais cest quoi ça encore…
Vous allez tomber enceinte vite… je sors de la consultation je pleure toute les larmes de mon corps je ne sais plus quoi pensai quoi dire. Qui est ce que je dois croire. Et si ça marche pas pour de vrai… et si et si… je ne sais plus j ai trop peur… piqure dans 1 semaine et après écho… je ne sais pas si psychologiquement je suis prête à revivre des échecs… attendre attendre attendre ça fait trop longtemps que j attends et que ça marche pas… personne ne comprend vraiment et mon mari en a marre de me voir pleurer. J ai peur de vivre encore des échecs…
Je vis à peu de choses près la même situation…
Diagnostiquée SOPK et j’ai également un adénome sur l’hypophyse…
J’entame les inséminations au prochain cycle mais je n’arrive plus à y croire.
Je suis longtemps restée « en suspens » car « vous êtes jeunes, à 27 ans vous avez le temps, même si ça prend 2 ans ou même 3… » oui mais moi psychologiquement je ne tiendrai plus si longtemps…
Alors courage!
Bonjour, j’ai 34 ans et mon conjoint 37. Cela fait 2 ans et demi que nous essayons d’avoir un enfant. 4 iac ( stim sans effets secondaires , 2 fois 2 follicules) négative. Nous sommes actuellement en fiv1. Le transfert (si embryon il y a) n’aura pas lieu car ma progestérone est deja trop élevée à j9 du cycle stimulé . Ca sera un TEC 1 mois plus tard. Après 2 ans à me torturer, je crois que je suis prête à accepter que nous ne pourrons peut être pas avoir d’enfant. Nous irons jusqu’au bout de ce que la Science peut faire c’est une certitude, en parrallele d’avoir déposé un dossier de demande d’agrément pour l’adoption mais… Je suis bcp plus sereine avec cette idée de non maternité, il y a plein de femme qui n’ont pas d’enfant et ce n’est pas une condition essentiel au bonheur. Je refuse de mettre mon bonheur entre parenthèse et le faire dépendre de la réussite de ce projet. Bref. Ce parcours m’apprend à voir la vie autrement et si je suis bien convaincue d’une chose c’est qu’un fine, c’est « dame nature » qui aura le dernier mot.
Je viens de lire ton témoignage je nous reconnais complètement. On se sent proche des gens quand on est dans la même galère. Nous aussi infertilité inexpliquée, j ai fait 3 inséminations, et 2 fiv. 2 beaux embryons la 1ère fois, 2 beaux blastocystes la 2e. Là je me suis dit si ça ne marche pas, c est que le problème est ailleurs… ça n a pas marché. Avant ces fiv, j avais fait tous le circuit des médecines plus douces : psychologue qui n a trouvé aucun blocage (et oui a force qu on te dise tout ça c est dans ta tête, faut lâcher prise… ok donnez moi la recette?), acupuncture, Osteo, sophrologie. La sophrologie m a aidée pour gérer l angoisse de l attente des résultats mais rien de plus.
Et puis le mois dernier je suis allée à côté de Genève voir un praticien en metakinebiologie (sagesseo) sur les conseils de ma cousine qui me dit être tombée enceinte après y être allée (vous aussi vous avez entendu 10 histoires comme ça dans votre entourage ?). Bref ne voulant pas reprendre les fiv de suite, j ai tenté. Tant que c est soft, moi je teste.
On en a profité pour programmer un petit week-end en amoureux en Suisse, ça me plaisait bien.
Je ne connaissais pas du tout cette discipline mais le concept me plaisait : ça commence par de la discussion, tu racontes ta vie dans les grandes lignes comme si tu parlais à un nouveau pote, moi ça a duré une heure, puis tu la 2e heure il te poses des questions mais tu ne parles pas, c est ton corps qui répond. En gros c est comme un détecteur de mensonge : en fonction de ta réponse, ton bras lache ou non, alors que la pression exercée dessus est toujours la même. C est des tests de posturologie. En gros on accède un peu à son inconscient.
