Betty est en pleine dépression post-partum. Toutes les mamans qui sont passées par là reconnaîtront très nettement les symptômes de ce mal-être, de ce tunnel sans sortie dans lequel on s’enfonce après la naissance de son enfant. Cet impression qu’on ne verra jamais la fin, que le jour ne réapparaîtra jamais, qu’on ne reprendra jamais une vie « normale ». Oui Betty, ce que vous faîtes est une vraie bonne grosse dépression post-partum et la solution pour que ça aille mieux est d’en parler. Ici, mais aussi à une psychologue, comme vous avez déjà commencé à le faire. Vous n’avez pas à vous en vouloir, c’est hormonal. Ma dépression post-partum a duré plus de 3 mois (jusqu’à ce que ma fille aille chez la nounou), j’en connais pour qui cela été bien plus long, ou parfois c’est plus court… Un jour tout ira mieux, ne vous inquiétez pas.
{Témoignage} En plein dépression post-partum je ne vois pas le bout du tunnel
Bonjour à toutes,
J’ai 29 ans, maman d’une petite fille qui a 1 mois et demi. Je n’avais jamais ressenti un fort besoin d’être mère depuis toujours, j’avais peur de perdre mon indépendance, peur que mon enfant vive une enfance comme la mienne et aussi peur que la relation que j’avais avec mon mari ne soit plus jamais la même…
Aujourd’hui je peux dire que toute les choses qui me faisaient peur sont belle et bien devenues réalité malheureusement…
Pendant ma grossesse, tout allait bien
J’ai eu une grossesse géniale, un accouchement assez rapide pour un premier. Rien ne laissait présager ce qui allait arriver.
Après l’accouchement, à la maternité, tout allait plutôt pas trop mal car on était avec du personnel qui savait quoi faire et qu’on pouvait appeler si besoin pour nous épauler avec notre bébé.
La famille est venue nous voir et j’en avais besoin, cela m’a fait du bien. Je ne saurais pas dire pourquoi mais dès le début j’ai senti que j’avais besoin de compagnie, comme si j’avais peur qu’on se retrouve seuls avec ce petit être et qu’on soit perdus…
Le retour à la maison a été une véritable douche froide… glaciale même.
J’ai pourtant un bébé plutôt cool même si elle a déjà son petit caractère.
Mais moi je ne me retrouve plus, je ne suis plus moi. Les angoisses me dépassent. J’ai peur qu’elle ne respire plus, peur qu’elle s’étouffe en buvant son biberon ou avec un rejet, peur de la faire tomber… peur de tout… Je suis figée à regarder cette vidéo de babyphone à longueur de journée. Je ne dors plus, je n’y arrive plus, et je n’arrive pas à dormir pendant ses siestes. je suis trop angoissée que son souffle s’arrête, de la peur de la mort subite du nourrisson…
Et puis tout va trop loin. La fatigue, le manque d’aide car je n’ai plus la famille aux alentours et mon mari retravaille et je me perds chaque jours dans cette nouvelle vie de maman que je regrette malgré moi… je m’en veux tellement de penser ça mais j’aimerais revenir à ma vie d’avant. La vie simple et paisible qu’on avait avec mon mari depuis 6 ans. Les sorties, les potes, les week-ends, les voyages, la liberté, l’indépendance…
Aujourd’hui j’essaye de sortir la tête de l’eau, j’ai été voir un médecin, je prends des anxiolytiques et je vois un psy…
Car oui je suis en dépression post-partum …
» faite des enfants, c’est tellement de bonheur » , « tu verras après 3 mois ça va mieux«
et jusqu’à 3 mois je fait comment pour survivre ?
Et si ça ne se calmait pas après 3 mois ?
Et si ça allait toujours être comme ça ?
Maintenant il y a les coliques, moi qui pensais que ça ne pouvait pas être pire ….
Les coliques détruisent tout sur leur passage, le moindre petit truc que j’avais réussi à gérer est maintenant reparti à 0 … je ne gère plus rien, je suis à bout … je veux partir, me retrouver seule, souffler sans penser.
Heureusement mon mari est génial .. il s’occupe d’elle la nuit car mes angoisses dépassent l’entendement et j’aurai peur de faire quelque chose de mal. Mais qui suis-je devenue pour dire ce genre de chose ?
