Le chéri de Bérangère ne voulait, à la base, pas devenir père. Et puis il s’est ravisé et les amoureux ont donné naissance à un petit garçon. Mais maintenant, la jeune maman veut un second enfant, le papa lui ne veut pas. Comment faire ? Voici son témoignage.
{Témoignage} Suis-je égoïste de vouloir un second enfant ?
Bonjour,
Je m’appelle Bérangère et je suis l’heureuse maman d’un petit garçon de 4 ans. Cela fait 7 ans 1/2 que je suis avec mon conjoint, qui, à la base, ne voulait pas d’enfant !!
Depuis le début de notre relation je le savais mais je me suis dis qu’il allait peut-être changer d’avis, qu’il n’avait pas encore rencontré la bonne personne… et puis un jour complètement inattendu il m’offre un cadeau exceptionnel : un genre d’énigme (que j’ai eu du mal à comprendre au début même si j’espérais tout au fond de moi que ça soit ça) et un bola de grossesse ! Je vous laisse imaginer l’état dans lequel je me suis retrouvée, j’étais en larme mais des larmes de joie bien sûr.
Il était prêt à faire un enfant !
Rapidement, je suis tombée enceinte.
J’ai eu une grossesse extraordinaire même si j’ai été un vrai chat noir (accident de voiture, dégâts des eaux et vol de mon capot de voiture !). L’accouchement aussi s’est très bien passé.
Notre fils est un amour c’est le plus cadeau qu’il ait pu me faire en acceptant d’être père.
Seulement depuis quelques temps l’envie d’avoir un 2ème enfant me travaille beaucoup, ainsi qu’à mon fils qui me réclame une petite sœur. Je suis contre le fait d’avoir un enfant unique… pour moi le lien fraternel est important pour le développement de l’enfant.
Sauf que papa n’est pas d’accord du tout, pour lui il a déjà « souffert » (mot très dur qu’il m’a sorti) de la venue de notre fils même s’il ne regrette en rien sa naissance et qu’il l’aime de tout son cœur. Pour lui nous avons trouvé notre équilibre à 3 et physiquement il est fatigué (il faut noter qu’il est animateur/éducateur et qu’à longueur de journée il est avec des ados dont il fait l’éducation).
Je l’aime plus que tout et je ne me vois pas le quitter pour cette raison, mais je sais que je vais être malheureuse de cette situation. Est-ce que je suis égoïste pour autant de ne pas accepter sa décision ?
Merci de m’avoir lu, j’ai besoin de parler de cette situation qui me pèse. En plus dans mon entourage j’ai beaucoup d’amies qui m’annoncent qu’elles attendent le 2ème, ça me met un coup à chaque fois. Que dois-je faire ? Merci pour vos réponses.
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Troisfontaines Nicolas dit
Moi c’est semblable à vos vies de « famille » la chose qui est différente c’est que moi je suis papa et a une Madame qui ne souhaite plus d’autres enfants. Je suis devenus après 9 années d’attente très aigris et irritable. Je songe ouvertement à un divorce. Elle a toujours aimé laisser me faire croire qu’un jour cela pouvait être envisageable… et après ce temps c’est moi que l’on prends au ridicule! j’ai été patient et aimant mais rien ne peut faire et cela se retourne contre moi et ma jeunesse (44 ans). Mesdames, je vous demande de réfléchir aux hommes que vous épousez. Nous ne sommes pas tous des autoritaires/brutal et amis de nos amis. Certaines personnes comme moi peuvent être virile et aimer une véritable famille et non un couple parental d’un enfant.
La Mariée en Colère dit
ha parce qu’avec un seul enfant on n’est pas une véritable famille ?
Savez-vous que l’on devient une famille dès lors que l’on se marie, même si on n’a pas d’enfant ?
Xavier dit
Bonjour, moi aussi je cherchais des solutions face à une situation qui semble insoluble… Et après vous voir lu, je me sens juste plus mal et plus perdu…
Je ne voulais pas vraiment avoir d’enfant, mais ma compagne était tellement abattue, déprimée, envahi par un vide qui la consumait et je ne pouvais pas supporter de voir la femme que j’aime ainsi…. et j’ai accepté… Je ne regrette en rien, mon fils est probablement la meilleure chose qui me soit arrivée… Cependant, ça été extrêmement dur pour moi: j’ai l’impression de ne pas avoir dormi depuis 4 ans et d’avoir du mettre ma vie, mes envies, mes projets « entre parenthèse ».. Maintenant qu’il fait enfin ses nuits, et que j’entrevois (un peu) de temps qui se dégage pour pouvoir travailler et faire ce que je voulais de ma vie … la situation initiale se représente….
… et j’ai peur … pcq je n’en suis physiquement et mentalement plus capable de revivre ça… Je revois tt ces moments où je me disais « plus jamais ça », et je ne vois pas comment lui dire, sans la blesser d’avantage, que c’est trop me demander… Je vois vos témoignages et imagine ce qu’elle doit ressentir.. Mais que puis-je faire ? Est-ce qu’avoir un autre enfant que je *ne veux pas* (avec toutes les conséquences) est elle la seule solution ?
Marion dit
Bonjour,
Je suis tombée sur ce récit car je cherche un peu de soutien, je me sens tellement seule dans cette situation auprès de mon entourage.
Mon conjoint ne veut pas de 2ème enfant.
Nous sommes ensemble depuis plus de 8 ans, il a toujours voulu fonder une famille et avoir 2 enfants, cela a été clair depuis les premiers mois de notre relation, et je partageais les mêmes idéaux. Au bout de quelques années de relation, je n’arrivais pas à tomber enceinte. Il ne le vivait pas bien, et me faisait comprendre que si j’étais stérile, il ne pourrait pas continuer avec moi, car il n’envisageait ni une vie sans enfant, ni l’adoption.
Après 2 ans d’essai, je tombe enceinte naturellement ! Quelle joie, une grossesse parfaite, un accouchement nickel, un premier mois de vie de rêve … et là, les difficultés ont commencé : bébé RGO, des nuits catastrophiques, un bébé qui pleurait sans cesse. Une fatigue incompatible avec nos boulots d’infirmiers. Notre fils a 4 ans et il commence seulement à dormir un peu depuis ces 2 derniers mois … Je me suis levée TOUTES les nuits depuis sa naissance, mon conjoint quant à lui … peut-être une vingtaine de fois. Il ne supporte pas le fait que notre fils ne dorme pas, il l’a très mal vécu. Tout comme il vit mal les impératifs de la parentalité : les pleurs de notre fils, les crises dans des endroits inappropriés, les différentes phases d’opposition de notre fils ainsi que son caractère très fort, les trajets pour l’école, etc etc.
Pour autant, je m’occupe de tout ce que cela implique à au moins 80 voire 90%. J’aime être maman, c’est le plus beau rôle que la vie m’ai offert, la meilleure place que j’ai pu avoir au sein d’une famille. J’adore vraiment ça, et je m’y épanoui !
Mon conjoint c’est tout le contraire. Il a vite été très réfractaire à l’idée d’un deuxième enfant. Il n’a aucune patience et crie énormément sur notre fils, qui est une mini tornade. Le malaise est palpable.
Il est donc complètement fermé à ce projet, au point de me dire : « plutôt crever ».
Voilà, je sais que je ne peux pas lui imposer ça. Je pourrais très bien faire retirer mon stérilet et tomber enceinte dans son dos, mais c’est tout sauf moi. Pour moi un couple est une équipe. Je suis malheureuse comme les pierres depuis que nous avons eu cette conversation il y a dix jours. Je ne sais pas quoi faire. Ce serait aussi tellement égoïste de ma part de foutre en l’air notre famille JUSTE pour une envie de maternité. Mais je pense à ça constamment. Et je ne sais pas ce que je vais faire. Je me laisse un temps de réflexion, mais les 38 ans approche …
Marina dit
Je me permets de repondre meme si ma situation est differente.
Jetais en couple depuis 10 ans avec une fille de 6 ans..je me suis separée et mis en couple avec un homme plus jeune sans enfant.
Lui en veut mais je sais pas jeprouve pas le besoin mm si je laime plus que tout et je ne veux lui enlever ce bonheur detre pere..
Dc est ce grave si je le fais pr lui par amour pour lui?
Jai peur de pas aimer cette enfant car jai pas forcement envie dun deuxieme.
On a notre equilibre a 3 je suis bien comme sa et jai peur.
Aidez.moi
Steph dit
Je vis cela aussi.
Il y a 3 ans, j’ai quitté le père de ma fille pour un autre homme.
Ça m’est tombé dessus et j’ai quitté tout le confort que j’avais pour me mettre avec lui.
Ma fille avait 7 ans, comme son fils.
Cela me trottait dans la tête d’avoir un 2eme enfant déjà après ma 1ere.
Mais bon mon couple n’était pas optimum non plus.
Quand je me suis mise avec l’actuel, il m’a expressément dit qu’il ne voulait ni mariage ni enfant (j’avais 34 ans et lui 45).
Mais j’étais déjà accro. Donc j’ai pris sur moi.
Il s’est retrouvé seul à élever son fils car la mère s’est complètement déchargé. Donc je comprends qu’il puisse y avoir blocage.
Mais bon notre couple ne vit que des hauts et des bas depuis 3 ans (vive les familles recomposées et les belles familles toxiques). Alors serais ce raisonnable de toute façon ?
Il y a un an je suis tombée enceinte… il venait de me quitter et de se remettre avec son ex quand je l’ai appris. Mais je vis chez mes parents le temps de me remettre à flot (j’ai vraiment tout perdu en quittant le père de ma fille), donc un bébé impossible. Plus lui qui m’a poussé à avorter.
Bref une nouvelle douleur. Et une nouvelle faille dans ce couple.