J ai eu une énorme décharge émotionnelle en lien avec des histoires de famille qui remontent à mes grands parents. Des émotions complètement inconscientes pour le coup. Ça m a fait un bien fou.
C était le mois dernier, je ne sais pas si je vais tomber plus facilement enceinte, je n ai pas dit que c était la solution miracle, mais s il y a bien quelque chose qui m a vraiment parlé, touché, fait de l effet, c est bien ça. Je vous tiendrais au courant en tout cas.
J aurais voulu qu on me donne ce conseil avant donc je partage mon expérience.
Hâte de savoir la suite pour nous toutes on croise les doigts!
Bonjour. Je viens de voir votre message sur la metakinebiologie. Quelle a été la suite pour vous ? Cela a-t-il « fonctionné » ? Cette méthode m’intéresse. Merci pour votre retour
Hello, as tu eu des résultats après être allé voir ce docteur ? Merci pour ta réponse
J’ai un parcours assez similaire au tien.
Je vais bientôt avoir 34 ans et mon homme a 36 ans. Ça fera 4 ans en mai qu’on attend notre bébé. Nous avons commencé à faire les examens au bout d’un an et demi (tout était parfait). Nous nous sommes dirigés vers la PMA 6 mois après et avons tenté 4 stimulations par injections qui se sont soldées par des échecs malgré que je réagissais très bien.
Nous avons souhaité mettre en pause la PMA, en 2018 nous avons pris le temps de nous écouter, « reprendre des forces ». Fin 2018 nous étions décidés à repartir dans l’aventure.
Nous devons normalement commencé un protocole d’IAC en avril. Notre médecin nous préconise 2 tentatives puis nous passerons aux FIV si cela ne donne rien.
Aujourd’hui je suis dans un meilleur état d’esprit qu’il y a un an. Je pense que la clé pour moi, ça été d’accepter notre situation. Dis comme ça ça peut paraître bien simple mais pourtant ce n’est pas toujours le cas.
En bientôt 4 ans, je n’ai jamais perdu l’espoir ! Bien souvent, et encore maintenant, je me suis posée la question de savoir si un jour j’y arriverai mais jamais je me suis dis « c’est peine perdu, ça ne veut pas ».
Tu ne dois pas te dire que tu n’arriveras peut-être pas finalement à être mère, personne ne t’a dit que c’était impossible (au contraire !), vous avez de bons résultats, à présent fais-toi confiance.
Je sais ce n’est pas facile, les mots restent des mots, mais ne lâche rien. Un jour un petit être sera bel et bien là, en train de grandir en toi.
Courage !
Bonjour,
J’espère Que mon témoigne vous donnera un peu d’espoir!
Il y a 5 ans mon chéri et moi décidons d’entamer les essais bébé ! J’y crois, je suis optimiste, je vois une cousine enceinte, je me dis l’année prochaine à la prochaine réunion de famille, ce sera moi!
Et les mois passent, mes cycles sont irréguliers, et ça n’arrive pas! Je prends un traitement pour réguler mes cycles, au bout d’un an sans résultats, je laisse tomber! Je vais voir un homéopathe pour essayer un nouveau traitement qui ne fonctionne pas non plus. Pendant ce temps, je fais quelques tests, une échographie, monsieur fait un spermogramme et pas de soucis!
Il y a 1 an et demi, un faux espoir avec un test urinaire positif mais la prise de sang est négative !
On décide alors avec monsieur de se marier! Je me dis que les préparatifs vont aider à ne pas y penser! Je me plonge dedans à fond mais toujours pas de bébé en vu!!
En août 2018, je vois ma gygy qui me dit on reprend le traitement, on se donne quelques mois sinon on va en parcours PMA! Seule consigne, arrêté de me mettre la pression !
On se marie peu de temps après, des règles ultra abondante le jour du mariage (heureusement que j’avais un jupon). On part en voyage de noces et mon cycle à enfin une durée normale avec de nouveaux des règles 1 mois après ! Et en septembre avec chéri on est parti en week-end, on est allé fêter l’annive De son papa et on a profité pour visiter Chartres et passer une nuit à l’hotel ! On lache prise, on profite d’etre Jeunes mariés !