Maintenant malgré nos arrêts/reprises, mon envie d’un 2eme est toujours là. Et lui toujours dans le non. Ça engendre des disputes perpétuelles.
Et moi à 37 ans, sans situation et bientôt périmée, beaucoup de tristesse.
Bref je n’ai pas de conseils à donner. C’est à chacune de décider.
Mais le temps passe vite. Et il est vite trop tard pour reconstruire une relation et donc entamer une nouvelle grossesse.
Parfois on aime l’autre. Mais le sacrifice qu’il nous demande est (trop?) Lourd à porter.
Et en même temps derrière, on a pas non plus de garantie de trouver quelqu’un d’autre « avec qui ».
Pour les plus jeunes vous avez encore vos chances.
Pour les plus vieilles comme moi, beaucoup moins. Ne restera bientôt plus que les regrets, l’amertume et le deuil à faire.
Bon courage à toutes.
Lola dit
Votre témoignage m’émeut beaucoup car je comprends votre douleur,
J’avais déjà laissé un commentaire l’année dernière, et malheureusement aujourd’hui, la situation n’a pas évoluée. Mon mari refuse toujours et notre situation est difficile car je souffre énormément de ce refus.
Je vous souhaite beaucoup de courage pour affronter cette douleur, ne perdez pas espoir..restez forte! Après la pluie, vient le beau temps.
meuhMeuh dit
Bonjour
Je n’ai pas l’habitude de laisser un commentaire sur internet. Aujourd’hui, je suis arrivée à un stade où la tristesse l’emporte. J’ai lu toutes vos histoires qui tristement me conforte dans l’idée que je ne suis pas seule.
Avec mon homme nous sommes ensemble depuis 9 ans. En 2020, je lui ai parlé d’un premier enfant, je le savais réticent pour se lancer mais par contre. Contre toute attente, il a accepté et je suis tombée enceinte du premier coup. Grossesse parfaite et bébé parfait qui a fait ses nuits très rapidement. Beaucoup m’ont envié à ce stade. Nous sommes heureux tous les trois.
Aujourd’hui, notre fille a 2 ans et demi, trois en fin d’année. Depuis l’année dernière je lui demande d’avoir un enfant. Je pensais que nous étions d’accord mais finalement il semble avoir changé d’avis. Je ne comprends pas, mon cœur explose. Il m’a donné pleins d’arguments différents. L’été dernier, c’était le fait que notre emploi du temps était compliqué parce qu’il adore son travail. Aucun souci, on a tout de suite corriger le tir. Puis ensuite, c’est le fait que notre fille était toujours à la crèche et que ça allait faire deux crèches en même temps, donc l’argument de l’aspect financier. Après c’est que notre fille ne sait pas encore parler et qu’elle n’est pas autonome. Début d’année ça y est, elle fait pleins de choses seules. Et maintenant, il me dit que c’est le fait d’avoir envie de s’occuper d’un deuxième enfant, qu’il faut le vouloir.
Ce qui est dur c’est que je ne sais toujours pas s’il en voudra un second. J’ai peur qu’il ne veuille pas me le dire clairement alors que pour moi c’est essentiel. Je lui ai toujours dit que c’était deux enfants au minimum, je ne veux pas d’un enfant unique. Notre relation devient assez toxique désormais parce que je n’arrive pas à ne pas être triste de voir d’autres copines enceintes de leur second. Je lui demande souvent s’il est prêt et j’ai pas de réponse ou toujours la même. Aucun argument ne le fait changer d’avis. J’avais eu le droit à un « on verra cet été ». Nous y sommes et c’est toujours non. Il m’a lancé un jour que je voulais un second enfant pour faire comme les autres. Cette phrase est cruelle, elle me détruit de l’intérieur.
Mon homme et ma fille ont un lien très fort. Ma fille et moi c’est pareil. Tous les trois nous fonctionnons très bien mais je manque cruellement d’un autre enfant.
Je ne sais pas quoi faire. J’aime mon homme! Et je sais qu’il m’aime aussi d’où le fait qu’il n’ose pas me dire clairement qu’il n’en veut plus d’autres.
Mais est ce que j’arriverai à partir pour avoir un autre enfant ? Est ce égoïste pour ma fille de séparer son père et sa mère pour avoir un demi frère/sœur ? Est ce que si je reste, elle sera heureuse d’être enfant unique ? Mes frères ont tous deux enfants à minima. Est ce qu’elle ressentira cela ? Et moi, est ce que j’arriverai à outre passer cela parce que j’aime mon homme ?
Je ne voulais pas d’un gros écart d’âge entre les deux. Mais si je pars, le temps de faire confiance à quelqu’un d’autre, tomber amoureuse et avoir d’autres enfants. Ma fille sera déjà bien grande.
Est ce donc stupide de partir ? Est ce que j’attends et j’oublie cette histoire d’écart d’âge ? J’attends qu’il veuille enfin m’en faire un second ?
Merci de m’avoir lue.
Merci pour vos histoires.
Courage à toutes et à tous.
Jessica dit
J’ai l’impression d’entendre mon conjoint lol toujours à repousser, à trouver des excuses, de mauvais arguments. Cette attitude prouve juste qu’il n’a pas envie d’en avoir et par ce fait te ballade. Cela fait plusieurs années que ça dure pour ma part. Toujours à repousser quand le moment promis arrive. On m’a conseillé de lui faire un enfant dans le dos sachant que nous avons déjà une fille de 7 ans et 8 ans de relation. Cela me choquais au début mais au final je vais le faire. Je sais qu’il sera heureux une fois l’enfant permis nous il a juste du mal à se lancer. Il a beaucoup peur de l’avenir vue les temps qui court donc j’ai décidé de me lancer à sa place. Essai de faire de même mais sans lui dire. Des accidents arrivent après tout.. et si il te quitte pour ça franchement c’est que c’était un homme qui ne tenais pas a toi. C’est un deuxième enfant pas un sixième
Agnès dit
J’ai laissé un commentaire à la sortie du témoignage. J’étais enceinte du 1er de 2 mois. Et maitnenant je me retrouve dans la même situation.
Avec mon mari on s’était dit 2, 3 si ça se passe bien. Notre petit ange est arrivé comme un bouleversement. Pourtant on en a eu un simple : première nuit de 8h à 6 semaines, allaitement qui roulait jusqu’à 8 mois, pas difficile pour manger, un goulu même, aucune régurgitation ou allergie, pas souvent malade. Il a maintenant 3 ans et il est de bonne humeur, plutôt obéissant, il écoute et est très curieux. Et comme c’est un enfant, même si il est facile, ben c’est ultra fatigant et usant et on a du mal a se retrouver à 2.
Depuis un peu plus d’un an je parle d’un 2ème et c’est niet. On se parle, on s’est donné nos raisons mais on est dans l’impasse. Lui a 1000 bonnes raisons : les couches, la fatigue, le peu de temps de couple, les contraintes etc. Et il a raison, j’appréhende aussi mais je le vois comme un mauvais moment à passer, 3 ans un peu galère avant une autonomie partielle. Mais j’ai une peur bleue de n’avoir qu’un enfant, s’il lui arrive quelque chose. Et puis quand on sera plus vieux et une charge, qu’il ne soit pas seul à le vivre.
J’ai 3 frères et je m’entends très bien avec 2 (l’autre habite aux US mais surtout il est distant depuis qu’il a quitté la maison à 20 ans, comme si on n’existait plus pour lui, seuls mes parents comptent). Avec un en particulier, je suis très proche depuis mes 18 ans, on se voit souvent, on se parle de tout, de nos vies de famille, de nos difficultés, plus jeunes on est parti en voyage ensemble, faire des soirées en semble alors qu’on a 5 ans d’écart. Mon père a une sclérose en plaque depuis 50 ans et sa santé se dégrade maintenant qu’il a passé les 75 ans, il a en plus fait 2 infarctus et un AIT, ma mère a fait 3 AVC mais elle est encore très active. Et je sais qu’on pourra compter les uns sur les autres quand ça n’ira plus. Mon beau-père lui est décédé l’an dernier de parkinson. Mon mari a un frère avec lequel il s’entend très bien, c’était son témoin. Les derniers années de mon beau-père ont été très dures avec des grosses pertes cognitives. Ils se sont serrés les coudes, ils ont été très présents tous les 2 et je pense l’un pour l’autre. Tout ça pour dire que nous avons chacun des relations fortes avec nos fratries et je ne comprends pas que mon mari refuse ça à notre fils.
J’en arrive au point de déprime, quasi tous nos amis ont leur 2ème en route ou arrivé, voire plus. J’ai failli pleuré il y a 2 semaines quand j’ai vu une maman enseinte poser son enfant à la crèche de mon fils. Il parle de revendre les vêtement de bébé et ça me blesse. Je prends la pilule et ça me dégoute de devoir penser à la racheter, à la prendre (j’ai un rappel partagé avec lui mais il ne vérifie jamais si je l’ai prise), à penser de ne pas avoir de rapport quand je l’oublie car lui n’y pense pas alors que je voudrai tout simplement l’arrêter. Je lui ai dit que si on essaie pour un 2ème, je ne ferai aps de PMA et j’étais prête à accepter ce que la nature me dirait, j’ai 35 ans et lui 40 au passage. Et aussi qu’il pourrait faire une vasectomie une fois que le 2ème serait né. Encore il aiderait plus pour notre fils, je pourrais comprendre qu’il pense que c’est dur mais j’ai l’impression de tout faire (je me lève la nuit quand il y a un problème même si c’est très rare, dès qu’il y a un jour de crèche annulé c’est moi qui prend le congé, même sur la liste des courses qu’il a commencé, c’est moi qui ajoute ce qu’il faut pour notre fils, c’est moi qui gère les rdv médicaux, quand il démarre sa valise avant moi pour les vacances, il ne fait jamais celle de notre fils, faire les papiers de notre fils, encore moi, les vêtements pour quand il change de taille, c’est moi, l’inscription à l’école moi et quand je demande un peu d’aide pour remplir les papiers, il n’y a que la signature, la grande majorité des bains, moi, j’ai du imposer un coucher sur 2 car mon fils me réclame tout le temps et je sais que sinon je devrais tous les faire aussi).