Et un mois plus tard, la bonne nouvelle tombe! Je suis enceinte! Aujourd’hui je suis dans mon sixième mois, tout se passe bien et nous sommes très heureux que bébé se soit enfin niché dans mon ventre! Je serais maman à 30ans et après 5ans d’essai!
Alors ne perdez pas espoir, ça arrive aussi quand on s’y attend le moins!!
Bon courage!
Nous a dit ça Aldo c’est impossible le problème vient de moi je culpabilise beaucoup et j’étais en colère.Après moi
Le jour ou j’ai lâché prise je suis tombé enceinte ce mon premier enfant. Pour avoir un deuxième opération échec, puis on nous dit c’est finie il faut un don ovules . J’ai tout stoppé je suis allé voir un psychologue ça beaucoup aidé. J’ai fait nippon deuil . Naturelle j’ai eu mon deuxième après 6 ans de haut et de bas, et encore naturelle j’attends mon petit troisième bébé 10 Après mon ainé.
Pour te dire que l’esprit peut aussi bloqué, faites vous plaisir sortez faites l’amour soyez égoïste voyager ça peut aider tellement
J’avais fait un long commentaire, mais ça a planté du coup je recommence, en moins long!
Nous après 2 ans et demi d’essais infructueux, direction une nouvelle gygy qui nous a prescrit tous les examens pour verifier s’il y avait un problème, ou non.
Tous les résultats sont bons, même trop bons pour moi car mes ovaires sont polyfolléculaires, en gros je produits trop d’ovules ce qui fait qu’ils peuvent ne pas arriver à maturité (mais sans savoir quand j’ovule bien ou non)…
Bref, elle nous dirige donc vers une IAC au mois de juin 2018. Je suis sceptique, fatiguée par les piqures, les trajets tot le matin entre le labo pour les prises de sang, la mater, le boulot je suis à bout et j’y crois pas.
Effectivement ça n’aura pas fonctionné. comme c’est l’été, on décide avec mon mari de profiter des beaux jours, on part en vacances, on essaie « d’oublier » ce bébé qui ne vient pas.
Nous relançons le protocole fin octobre 2018. C’est reparti pour les injections, prises de sang, écho de controle etc…
Cette fois ci, je suis détendue, beaucoup plus positive. 2 jours avant l’insémination, je fais même un saut en parachute. Ca vide la tête, on en prends pleins les yeux et on est bien…
Quelques jours avant mes rrr, douleurs, mal de dos, bref, ça sent l’arrivée ! Mais finalement non, elles ne viennent pas. Je fais donc un test urinaire, j’ai l’impression de voir la 2eme barre. Le lendemain, je vais faire ma prise de sang, et là… C’est positif!!!
Je suis à la fin de mon 4eme mois de grossesse. Je suis bien, heureuse et j’espère vous redonner un peu espoir avec mon témoignage 🙂
Je t’envoie plein de pensées de courage et surtout d’espoir pour ce parcours difficile.
Après 15 mois d’essai sans un résultat positif nous avons commencé les examens : prises de sang, spermogramme, hysterosalpyngographie… Et verdict, infertilité inexpliquée pour nous aussi. Ça a été difficile, j’ai commencé à aller voir une psychologue pour m’aider à gérer cette attente, et ça m’a vraiment fait du bien, ça m’a aidé à relativiser autant que possible. Le premier cycle de stimulation a été un échec, hyper stimulation donc arrêt du cycle et rapports protégés… Ce cycle a été tellement chamboulé que mon cycle suivant n’a commencé que 7 semaines plus tard, ça nous a semblé une éternité… Puis première IAC au cycle suivant, deux follicules comme toi et plein d’espoir mais ce fut encore une fois un négatif. Dur de se relever mais c’est parti pour une deuxième IAC, deux follicules à nouveau et cette fois le plus beau des cadeaux, un test positif, deux ans après avoir arrêté la pillule alors que je n’y croyais pas du tout. On a eu tellement de mal à y croire ! Nous avons appris quelques semaines plus tard qu’il s’agissait de jumeaux et je suis aujourd’hui à 4 mois de grossesse. Alors même si j’ai toujours très peur que tout s’arrête et que je ne serai soulagée que quand ils seront dans mes bras en pleine santé, je voulais te dire qu’il faut continuer à y croire même s’il est très dur de se relever de ces échecs. Je vous souhaite d’avoir rapidement votre petit bébé, et beaucoup de bonheur. Je croise les doigts et t’envoie plein de bonnes ondes
La fin de mon commentaire a buggy en
Faites le forcing pour passer en fiv icsi
Vous avez raison et pas de temps à perdre les fiv ont de bien meilleurs raison
Bonjour Aurélie,
Mon 1er commentaire a buggé alors je recommence 🙂
Juste un petit mot en passant pour te dire que tu n’es pas seule et pour te donner un peu d’espoir.