Alors oui, il doit se dire que je me suis éloignée et que ça serait pire avec un 2ème mais il ne comprends pas que si je m’éloigne c’est que je fais presque tout pour notre fils et que j’ai besoin de temps solo aussi et qu’il ne reste pas beaucoup de temps à 2, que si on partageait mieux, ça serait moins dur pour les 2 sur tous les plans. Autant la discussion pour le 2ème on arrive à l’avoir sereinement malgré le manque d’entente. Autant cette conversation il n’en veut pas. Je n’arrive pas à trouver le moment pour reprendre cette discussion. Je lui avais proposé de faire des listes de nos tâches pour que chacun comprenne ce que fais l’autre car je manque sûrement de recul mais il m’a dit que je n’avais qu’à faire ma liste et qu’il dirait en fonction de la mienne. Ce n’est pas sain de juste vouloir contrer ma liste mais il ne veut pas faire la sienne. Evidemment la mienne est prête depuis 1 semaine mais j’appréhende beaucoup, surtout qu’il a un contrecoup de la varicelle de mon fils et est malade depuis une semaine. Ca fait donc une semaine que je prends sur moi pour gérer mon boulot, la garde de mon fils, lui laisser du temps de repos et chercher dans ma tête comment entamer cette conversation sans le braquer quand il sera remis.
Maintenant je me dis qu’on devrait aller voir un thérapeute de couple mais je me demande comment il le prendra… Il a toujours refusé de voir un psy quand son père et son boulot n’allait pas en même temps (et notre fils était bébé donc c’tait une complication de plus).
Franck dit
Bonjour,
Je suis tombé par hasard sur ce blog, je ne laisse habituellement aucun commentaires mais les nombreux messages que j’ai lu sont tellement touchants et justes que je me permets d’en poster un.
J’ai longtemps été fermé à la discussion sur la volonté de ma compagne d’avoir un second enfant. Nous n’avions pas du tout discuté de l’arrivée de notre fille au tout début de notre histoire, à peine un an après notre rencontre. Je n’étais pas prêt à l’époque, mais elle semblait tellement heureuse de cette merveilleuse nouvelle que je n’ai pas trouvé les mots pour lui exprimer ce que je ressentais. J’ai eu tellement peur de la perdre que j’ai pris sur moi sans rien dire. Les années qui ont suivi furent terribles pour elle, j’oscillais entre la peur et la joie, jamais vraiment là physiquement et mentalement. Je partais tôt le matin et rentrais tard le soir pour mon travail, la laissant seule avec notre fille, tout gérer. Elle avait tout quitté pour moi, sa ville, ses amis, son appartement, tout. Je me rends compte aujourd’hui que nous n’avons jamais véritablement discuté de notre relation et de ce que nous attendions l’un et l’autre d’une vie à deux, d’une vie de famille.
Lorsqu’elle a essayé d’aborder le sujet du second enfant alors que notre fille avait 3 ans, j’ai été extrêmement dur avec elle. J’ai eu des propos d’une violence terrible que j’ai occulté durant des années. J’ai mis longtemps à me souvenir de tout ce que j’avais pu dire, je ne n’en avais plus aucun souvenir.
J’ai 42 ans maintenant et de terribles regrets de ne pas avoir été à la hauteur pour en parler sereinement avec elle à l’époque. J’aurais dû lui exprimer simplement ce que je ressentais car je sais qu’elle aurait su trouver les mots pour me guérir, elle a toujours voulu m’aider, même durant les pires moments. Le temps a passé, la vie à fait son chemin, notre fille a grandi et du haut de ses 10 ans elle voit ses camarades et ami(e)s avec un frère ou une sœur. Elle se sent, tout comme ma compagne, anormale, différente, amputée de quelque chose qu’elle n’a jamais eu mais qui lui manque terriblement.
Je consulte maintenant une psychothérapeute, il aura fallu beaucoup de chagrin et de douloureux évènements pour que je comprenne tout ce qui nous arrivait véritablement, malheureusement trop tard. Mon couple est peut-être arrivé à un point de non retour, à une croisée des chemins pour ma compagne, notre fille et moi. Nous sommes actuellement dans une phase de transition compliquée où personne ne sait vraiment qui il est, où il va et quoi faire. Je suis maintenant à court de mots, j’ai dit et fait tout ce qui était en mon pouvoir pour essayer de guérir ma famille, les gens que j’aime et qui font ma vie. J’ai constaté trop tard que la base de toute relation était l’amour et le dialogue, cette connexion que je ne n’avais pas vraiment comprise avant. Je vis avec deux anges qui ont vécu un enfer par ma faute, j’étais la solution et la cause de nos problèmes qui sont maintenant insolubles parce que le temps a continué sa course folle. J’ai abîmé l’amour que ma compagne me portait durant toutes ces années malgré ce que je j’ai pu lui dire et lui faire subir. Il aura fallu tout ce temps pour que je comprenne que le bonheur est si facile et à portée de main. Il faut simplement lâcher prise et savoir s’écouter, faire taire son mental et laisser parler son coeur, tout simplement.
Maintenant que notre fille est grande, est-ce trop tard ? Avons-nous véritablement laissé passer le train de la vie sans y prendre place à son bord ? Je ne suis plus légitime en tant que compagnon de vie pour la femme que j’aime, j’ai trop attendu pour me remettre en cause.
Nous ne pourrons jamais comprendre, nous les hommes ce que les femmes vivent lorsqu’elles portent et donnent la vie, c’est quelque chose qui nous échappe totalement. La seule chose que nous pouvons faire c’est de les aimer et de les accompagner durant cette épreuve, car s’en est une.
J’espère que ces quelques lignes pourront aider certains et certaines à ne pas abîmer leur relation et à accueillir le plus beau cadeau qu’on puisse faire à un couple qui s’aime, un enfant. Apprenez à écouter et à ne plus avoir peur, soyez vous-même sans entrave, sans peine, sans jugement. Apprenez à vous aimer pour pouvoir aimer quelqu’un d’autre et ne laissez pas passer les moments de bonheur que la vie peut vous offrir. Si vous sentez que le dialogue et l’écoute bienveillante n’est pas possible avec votre compagnon de vie, partez et ne vous retournez pas, faites le choix de la vie et pas de la mort à petit feu. C’est ce que j’aurais voulu que l’on dise à l’amour de ma vie à l’époque de mon refus catégorique parce qu’elle est une mère aimante et une compagne de vie formidable. Je l’aime au point d’accepter aujourd’hui qu’elle s’en aille loin de moi même si cela me rend triste.
Je t’aime !
Caroline7788 dit
Bonsoir,
Je viens de lire votre commentaire et ça me touche. J aimerai tellement que mon conjoint le lise …
Je suis dans la même situation que Berangere
Mon conjoint ne voulait pas d’enfants, on s est rencontré tôt , à l âge de 16 ans.
Lorsque qu’il m’a enfin dit qu’il voulait un enfant avec moi, comme Berangere j etais en aux anges.
15 ans ensemble, nous accueillons notre petite fille, qui cette année va avoir 4 ans.
Je n ai jamais repris la pilule après mon accouchement et mon conjoint était au courant.
Je suis donc tombée enceinte « sans que nous le prévoyons » en août 2021.
Après avoir le test qui s est avérée positif j ai eu une période de mal-être
A la fois heureuse d être enceinte car je voulais un deuxième enfant mais dans le même temps perdu, car je devais l annoncer à mon conjoint qui ne voulait pas d autres enfants
J ai pris mon courage à deux mains et je lui en ai parlé, je ne voulais pas lui cacher cette grossesse.
Mais ça été le début d’une descente en enfer pour moi …
Il m a demandé expressément de prendre rdv pour avorter …
J ai hésité mais c était tellement l enfer pour moi à la maison que je l ai fait et aujourd’hui, 1 an et demi Après je regrette tous les jours cet acte. Il ne m a pas du tout accompagné dans cette épreuve, me délaisse et je reste très souvent seule avec notre fille alors que lui sort avec ses potes.
J ai été suivi pendant 1 an par un psychiatre mais à aujourd’hui je ressens ce besoin d avoir un 2eme bébé.
J ai envie d en parler a nouveau avec lui mais je bloque tellement peur d’affronter sa réaction…
Je sais que je resterai à jamais malheureusement sans donner la vie une 2 eme fois et un frère ou soeur a ma fille.
Merci d’être tombé sur ce post et m avoir permis de mon confier, car quasi personne de mon entourage est au courant et encore moins nos familles
Clém dit
Merci pour ces mots.
Amélie dit
Bonjour,
Je suis dans la même situation que la plupart d’entre vous.
J’ai 39 ans, une adorable fille de 4 ans à qui j’aimerais faire connaître les joies d’avoir un frère ou une sœur.
Je suis avec mon conjoint depuis 7ans et demi et nous sommes mariés depuis peu.
Lui ne veut pas de 2e enfant.
Ses raisons: la peur de ne pas assumer financièrement, la peur de ne pas être assez organisés dans notre quotidien, la peur de briser le fragile équilibre qu’on a réussi à mettre en place dans notre couple suit à l’arrivée de notre fille.
Selon lui, 2e enfant égale divorce. Il parle même de se faire une vasectomie pour être tranquille (il n’a que 37 ans).
Je trouve ses réponses d’une violence extrême, je suis choquée par son raisonnement.
Si la peur guidait nos vies, personne n’aurait jamais rien construit.
De mon côté, je pense que justement nous ne referons pas les mêmes erreurs qui ont mis à mal notre couple à l’époque car nous avons appris à mieux communiquer.
Son histoire de vasectomie m’a mis un sacré coup au moral car j’en viens à penser qu’ainsi il sera libre d’aller voir ailleurs sans se compromettre. Et surtout c’est une décision qui ne laisse aucune place à la discussion.
Je me sens triste et incomprise. Pire même: je ne me sens pas écoutée.
Je dois enfouir mon désir de 2e enfant mais ce n’est pas possible.
Je connais les joies d’avoir une sœur (lui-même est issu d’une fratrie de 3 enfants).
Je sais que pouvoir compter sur ma sœur dans les pires moments de ma vie a été une bénédiction (mort de mon ex petit ami, maladie de mes parents (cancer + AVC), nombreux décès dans ma famille).
Et également pouvoir jouer avec elle et avoir une belle complicité a été quelque chose de merveilleux dans mon enfance.
Voilà les raisons qui me poussent à vouloir un 2e enfant, d’autant plus que notre fille a demandé sur sa liste une petite sœur au père noël.
Me voilà dans une impasse. Je ne suis plus aussi joyeuse avec lui. Heureusement ma tristesse n’atteint pas la relation d’amour et de joie que j’ai avec ma fille.
Merci de m’avoir lue, je me dis qu’au moins certaines personnes m’auront écoutée et comprise.
Belle journée à tous
Pso dit
Bonjour je suis dans la même situation que toi, sauf pour la vasectomie, mon mari m’avait toujours parlé d’un deuxième enfant sauf que depuis plusieurs mois il semble avoir changé d’avis me donnant les mêmes excuses que ton conjoint.
J’ai 33 ans et lui 34, nous avons une petite fille de 2 ans et 8 mois et il était prévu que nous lancions le 2 eme avant ou après sa rentré scolaire aujourd’hui il n’a plus cette envie. Je ne comprend pas, lui qui a voulu que l’on garde le lit de notre fille, dès vêtements, des jouets etc.. aujourd’hui tout a changé dans sa tête.
Il m’explique qu’il n’aura plus de temps pour lui pour la musculation, encore plus de fatigue et surtout qu’il ne s’occupera pas de ce deuxième enfant comme notre fille.
Je travail dans le médical et je bosse des week-ends donc il s’occupe de la petite et lorsque je travail (je pars très tôt le matin et rentre tard le soir) il l’emmène à la crèche et va la récupérer car son travail le lui permet.
J’ai droit à des réflexions parfois que aucun homme ne s’occupe de ses enfants comme lui, ses amis a lui ne sont jamais à leurs domicile avec leurs femmes et leurs enfants et sont « libres »
Je lui explique que ces mères ne travaillent pas et qu’elles peuvent gérer toute là journées sans solliciter leurs conjoints d’où le fait qu’ils ne font rien.
Il ne m’écoute pas.
Pour avoir changer comme ça d’avis je pense qu’il a besoin de liberté ou de s’amuser, d’aller voir ailleurs, un deuxième enfant serait pour mon mari je crois, un autre engagement et je pense qu’il ne veut pas me le dire mais il ne veut plus d’engagement avec moi. Pourtant il dit m’aimer et être heureux.
Je suis vraiment triste de cette situation, nous avions depuis le début le désir de 2 enfants c est quelque chose que j’avais imaginé et je m’étais projeté. J’ai l’impressions qu’il m’a donné de faux espoirs et c’est pire que tout.
J’au réellement envie de ce deuxième enfant.
manon Gatouillat-Garcon dit
J’ai exactement la même situation à la maison. Nous sommes ensemble depuis 13 ans et mariée il voulait des enfants avant moi. Nous avions toujours parlé de 2 enfants. Notre fils a 3.5 ans et c’est pareil il ne veut plus de 2 ème enfant car il se rend compte qu’il a besoin de temps pour lui, se reposer et l’organisation et le côté financier qui sont plus difficile lorsque l’on en a 2. Ayant une sœur jumelle j’ai vécu et je vie tellement de belle chose que je trouve ca triste qu’il grandisse seul…
Belzefa dit
Bonjour,
Je me retrouve dans vos mots.
Mon mari ne veut pas de deuxième enfant. Moi j’en veux un je ne veux pas d’enfant unique.
J’ai eu une grossesse compliquée et des débuts difficiles avec la petite.
Mais aujourd’hui elle a 2,5 ans et elle se porte à merveille. Elle est très vive d’esprit et plutôt obéissante.
Mon mari ne veut pas d’un deuxième à cause des contraintes que cela engendre d’avoir des enfants.
Je m’occupe les 3/4 du temps de notre fille et je fais la plupart des tâches ménagères pour qu’il ait du temps pour lui et malgré cela, il refuse.
J’aimerais avoir un espoir!
Merci à vous.
Camille
Leonie dit
Bonsoir,
J’ai 34 ans et pareil mon conjoint ne veut pas de deuxième enfant c’est très difficile pour moi j’ai parfois mon estomac qui se broie à l’annonce des grossesses de copines. J’en veux beaucoup à mon conjoint je m’éloigne de lui je n’ai plus envie de partager.
Lumina dit
Bonjour
Je vais avoir 30 ans, maman d’un petit garçon de 2 ans et demi bientôt 3 et mon conjoint refuse également d’avoir un deuxième enfant…. pour quasiment les même raison que le vôtre
Bibou dit
Bonjour ,
Je me suis vu en vous lisant,
C’est ce que je vie actuellement .. en couple depuis 12ans , au début il ne voulait pas d’enfant j’ai pas assister mais j’ai eu très mal de mon côté, est puis après une discussion il a voulu un enfant je suis maintenant maman d’une petite fille de 4ans. Mais depuis un an et demi j’en veux un deuxième après discussion avec lui il m’a répondu » pas maintenant » donc triste mais je me suis dis pas grave peut-être l’année prochaine… Il y a 3semaines j’ai eu un retard de règles ( je ne prends aucune pilule) j’ai eu mal aux seins fin symptômes de grossesse ! Je suis partie voir mon gynécologue qui m’a annoncé une grossesse nerveuse … Depuis je désire énormément un deuxième bout de chou mais mon conjoint ne veux plus d’enfants un est suffisant !! Enfaite je le comprends moi même pas il m’a dit a deux reprises » pas maintenant » ensuite un » peut-être » est hier il m’a dit j’en veux plus .. quand j’ai demander le pourquoi il m’a répondu » c’est psychologique » faut dire que notre fille n’a pas fait une seule nuit durant ça première année de vie ça a du le choqué mais il a aussi dit que ce n’était pas définitif !! Mais je me sens capable d’en assumer un deuxième ( puis chaque enfant est différent) je verrais bien plus tard !!
Il faut garder un petit espoir même si pour nous c’est très dur , peut-on leurs en vouloirs ?? Ils nous ont déjà donné un beau cadeau !!
Attendez un petit peu peut-être qu’il finira par changer d’avis !!
Une maman qui souhaite du courage a toute celle qui désire un autre enfant
Lola dit
Bonjour,
Je suis dans la même situation que vous, c’est très douloureux à vivre. Je suis perdue car je n’imagine pas ma vie sans mon mari, nous sommes heureux et j’aime notre petite famille. En même temps, l’envie d’un second bébé est la, j’essaie de la mettre de côté mais cela revient et s’accentue.
Mon mari me dit qu’il n’est pas prêt mais ce n’est pas un non catégorique toutefois cette réponse dure depuis presque 2 ans.
Il ne se projette pas et n’en ressent pas l’envie. Je ne peux pas et je ne veux pas le forcer bien entendu mais cela est très difficile à vivre.
Le temps passe, je suis perdue et en souffrance.
Comment vous en sortez vous, avez vous réussi à sortir de cette situation ?
Cam dit
Bonjour,
Maman aussi d’un petit garçon de 2ans et demi, on s’était toujours dit qu’on aurait 2 enfants, mais voilà il coupe court dès que je mets le sujet du 2ème enfant sur le tapis…il dit que s’est à cause de mon premier accouchement qui s’est très mal passé et qu’il a peur…je n’arrive pas à avoir les mêmes craintes que lui malgré ce qui m’est arrivé, alors je vis mal ce refus
Dubois dit
Bonjour,
Je suis dans une impasse aussi. J’ai 39 ans et un profond désir d’en avoir un deuxième depuis presque 7 ans. Ma fille va sur ses 9 ans et comme pour beaucoup, le rôle de parents n’est pas facile. Hier, j’ai eu ma dernière ovulation pour espérer avoir un deuxième enfant avant mes 40 ans. Nous nous sommes pris la tête car ma fille à table lui a dit qu’il devrait faire un deuxième enfant pour avoir un garçon. C’était sur un ton de plaisanterie (mais dit quand même) en prétextant que comme ça il ne serait plus le seul garçon à la maison. Il s’est montré sec en disant pas question. Comme à chaque fois, ça m’a fait l’effet d’un coup de poignard. Je n’ai plus souris et me suis montré froide alors l’ambiance était plombée. Il a connu une enfance difficile, souffert du divorce long et compliqué de ses parents, est devenu papa à tout juste 21 ans sans le vouloir mais a assumé du mieux qu’il pouvait malgré tout. J’ai toujours fait en sorte de le rendre heureux quitte à accepter ou faire des choses qui ne me conviennent pas. Le voir heureux suffisait à me faire passer au dessus de beaucoup de chose et son bonheur me rendait heureuse alors je ne ma suis jamais forcée à faire ou accepter les choses. Mais aujourd’hui, malgré ma tristesse, il me refuse ce deuxième enfant. Ça me fait mal et me déçoit énormément. J’ai le sentiment d’avoir perdu des années à aimer et construire ma vie avec un homme qui, finalement, n’hésitera pas à me laisser avec cette souffrance. J’ai 39 ans, je n’ai qu’une vie et mon horloge biologique se fait cruellement sentir. Je ne conçoit pas ma vie sans ce deuxième enfant mais j’aime mon mari. Ma fille est malheureuse également d’être fille unique. J’en veux beaucoup à mon mari et ma rancune, petit à petit, me coupe l’envie de lui donner autant que je pouvais le faire. Il me déçoit. Je vois autour de moi depuis bientôt 7 ans avoir un enfant et un deuxième, le futur grand frère ou la future grande sœur être fière, les nouveaux bébés arriver,… Et je souffre. Depuis hier soir, je suis déprimé. Il compte vraiment me laisser comme ça ?! C’est pas possible. J’ai le sentiment de ne pas le mériter à ses yeux. Ai-je épousé la bonne personne ? Dois-je divorcer ? Beaucoup de questions me viennent en tête encore plus brutalement qu’il y a quelques jours. Ce cap de dernière ovulation pour accoucher avant mes 40 ans me fout un sacré coup. C’est très dur. Comment vais je réagir quand la ménopause va arriver ?… Plus qu’avant des questions me viennent en tête et le simple fait de me les poser me rend triste et me fait peur…
Dubois dit
Je précise qu’il était devenu papa à tout juste 21 ans d’une précédente relation. En ce qui nous concerne, nous avons 39 ans pour moi et 41 ans pour lui. Notre fille était désirée. Nous avons mis 3 ans pour que je tombe enceinte naturellement.