Comme vous nous sommes en infertilité inexpliquée, 2 ans et 2 mois d’essais, une réserve ovarienne diminuée (AMH 0.7), des contre-temps qui ont ralenti les examens, 3 échecs en IAC, beaucoup de tristesse, de stress et d’inquiétude, l’impression que mon corps ne fonctionnait pas…
Et cette année nous avons fait notre 1ère FIV ICSI, tout c’est très bien passé même si nous avons eu peu d’ovocytes et donc peu d’embryons (2 J3). Il y a quelques jours nous avons découvert que ça avait marché ! On a enfin eu notre résultat positif ! Alors oui bien sûr ce n’est que le début (3 semaine de grossesse aujourd’hui) et je ne peux m’empêcher d’avoir peur de perdre notre petit et tout récent bonheur mais enfin il s’est passé quelque chose, enfin le soir je me couche avec beaucoup d’espoir et j’essaie de profiter de ces instants qu’on a longtemps attendu.
Je te souhaite beaucoup de courage, d’amour et surtout un résultat positif très vite.
Je ne connais que trop bien ce sentiment d’être impuissant, cette attente tellement longue qu’on a l’impression qu’on va devenir folle
Les parcours PMA sont durs mais vous aurez un jour l’immense fierté d’en sortir gagnante avec votre enfant dans les bras et ce sentiment de bonheur incommensurable qu’éprouve les couples qui ont tellement attendu un enfant
Ne cessez jamais de vous battre
Âme faible ici aussi et spermogramme très mauvais et pourtant je suis mzmz’ Aujourd’hui grâce à une fiv
N’hésitez pas à regarder le classement des centres de PMA sur internet
Il y a des centres qui ont du matériel bien plus performants et surtout des centres où on ne vous fera pas attendre avant de vous faire peut être passer en fiv
Bonjour Aurélie,
Juste un petit mot en passant pour te dire que tu n’es pas seule et te donner peut-être un petit peu d’espoir.
En quelques mots nous aussi infertilité inexpliquée, réserve ovarienne diminuée (AMH 0.7), des contre-temps qui ont ralentis nos examens, des mois d’attente, 3 IAC négatives, beaucoup de stress, de tristesse et d’inquiétude, l’impression que mon corps ne fonctionnait pas… Et cette année après 2 ans et 2 mois d’attente on a eu notre 1ère FIV ICSI, qui s’est super bien passée (à part le fait que nous avions peu d’ovocytes et donc peu d’embryons : 2 J3) et qui s’est soldée par un beau positif ! Alors oui c’est que le début (je suis à 3 semaines de grossesse) mais c’est la première fois qu’on a enfin un résultat positif et un vrai espoir.
Je te souhaite beaucoup de courage, d’amour et un résultat positif très vite !
Bonjour, je me retrouve bien dans votre témoignage. 3 ans d’échecs (j’ai commencé les essais à 26 ans).
Au bout de ces 3 ans, je rencontre une gynéco formidable qui nous prends de suite au sérieux et nous prescrit tous les examens nécessaires.
On fait les prises de sang, le spermogramme, l’hystero (le médecin qui l’a pratiquée m’a annoncé que cela pouvait être aussi douloureux qu’un accouchement selon les femmes. J’ai souffert, énormément, pendant cet examen, a deux doigts de m’évanouir sur la table).