Triste dit
Bonjour,
Je comprends ce que vous ressentez. J’ai bientôt 36 ans et je suis maman d’un petit garçon de 3,5 ans. Il est incroyable, il a toujours bien fait ces nuits. Depuis 2 ans, j’espère avoir la chance d’être à nouveau maman. Mon mari ne c’est jamais levé la nuit, et c’est toujours moi qui m’occupe de lui (couches, habits, etc ..)Malheureusement l’envie n’est pas partagée. D’abord mon mari pretextait que l’appartement était trop petit pour 2 enfants. Du coup j’ai trouvé la maison qu’il voulait, j’ai bien vendu l’appartement, je me suis énormément investie, afin qu’on puisse acheter la maison. J’ai ensuite attendu 1,5 ans, pour que finalement, il n’en veuille pas. Il a un frère mais pas de complicité.
Moi je suis fille unique et j’aurais aimé avoir un frère une sœur. Mais heureusement j’avais mes cousins et on se voyait beaucoup. Tandis que mon fils n’a aucun autre enfant dans la famille proche, du coup seul enfant à toutes les fêtes. Je suis tellement triste de cette situation, et je lui en veux énormément, car je me suis investie à fond, je me suis sacrifiée et j’ai toujours tout fait pour ma famille (contrairement àlui), mais je n’ai rien en retour. Je n’ai pas le choix que de faire avec sa décision et d’essayer d’aller de l’avant, mais c’est très dur et je ne sais pas si j’arriverai à pardonner.
Courage à vous
eric dit
Bonjour ,
Je viens de lire vos témoignages. je suis papa d’une très belle petite fille de 5 ans depuis quelques jours. j ai 48 ans bientôt 49 .
ma femme a 41 ans .
il y a 12 ans , on a discuté ensemble sur un site pendant plusieurs mois avant de se rencontrer . je sentais dans ses propos un mélange de tristesse et de volonté de bonheur. c’est ce qui m a attiré .
j ai compris par la suite qu’elle venait de perdre son grand frere de maladie . j ai essayé de la soutenir à chaque fois qu’elle était en crise .je ne l’ai jamais laché .
j ai toujours voulu construire notre couple dans le sens de l avancée. sans être marié
on a décidé d’avoir un enfant 3 ou 4 ans apres notre rencontre. on n’y arrivait pas , et a chaque fois que ca ne marchait pas , c’était des scenes compliquées à canaliser. elle a voulu passer par un gynécologue renommé pour que ca marche etc…Et puis un jour, après l obtention d’un diplome universitaire , ma femme s’est décontractée et elle est tombé tout de suite enceinte naturellement.
Tout ce passé bien pendant sa grossesse , jusqu’au jour où notre bébé a eu un retard de croissance . D’une période heureuse , on a basculé du jour au lendemain dans une période tres anxiogène. plus de 3 mois avant le terme , elle a du accoucher en urgence.
je me suis retrouvé avec ma femme entre la vie et la mort pendant plusieurs jours (elle est restée pendant plus de 15 jours dans une pièce à coté du bloc opératoire ) et ma fille tres grande prématurée entre la vie et la mort également (700g à la naissance)
a femme s’en est sortie heureusement , mais a la suite d’investigations pour connaitre les raisons de c ebrutal arret dans la grossesse , les medecins ont diagnostiqué une maladie genetique rare .
Aujourd hui elle est suivie pour celà et c est stable.
Mais ma femme veut un second enfant car elle dit qu’on lui a volé sa grossesse . elle veut aussi un deuxieme enfant parce qu’elle a peur de se retrouver sans enfant s’il arrivait un accident à notre fille . Et il y a cette horloge biologique .
Moi ca me fait tres peurcar , d’une part je suis âgé pour être papa (mon second enfant aurait 30 ans quand j en aurais 80), en plus j’ai peur qu’elle rencontre,même si elle era particuierement surveillée par les medecins, les même problèmes la seeconde fois ( et que cette seconde fois l’issue ne soit pas si positive – notre fille fera quoi sans sa maman ? je lui expliquerai quoi?) et je ne veux pas d’un enfant pour palier à l’eventuelle disparition d’un des deux.
Elle a appris que ce serait difficile d’avoir un second enfant
Aujourdhui , je ne sais plus quoi faire . je suis désemparé , il n’y a que ca qui compte pour elle et pas de construire heureusement notre vie avec notre fille qui a besoin de ses deux parents .
On pourrait etre tellement heureux . … c’est vrai qu’un second enfant ce serait bien , mais pas dans ces circonstances imposées par ma femme . Je me dis que si ca doit marcher , on aura un second enfant et que si ca ne marche pas , c’est peut etre parce qu’il vaut mieux ainsi.
Mais ma femme ne l’entend pas comme ca .
J’espere que l’avenir saura nous aider a trouver une solution et à nous serrer les coudes
maion dit
Bonjour, j’aurai pu écrire mot pour mot cet article…..
C’est vraiment difficile d’y voir clair.
joanna tellier dit
Bonjour à toutes,
cela me fais un peu de bien de lire vos commentaires et de savoir que je ne suis pas seule a vivre cette epreuve,
Je suis avec un homme qui à déjà eu 3 enfants d’une première union. Nous nous sommes mis ensemble il y a 4 ans nous avons 17 ans d’écart .
Il s’avait que je voulais un enfant il à été d’accord pour me faire ce cadeau mais il m’as mis dans « l’ambiance » tout de suite en disant que c’était un pas plus. Nous avons eu une magnifique petite fille et depuis quelques temps l’envie d’un deuxième enfant reviens pour moi ( je ne supporte plus de voir une femme enceinte ou un bébé ça me brise) un jour j’ai trouvé le courage de lui en parler car je devenais et suis agressive envers lui en partie pour ça. Il m’a répondu qu’il n’y en aurais pas d’autres que c’etait fini pour lui.
Depuis je suis en dépression et suis sous traitement je suis tirailler entre l’envie de partir et de rester car je ne me voit pas être sans ma fille ( 19 mois). je sais que je retarde l’échéance.
Dans ma tête c’est si je part je me condamne a ne plus être tout les jours avec ma fille mais peut etre a redecouvrir la joie d’être maman et si je reste je suis avec ma fille mais malheureuse et je sais pas si je tiendrais le coup
Lola dit
Bonjour,
Je comprends tout à fait votre situation, ou en êtes vous aujourd’hui ? Je suis perdue également…
j’aime mon mari mais je souffre tellement de son refus, il ne me comprend pas.
MissPalmer dit
Bonjour à toutes,
J’ai lu vos histoires et je comprends vos peines.
Nous avons une petite fille de 4 ans avec mon conjoint. Cela fait 2 ans maintenant que je lui parle d’un second enfant. Il a beaucoup d’appréhensions. Je le sens extrêmement réticent même s’il aimerait me rendre heureuse et donner un frère ou une sœur à notre fille.
J’ai un travail très prenant. Ces deux dernières années, j’ai été très occupée sur le plan professionnel et lui préférait attendre que cela se calme avant d’envisager un second enfant. Cette année, j’occupe un poste plus tranquille, à côté de chez nous. J’ai retrouvé du temps pour nous et pour notre fille. J’ai alors très vite reparler du deuxième.
Il y a quelques mois, j’ai compris de façon très brutale qu’il ne partageait pas mon envie. Un jour, lors d’un déjeuner, je lui ai dit que nous devions faire attention, que je pouvais tomber enceinte car nous faisions beaucoup l’amour depuis quelques temps. Et là, à l’idée que je puisse être enceinte, il s’est littéralement décomposé… Il a paniqué. Il m’a demandé pourquoi je disais ça. Que c’était trop tôt…
Intérieurement, je me suis effondrée. Nous avions toujours partagé l’idée d’avoir au moins deux enfants. Cela a remis en question ses sentiments pour moi, la solidité de notre couple, enfin tout. S’en est suivi bien 15 jours où je me suis sentie déprimée, où j’ai beaucoup pleuré. Il l’a très mal vécu de me voir souffrir autant.