Tous les résultats reviennent « normaux »! Seule petite chose qui pourrait expliquer pourquoi ça ne fonctionne pas : j’ai des ovaires polyfolléculaires. En gros, je produits énormément d’ovules mais à cause de la quantité ils n’arrivent pas forcément à maturité …
La gynéco nous prévoit donc une insémination. La première se déroule en juin 2018. Beaucoup de stress, de questions et dans mon esprit je suis défaitiste. Je sais que ça ne va pas marcher… Effectivement, 3 jours avant la prise de sang programmée, mes règles débarquent!
On décide de faire un break dans ce parcours avec mon mari. On profite de l’été, on part en vacances… 4 cycles passent et on reprends le parcours.
Cette fois-ci je suis détendue. mes injections d’hormones se passent mieux. je le vis mieux. 3 jours avant l’insémination, je fais le saut en parachute que ma famille m’a offert. Je me vide la tête, j’en prends pleins les yeux, je suis bien tout simplement!
L’insémination se passe bien, je suis détendue et cette fois-ci j’ai envie d’y croire.
Quelques jours avant la date de mes rrrr je commence à en ressentir les symptômes, je suis déçue mais pas découragée.
Puis le jour où elles doivent arrivé est là, mais toujours rien.
Je fais un test urinaire, j’ai l’impression qu’il y a ce second trait, mais j’en suis pas sûre. Le lendemain matin je vais faire la prise de sang. Et l’après midi le résultat arrive : POSITIF!
Je suis a la fin de mon 4eme mois actuellement. Tout se passe bien! Il faut garder espoir, s’entourer de personnes qui nous soutiennent, nous comprennent… Et s’éloigner des autres. Ceux qui nous mettent la pressions, qui nous posent des questions mais auxquels on n’a pas envie de répondre…
Ayez espoir!
Coucou…
notre parcours est à peu près semblable.. une infertilité inexpliquée, une réserve ovarienne faible mais pas catastrophique..
3 inséminations échecs, une réussite mais grossesse qui s’est mal terminée.. à nouveau 3 inséminations, 3 échecs… passage en fiv ICSI 2 essais, 2 échecs… pas de « congélation », 3eme tentative en cours…
ne perdez pas espoir… je sais que ce n’est jamais simple, surtout quand ces maudites prises de sang sont négatives mais je suis sure qu’un jour ça marchera… pour vous comme pour nous…
coucou,
J’ai 26 ans, bientôt 27.. et en avril ça fera 2 ans que j’ai arrêté ma contraception.
Nous avons commencé les examens au bout d’un an d’essai et nous sommes en PMA depuis septembre 2018. Tout est ok pour mon conjoint mais pour moi on remarque une réserve ovarienne faible également. Taux d’AMH à 1,75 , pas catastrophique mais plus faible que la moyenne pour mon âge. Au vu de ces résultats la gynécologue de la PMA nous oriente vers la FIV. Je suis paniquée et je demande 3 IAC, ça me semble moins médicalisée. La gynécologue accepte. Première IAC, je réagis « trop » bien au traitement, 3 follicules mâtures risque de triplés, IAC annulée. Iac 1 bis échec, IAC 2 échec, IAC 3 échec.
Dans mon malheur j’ai pu tout enchaîné assez rapidement, et depuis février je suis en protocole pour une FIV fin mars.
J’aurai aimé te dire que mes IAC ont fonctionné malheureusement non mais je voulais juste te dire que même si ça semble insurmontables
on arrive à passer outre l’échec et à croire à la suite car il reste tjs des solutions.
J’ai vu plusieurs gyneco dans’ mon parcours qui m’ont rassuré et m’ont dit que les IAC dans notre cas était tout à fait envisageables. Je te souhaite de tout cœur que ça fonctionne. Rien n’est jamais perdu. La bonne nouvelle c’est que ton corps réponds bien au traitement. Les doses seront ajustées au prochain cycle et tu as autant de chance que ça marche que n’importe qui.
Je t’envoie plein de bonnes ondes 🍀