Autour de moi, mes amis et mes collègues enchaînent les bébés avec une facilité déconcertante… Parfois je lui reproche que les choses ne soient pas aussi simples entre nous. Et puis, je regarde un peu mieux et je vois aussi des femmes qui forcent la main de leurs conjoints, qui le font sans leur accord, qui menacent de les quitter. Des hommes qui cèdent pour avoir la paix, par faiblesse, par crainte d’abandon. Des couples qui ont plusieurs enfants rapprochés mais qui perdent la tête à force de ne plus vivre pour eux ni pour leur couple. Qui se perdent un peu. Qui se trompent pour d’autres. Je vois aussi des hommes qui acquiescent mais voient leurs enfants comme une corvée, une contrainte, font avec mais sans vraiment s’impliquer. D’autres qui se plongent à corps perdu dans le travail, dans les jeux vidéos, dans l’alcool. Et je finis par réaliser que tout n’est pas aussi simple chez tout le monde.
C’est vrai que mon conjoint me fait souffrir de ne vouloir qu’un enfant. Mais il est aussi et surtout un papa très présent et un conjoint attentionné. Il aime notre équilibre à trois et à peur de tout remettre en question. Il craint d’être de nouveau inquiet, de ne plus avoir de temps pour nous, pour lui. Je comprends. J’ai les mêmes craintes. Je sais que tout cela est surmontable mais je veux aussi respecter son ressenti. Ne pas violer son non désir d’un autre enfant.
Je réalise que notre vie à trois est confortable. Nous avons retrouver une vie sexuelle et de couple épanouissante. Notre fille est dans l’âge où tout est beaucoup plus simple. Nous pouvons nous faire plaisir sans trop appréhender les finances. On est fusionnels tous les trois, on sort énormément (bon moins avec le covid malheureusement). La vie est douce. Un peu idyllique.
Et puis nous avons deux boulots très prenant. Des horaires compliquées et des ambitions pour l’avenir. Et je pense que c’est tout autant de raisons pour lui de rester comme cela. Dans cette zone de confort, avec toutes ces libertés retrouvées et le bonheur de voir grandir son enfant unique sans qu’il ne manque ni de temps, ni d’attentions.
Parfois, quand je suis en colère à cause de tout cela, j’envisage le pire: une séparation. Et puis je reviens à la raison. Je l’aime, il m’aime. Cela marche tellement bien avec notre fille. Il est inenvisageable que je le quitte pour cette raison.
Alors nous avons décidé d’entamer un travail chacun de notre côté avec un thérapeute. Moi, pour gérer la question de ce 2e enfant. La douleur et le déchirement que cela provoque dans mon ventre et dans mon couple. Et lui pour comprendre pourquoi alors qu’il nous aime plus que tout, il rejette viscéralement l’idée d’avoir un autre enfant avec moi. Pourquoi tout bouleversement engendre une profonde anxiété chez lui.
C’est un travail très douloureux. Peut-être que nous devrons avoir un travail thérapeutique commun si a un moment donné nous n’allons pas mieux. Si chacun n’apprend pas à mieux gérer ses angoisses. En tout cas, on essaye très fort de mieux se comprendre et surtout de ne pas nous perdre. Finalement, quand on creuse dans nos histoires respectives, il y a des réponses aux raisons qui me poussent à vouloir un autre enfant de façon aussi obsessionnelle autant qu’il y en a pour expliquer pourquoi ce blocage chez mon conjoint.
Quelque soit la souffrance engendrée par le refus de votre conjoint d’avoir un 2e enfant, je vous encourage toutes à travailler sur vous, à l’encourager à le faire lui aussi de son côté pour trouver un équilibre ensemble et arriver à surmonter cette épreuve. Votre amour et votre couple ne se résument pas qu’au fait d’avoir des enfants. Quand cette envie n’ai pas partagée, chacun a le droit de ressentir et chacun doit respecter le sentiment de l’autre. Faire un enfant est une immense responsabilité que les hommes ont du mal à porter (parce qu’ils ne portent tout simplement pas les enfants pendant 9 mois et cela change tout). Cela est plus naturel pour nous.
Forcer la main, faire un enfant sans le consentement de son conjoint, c’est une lourde décision. Il est important qu’elle soit partagée. Et si elle ne l’ai pas, alors il est essentiel de comprendre pourquoi et d’essayer de surmonter cette épreuve ensemble.
Je ne sais pas ce que donnera le travail que nous avons entamé. Si je peux, je partagerai cela avec vous au fil des mois. Je ne sais pas si nous aurons un autre enfant un jour mais je sais que l’on a notre fille. Et pour elle nous ferons tout pour continuer d’avancer ensemble dans la même direction avec ou sans un autre enfant.
Dans l'impasse dit
Bonjour , merci pour ce témoignage.
Je suis un homme de 41 ans et ma compagne fera 48 ans en décembre. Nous avons une petite fille de 3 ans qui vient de rentrer à l’école : magnifique , adorable , on se demande comment on fait pour avoir une fille comme ça. J’assume pleinement mon rôle de père même des fois un peu trop je pense !
Madame veut absolument un 2nd mais pas moi. Je ne saurai pas dire pourquoi , expliquer mes craintes que je mets sur la fatigue ( elle se réveille encore toutes les nuits) ; le côté contraignant des choses ( trouver des modes de garde , trouver des activités , la coucher etc …).
Et puis , le couple a pris un peu l’eau : j’ai même entamé une thérapie avec une sexologue en septembre 2020 tellement que j’étais malheureux dans mon couple et je me dit que le 2nd va engendrer l’anesthésie du couple.
Elle aurait pas d’enfants , je comprendrai mais là qu’elle profite de notre fille qui à son grand désespoir grandit : ma compagne ne vit pas très bien la rentrée à la maternelle.
Je sais que je la rends triste , je suis au bord de me sacrifier en disant oui mais en faisant ça , on sera certes 4 mais 4 malheureux!
Elle me traite d’égoïste , de décider pour elle , qu’à cause de moi , elle sera malheureuse jusqu’à la fin de ces jours ! mais quelle solution j’ai ?? J’essaye de la raisonner sur son âge ( si on en fait un second , elle aura plus de 50 ans quand l’enfant ira à l’école maternelle , elle devra gérer une crise d’adolescence à plus de 60 ans , et elle se condamne à travailler jusqu’à 70 ans , elle qui déteste son travail ! )
J’ai l’intime conviction que le second lui apportera du bonheur pendant la grossesse et son congé maternité – aprés , on rencontrera le même problème que le premier.
Merci de m’avoir lu et je reste à votre lecture -)
Lola dit
Bonjour MissPalmer,
Si je peux me permettre, je souhaiterais savoir comment votre histoire a évoluée ?
Je suis également dans une impasse avec mon mari, cette envie grandit en moi et je ne cesse d’y penser. De son côté, cela lui fait peur et il ne se projette pas du tout.
Je suis perdue je ne sais comment faire pour sortir de cette impasse. Je n’imagine pas ma vie sans lui, mais je ne peux pas enfouir cette envie.
Diana dit
Bonjour,
Certains commentaires m’ont bien évidemment fait pleurer…. Je voulais au moins un enfant alors qu’il a déjà des enfants d’une autre union. Il m’a donné une merveille que j’aime plus que tout. Mais je lui ai toujours dis que je voulais aussi une grande famille (3 enfants ahahha en comptant aussi ses enfants en plus de ça ) que pour moi un enfant unique c’est triste. Aujourd’hui forcément je me retrouve à des Non bien tranchant. Ça me rend triste, il avait plus ou moins changer d’avis mais avec les événements actuels (virus etc) c’est plus que categorique. Je n’ai pas envi lui imposer mais je n’ai pas envi qu’il me l’impose. Je veux bien faire des concessions mais dans ce cas c’est ma vie de femme que je mets entre parenthèse. C’est facile de dire Non quand on a déjà son vécu son passé…. Pourquoi moi je devrais faire cette concession ? Je l’aime et ça me rend tellement triste…. Je suis entrain me dire qu’au final si j’attends encore un peu il changera d’avis j’ai 33 ans et dans 3-4 ans s’il n’a pas changé d’avis c’est moi qui portera ce poids. Je conçois pas ma vie comme ça. Alors je dors plus à me dire que la meilleure des solutions pr que tt le monde soit content c’est de séparer…. Bref je resterais peu importe le cas je sens que je vais être malheureuse. Je lui en ai parlé un peu, lui disant que de toute façon je sens que pr agrandir la famille, cela ne se fera qu’avec un autre homme et j’attendrais pas d’avoir 40 ans.
Je vous écris parce que même en écrivant ces lignes je me sens tellement mal triste. Je ne vais pas bien. Et le pire c’est qu’on se prend la tête par ci par là et que toute cette accumulation fait qu’ avoir un enfant avec lui me fait plus tant rêver……je vais patienter. Changer d’horizon essayer d’avoir d’autre objectif actuellement peut-être que ça le motivera. Ms je sais que si dans 2 ans ça n’a pas changé. Je partirais.
Boezec dit
J’ai l’impression de lire un commentaire que j’aurai pu écrire je suis exactement dans la même situation sauf qu’elle moi j’ai 38ans. Il a aussi des enfants et il refus d’en avoir un deuxième avec moi. Ça me rend triste et j’ai du mal car me dire qu’on est bien avec notre fille alors que lui en a 4 de sa précédente union. Et puis pourquoi en avoir eu plusieurs avant et maintenant dire qu’un enfant sa suffit. Je ne le quitterai car hormis ce sujet nous nous entendons très bien mais je suis sur qu’un jour ma rancoeur prendra le dessus et je le lui reprocherai. Encore ce soir j’en pleure. Courage à vous.
Cécile dit
Comme je vous comprend, j’ai un enfant d’une première union qui s’avère être un véritable calver alcool, violence, ma grossesse bien que j’ai adoré je les vécu on va dire seul, et dans une union très hostile , j’avais 25 ans, après j’ai étais avec quelqu’un d’autre que je connaissais depuis l’enfance qui avait déjà 2 enfant ou tous ce passer bien pour être sur je voulais me marié avant d’avoir un autre enfant avec , mais un jour c’est parti en cacahuètes( des msg que j’aurais pas du tomber déçu des msg avec ma mellieur amie ) nous nous somme séparé, je suis parti loin avec quelqu’un autre. Mais je l’avais tjr dans la peau bizarrement lui aussi, je suis resté 7 ans avec mon nouveau ami petit bien que je savais au fond de moi que sa ne marcherer pas,j’ai même développer cette putain fibromyalgie vraiment pas pot je l’avais tjr dans la tête, même si par la suite, il c’est remis avec une copine à moi, pas la même des msg bien sûr, elle savait que je tenais énormément et que j’avais super mal vécu la séparation avec lui etlle m’avais mes dit mais pourquoi tu te remet pas avec, mais qu’elle connasse elle m’a fait croire que c’était ma cooin alors que sa fessais déjà plusieur mois qu’il était ensemble la blague , je peu plus faire confiance à personne depuis, et il s’avère qu’elle lui fait une petite dans le dos enfin elle lui a dit au bout 3 mois,cela n’a pas duré en plus pour lui il sont déjà séparé , moi Tjr mal voyant aucun avenir avec mon conjoint et voyant comment sa me tourmenté , je ne voulais pas d’enfant avec sa passer déjà pas trop bien avec mon fils, je me suis séparé, revenue dans ma région natale, et bien sûr retomber sur le charme de mon ex, mais j’aimerais trop avoir un deuxieme enfant, mais lui pas trop chaud c’est pas qu’il veux pas il vois que je suis pas bien, mais il en a déjà 3, et moi 1 est à vraie dire il parfois même très dur d’avoir la petite dernière de 2 ans qu’il a eu avec l’autre p **** alors que j’en aura peu être pas d’autre, c’est super dure à vivre, moi qui penser qu’un jour peu être la vie va me sourire. Mais la c’est super compliqué dans ma tête, le bonheur va t’il me sourire mon Fils avoir 13 ans en avril il est même inquiet de me voir tjr triste à pleurer.il me dit qu’i’ dit pas non mais attend quelque temp que la situation s’arrange( logement)et du coup un grand logement, après on Verra je vais avoir 37 ans et avec une fibromyalgie pfff, après c’est deux grand son super Content que je sois retourné avec leur père ba oui je me suis quand même occupé d’eux la première fois qu’il Était ensemble, mon fils les a tjr plus ou moin considéré comme c’est demi frère. Enfin bref voilà ma petit histoire je savais sa aller pas être un conte de fée 🧚♂️ mais la quand même. Je vous souhaite beaucoup de courage à vous toute.
Astou Clemenceau dit
Coucou,
Je vis exactement la même chose, il est 00:40 et je n’arrive pas à dormir, je ne fais que pleurer, depuis deux semaines. J’ai 35 ans, mon mari a dix ans de.plus, et deux grands enfants de deux précédentes unions, on a une.petite fille ensemble, et il ne veut pas entendre parler d’un deuxième. Alors que je.ne.lui ai jamais caché que je ne ferai pas un enfant unique, lui.me.dit que j’aurais du comprendre que vu que même pour ma fille il.n’était pas trop.pour, j’aurais dû comprendre qu’un deuxième serait hors de question. Et maintenant je dois choisir entre quitter.l’homme que j’aime et imposer à ma fille un divorce avec tout ce que ça entraîne ou vivre avec la frustration de ne.plus revivre une grossesse
Flo dit
Ça fait a la fois du bien et du mal… Je me sens moins seule, mais tt aussi triste. Idem, il a 2 enfants que je vois 50% du tps depuis 7 ans, un petit trésor de nous depuis 3 ans (36 ans et 10 ans d’écart)… Et je ne peux plus supporter les 2 enfants de son ex femme alors qu’il refuse d’en avoir 2 avec moi. On est au bord de la rupture ! Je suis tellement écœurée… Parler du 2eme enfant que je n’aurai jamais me fait pleurer à chaque fois 🙁
Je savais qu’il n’en voulait qu’un, il savait que je n’en voulais surtout pas qu’un… Et pourtant on y est allé ! J’ai tellement cru que notre merveilleuse fille pourrait le faire changer d’avis…
Vanessa dit
Bonsoir,
Je vis la meme chose que vous. J’ai toujours voulu 2 enfants et mon mari en voulait plusieurs dans l’absolu. Cela fait 16 ans qu’on est ensemble on s’est mariés en 2018 et on a un enfant de 4 ans et demi. Après le mariage je lui ai dis que je voulais enlever mon implant. Il m’a dit plus tard… Et du jour au lendemain, je n’en veux plus… je vis très mal cette situation car cela fait plus d’un an qu’il est categorique et je ne veux pas détruire notre famille…. J’essaie donc de changer d’avis et d’essayer de me projeter dans une vie à trois mais pour l’instant je n’y arrive pas!!! J’ai eu 35 ans en septembre donc il va bien falloir faire une croix sur cette vie rêvée car meme si l’on divorce (ce que je ne souhaite pas) j’aurais tout perdu : ma famille…
Je comprends très bien ta douleur…
Vaness
Laura dit
Je me reconnais tellement dans votre post. Même si de mon côté c’est un peu différent à la base nous sommes tout deux enfants uniques et avons toujours voulu au moins deux enfants. Sauf que l’arrivé de notre fils très demandeur, très actif des fois dur à gérer a tout été modifié. Lui ne veut plus d’autre enfant, moi toujours je vois les mois les années défiler les amies accueillir leur deuxième enfants et toujours rien notre fils a 3 ans et commence a poser des questions c’est dur. Mais que faire, faire voler en éclat une famille pour ne pas savoir si on aura la chance d’en avoir un deuxième plus tard?
Je comprends parfaitement ton problème je n’ai pas la solution mais juste de savoir que l’on est pas seul aide aussi.
Dequesnes dit
Bonjour ! Je ne vais pas vous parler de moi parce que mon chéri voudrait une vraie tribu alors que moi pas forcément 😄 je vais vous parler d’une copine à moi.
Elle s’est mise en couple avec un homme un peu plus vieux qu’elle qui ne voulait absolument pas d’enfant. Ils sont restés longtemps comme ça puis elle est tombée enceinte. Il ne voulait absolument pas le garder et elle le voulait plus que tout. Il a fini par céder et elle a gardé son bébé. Quelques années plus tard, elle retombe enceinte. Cette fois son chéri est clair : soit elle avorte, soit il s’en va. Elle avorte, et se fait ligaturer les trompes.
Quelques années plus tard, elle finit par le quitter, car elle a rencontré une personne qui est vraiment l’amour de sa vie. Ils ont même décidé rapidement de se marier (chose inenvisageable avec le précédent). Quand elle a rompu, la seule chose qu’elle regrettait infiniment était la perte de son enfant et la ligature de ses trompes. Son nouveau chéri lui a dit qu’il aurait adoré avoir des enfants avec elle…
Quand à l’ex conjoint, il a vécu l’enfer d’être abandonné par elle, et il change souvent de version entre « j’aurais du lui laisser son 2e enfant » et « toutes façons j’en voulais même pas un seul elle a pourri ma vie ».
En tout cas, après presque 20 ans d’amour, cet ancien couple ne parle que de cela quand ils évoquent le passé. Je pense que ça a été primordial et que c’est un sujet sur lequel on doit absolument être d’accord. Ça fragilise énormément le couple et même si ma copine n’avait pas rencontré son nouveau chéri, ils n’auraient pas fini ensemble car les rancœurs étaient énormes.
Vous êtes une femme vous n’avez qu’une vie, vous ne ferez pas d’enfant après 45 ans. Lui n’a qu’une vie aussi, il a le droit de ne pas se sentir « gâché » par un deuxième. C’est un sujet absolument primordial et moi j’ai vécu quelques mois avec quelqu’un qui refusait catégoriquement de faire des enfants et je l’ai quitté rapidement parce que je savais que je ne resterai pas sans enfants (malgré l’amour incroyable qu’on se portait)
Voilà ! Bon courage en tout cas !
Bérangère dit
Merci à toutes pour vos commentaires et vos messages de soutien. J’ai 34 ans et lui bientôt 39…je suis consciente de la concession qu’il a fait, de mon côté il va falloir que j’accepte d’en faire une mais qui risque de prendre beaucoup de temps. Depuis l’âge de mes 18 ans je voulais être maman, j’ai attendu de rencontrer la bonne personne pour me lancer mais mon rêve de fonder une famille sans enfant unique disparaît. Je ne peux pas le forcer ça c’est une chose qui est sûre mais j’espère que dans l’avenir les regrets s’atténueront pour moi
Auguste dit
Bonjour,
J’aimerai savoir ce que Bérengère a fait finalement svp ?
Est-ce que l’envie du 2ème a pu être effacée?
Merci
Alyson dit
Oui moi aussi j’aimerais savoir.
Bérangère dit
Bonjour Paulette, alors cette envie est arrivée assez progressivement aux alentours des 2 ans ça a commencé et puis à ses 3 ans j’en ai vraiment ressenti le besoin, limite mon corps me le réclamait. Comme le dit S. je suis consciente qu’il va falloir que je fasse une concession mais elle va être longue et surtout j’espère que dans l’avenir ce sacrifice ne pèsera pas trop sur notre vie de couple
paulinep75 dit
Bonjour,
Je partage totalement vos questionnements et votre douleur.
Pour ma part, mon mari et moi sommes mariés depuis 10 ans et avons déjà quatre enfants (de 8 ans à 2 ans1/5).
Cela fait plusieurs mois maintenant que je rêve du 5e. Mais lui est catégorique: avoir un autre enfant, c’est sa mort.
Il est vrai qu’il est assez inquiet et a connu une longue dépression dont il vient tout juste de sortir.
Mais maintenant qu’il va mieux et qu’il est plus stable dans sa tête, j’ai osé lui parler de mon désir profond de maternité. Ce « non » catégorique est un tel coup de poignard pour moi ! Alors qu’on se faisait un restau en amoureux, la soirée a mal fini et je suis sortie en larmes.
Je comprends ses arguments bien sûr: avoir quatre enfants, c’est déjà super ! C’est aussi beaucoup de travail et beaucoup de responsabilité.
Mais de mon côté, je ne peux pas écraser mon désir profond de donner la vie et je ne veux pas enfouir ce désir. J’ai envie d’agrandir la famille et je sens que j’ai de l’énergie pour accueillir ce nouveau bébé.
Comment faire pour se rejoindre? Je ne vois tellement pas d’issue ! Je n’ose pas en parler aux autres car j’ai peur que mon entourage lui donne raison. Mais pourquoi mon désir ne serait-il pas légitime aussi? Pourquoi vouloir à tout prix un deuxième enfant est-il moins condamnable qu’un cinquième?
Je sens que mon mari ne changera pas d’avis. Quand on s’est mariés, il en voulait 4 maxi et mois 4 au minimum. Mais je ne peux pas ne pas espérer. Je refuse de donner tous les vêtements et jouets de bébé stockés à la cave. Je ne peux pas me résoudre à cette concession.
Je pense aller voir un thérapeute de couple. Peut-être qu’effectivement, des désirs enfouis et des peurs inconscientes sont en jeu… Cela fait 6 mois-un an que je tâte le terrain de manière parcimonieuse et délicate et ce soir avec cette discussion au restaurant, j’ai crevé l’abcès. Cela fait du mal au couple mais je me dis que cette « crise » va peut-être nous faire avancer? Divorcer est inenvisageable et j’ai déjà 37 ans… Seul un miracle pourrait le faire changer d’avis !
`
Merci en tous cas pour tous vos témoignages !
Mary dit
Je suis exactement dans le même cas. Àvec mon mari nous avons 4 enfants. Je me suis préparé psychologiquement tout le long de la grossesse à ce que ce soit le dernier. Quand un jour il me fait part de son envie de faire un petit frère à notre petit dernier, seul garçon de la fratrie. Je lui ai dit que j’étais pour , mais je ne sais pourquoi il a changé d’avis, je le trouve même distant vis a vis de moi…. je lui en veux car c’est lui qui a fait germé ce désir et que j’en
soufre…
O. dit
Bonjour,
J’aurai pu écrire le même article il y a quelques mois, à la différence près que mon mari souhaite un deuxième enfant… mais pas tout de suite, plus tard. Notre fils a 3 ans et demi. L’écart se creuse avec l’arrivée éventuelle d’un deuxième, et ça me travaille.
J’ai laissé passer plusieurs mois à attendre qu’il soit prêt (sans comprendre pourquoi il ne l’était pas) en lui rappelant de 2 ou 3 fois que j’avais envie d’un deuxième bébé. Cette situation m’a beaucoup frustrée. J’ai décidé d’arrêter la contraception car j’en avais marre des effets secondaires (notamment perte de libido qui n’arrangeait rien). Je l’ai prévenu bien sûr, il a compris, donc nous faisions attention. Plusieurs mois se sont encore écoulés, ma frustration grandissait et Monsieur n’était toujours pas prêt. Et puis un jour je crois comprendre qu’il n’est pas contre, pas vraiment prêt mais pas contre non plus. Alors j’ai arrêté de faire attention à mon cycle.
Un mois et demi plus tard, les symptômes de la grossesse arrivent, je le préviens (avec beaucoup d’appréhension) que j’ai un retard de règles. Il ne prend vraiment pas bien la nouvelle, il n’en veut pas tout de suite. C’est difficile de qualifier l’état dans lequel ça l’a mis, je l’ai senti triste, presque anéanti. Il m’a dit qu’il se sentait complètement perdu, il savait pas où il en était, il s’en voulait de réagir comme ça mais qu’il n’y pouvait rien, cette nouvelle ne le rendait pas heureux, au contraire. J’avais donc mal compris, il était contre.
Il a quand même voulu être présent lorsque j’ai fait le test de grossesse, il m’a pris dans ses bras mais je savais qu’il n’était pas heureux. J’étais moi même assez surprise de tomber si rapidement enceinte vu que ça avait mis 8 mois pour le premier. Malgré tout je désirai cet enfant.
Les jours qui ont suivis ont été très difficiles (sans compter sur notre fils qui sent bien qu’il y a quelque chose qui ne va pas) et le sont toujours puisque cette histoire est très récente. J’ai même songé à écrire un témoignage sur ce blog pour demander de l’aide. Jamais je n’aurai imaginé tomber enceinte sans pouvoir lire le bonheur dans les yeux de mon mari. C’est très difficile.
Donc nous sommes en train de fouiller pourquoi il ne se sent pas prêt. Nous nous faisons aider par une thérapeute de couple pour réussir à passer le cap. Ce qui ressort est qu’effectivement il a très mal vécu la période qui a suivi la naissance de notre fils (malgré tout l’amour qu’il a pour lui). Il s’est senti seul, il n’a pas supporté que notre couple soit mis au second plan, qu’on n’ait presque plus de temps à deux. Il a peur de retrouver cette solitude et en plus de devoir gérer deux enfants.
On en parle beaucoup, plus que tout ce qu’on a pu se dire en 3 ans. C’est dur. Mais j’ai l’impression qu’on aurait jamais parlé de tout ça si je n’étais pas tombée enceinte. J’ai l’impression qu’il n’aurait jamais été prêt car il n’aurait jamais exprimé la souffrance (le mot est fort, mais c’est réellement une souffrance, je m’en rends compte que maintenant) dans laquelle il a été ces 3 dernières années. On parle beaucoup de dépression post-partum pour les mamans, mais on oublie que les papas aussi deviennent pères et que personne ne les accompagne dans ce nouveau rôle.
On se dit qu’on aurait dû se dire tout ça avant pour avoir envie tous les deux de cet enfant.
Désolée pour cette réponse un peu longue, merci de m’avoir lue. Si j’avais un conseil à donner ce serait de communiquer, savoir quelles sont les craintes de votre conjoint, qu’il parle de sa souffrance (puisque c’est le terme qu’il a employé) pour que vous puissiez l’aider à la surmonter, avant d’essayer de le convaincre de faire un deuxième enfant.
Bien à vous,
Agnès dit
Je suis d’accord avec S. Donner un conseil sans connaître votre couple est compliqué. Est-ce que vous êtes limitée par votre âge pour aire le 2ème ? Du peu d’information connue, j’aurai tendance à dire d’attendre si vous le pouvez. Votre conjoint a fait son cheminement tout seul pour accepter le 1er enfant, il a sûrement besoin aussi de se sentir prêt pour en accueillir un 2ème. Il faut que ce soit une décision commune et pas forcée, sinon c’est lui qui sera malheureux, vous ne pensez pas ?
Aurélie dit
Bonjour,
Mon mari ne voulait pas de 2ème enfant non plus. Il m’avait même dit pour les 2 ans de notre fille que si je tombais enceinte une seconde fois, on se separerait car se seraot trop sur à gérer pour lui.
Je suis fille unique et j’aurai adoré avoir un frère ou une sœur, lui a un frère. Du coup je lui expliquait souvent que je voulais vraiment avoir une « famille » avec au moins 2 enfants.
Là notre fille a bientôt 5 ans et on essaye de lui faire un petit frère ou une petite sœur. Il a changé d’avis après 3 ans.
Mais au début de notre relation nous parlions quand même d’enfants (pluriel) du coup à la base nous étions d’accord.
Mon avis c’est quand même qu’il ne faut pas forcer l’autre. Mais je comprend tout à fait votre déception.
Bonne continuation à vous.
Aurélie
Paulette dit
Coucou,
Je me retrouve tellement en lisant ton article ! J’ai même songé à publier le même genre il y a de ça quelques mois…
Le mien se disait trop vieux passé 27 ans pour avoir un enfant (nous avons 4 ans d’écart) donc moi à 23 ans je ne me voyais pas avoir un enfant, je venais de me mettre à mon compte en plus… Et puis fin d’année 2017, au nouvel an il me dit qu’il veut un enfant de moi ! Je n’ai donc pas repris ma pilule car je savais que je n’aurai pas une « seconde chance » pour avoir un enfant avec lui et j’ai eu la chance d’être tombée rapidement enceinte aussi, notre petit bonhomme est né fin novembre 2018 🙂
Et il a été clair dès le début qu’il s’était « sacrifié » pour avoir un enfant et que un lui suffisait amplement car c’était beaucoup de contraintes etc.. Pour le moment, je pense comme lui car il n’a que 6 mois mais je ne sais pas dans l’avenir comment je vais évoluer également.. Au bout de combien de temps avez vous senti que vous en vouliez un autre ?
N’hésitez pas à demander mon mail à la Mariée en Colère si vous souhaitez échanger davantage ♥
S. dit
C’est très difficile de vous répondre parce que nous ne sommes pas dans votre couple. Je suis une femme et je comprends parfaitement l’envie viscérale d’avoir un enfant (que j’ai aussi ressenti). Maintenant, de mon point de vue personnel, il a l’air d’avoir fait un « effort », une « concession » en acceptant finalement d’avoir un enfant, est ce que ce n’est pas à votre tour de faire une concession en acceptant de n’avoir qu’un seul enfant ?
Je vous dis ça sans vous connaitre, sans connaitre votre mari, votre histoire, votre couple…
Il faut vous demander si vous êtes prête à faire ce sacrifice, est ce que ce n’est pas trop, est ce que vous n’allez pas lui en vouloir par la suite…
C’est une question très compliquée et je pense que vous ne trouverez les réponses qu’en discutant avec votre mari 🙂