Je me hais …
c’est un appel au secours.
Je sais que je ne suis pas la seule à vivre cela et c’est ce qui me fait du bien. De me dire que je ne suis pas entièrement folle, du moins pas encore.
La seule chose qui me fait tenir c’est ce sourire qu’elle me fait depuis ses 3 semaines de vie… comme pour m’encourager et me dire « maman, tu vas y arriver«
Je m’accroche à ça chaque jours qui passe et j’espère que cet enfer sera bientôt derrière moi…
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Manon dit
Bonjour, voici mon histoire.
J’ai déménagé enceinte de 6 mois. J’ai quitté la ville pour acheter une maison dans une commune à côté. A partir de ce moment je suis rentrée dans une spirale infernale d’angoisses. La maison ne me convenait pas, j’entendais une route qui m’angoissait totalement et je me sentais loin de tout, très isolée.. Je regrettais mon appart d’avant et ma vie d’avant. J’allais avoir mon bébé dans un endroit où j’etais mal pour moi c’était terrible… Puis bébé est arrivé 3 mois après et au bout de 3 semaines, de terribles angoisses sur ma vie.. Je me sentais trop jeune pour l’avoir, je me disais que je ne m’étais pas bien préparée, qu’il serait là pour toujours !! Je regrettais de ne pas avoir assez profité de ma vie d’avant, d’avoir été trop sage, trop sérieuse, de ne pas avoir voyage assez. J’avais l’impression que ma vie allait s’arrêter et surtout que notre vie d’amoureux à 2 allait disparaître.. C’était l’enfer dans ma tête quand je me reveillais le matin et que je réalisais qu’il y avait ce bébé.. Suite à ça, je suis rentrée dans une spirale infernale de regrets de mon passé. Je n’étais pas concentrée sur le présent, sur mon bébé. A ses 4 mois et demi, j’ai réalisé toutes les bêtises qui avaient pu m’envahir et que mes regrets du passé et ma maison ce n’était pas important ! Que j’avais gâché une période très importante de ma vie et là je suis repartie dans un gros mal être.. Je m’en voulais. Une culpabilité énorme.. Et depuis je suis toujours dans un cercle d’anxiété généralisée. Un rien m’angoisse. Je me sens mal. J’ai été suivie des les 2 mois de mon fils mais je ne me suis pas sentie bien accompagnée. J’avais l’impression qu’il y avait qu’à moi que cela arrivait.
Depuis j’ai cette angoisse toujours là. Car je n’arrive pas à me libérer de ce qui s’est passé. De m’être laissée envahir par toutes ces pensées. Alors que je pouvais dire stop ! Me dire que tout ce qui m’arrivait c’était une bonne chose et que si, j’étais prête.
Mon bébé a 10 mois et demi et je ne me sens toujours pas bien. J’accepte mon rôle de maman et je ne voudrais plus retourner à une vie sans lui mais je me sens mal de toute cette année passée à avoir tout gâché à cause de mes angoisses. C’est une grosse souffrance. Cela me rend malade à avoir envie de vomir par moment. Je suis sous anti de presseur depuis mars et anxiolitiqique depuis 1 mois.
Est ce que certaines d’entre vous ont déjà vécu ça ? Merci 🙏
Leyley dit
Bonjour
Oui je le vis actuellement et je remets toute ma vie en question, j’arrive plus à voir mes proches car je culpabilise.
Même vis a vis de mon compagnon je me suis posee mille question et je n’arrive pas à faire comme si rien ne s’était passé. Tout a commencé en fin de grossesse. Et elle a 3 mois et ça ne va pas mieux.
Je ne sais plus comment faire j’ai l’impression d’être dans une spirale. D’être déconnectée des gens, les gens ont l’air heureux et moi non. (Je n’arrive plus à regarder la télé etc j’attends que les journées passent)
Seul quelques sourires d’elle me font du bien.
J’ai peur qu’on m’abandonne car je ne suis plus celle que j’ai été.
Je vois une thérapeute et je suis également sous médicaments mais rien y fait
J’aimerais vivre ma vie et être heureuse avec ma ptite famille.
Élodie dit
Bonjour, je vous écrit aujourd’hui car je n’arrive plus à géré, mon fils va avoir 7 mois et la dépression me gâche la vie depuis 6 mois mon couple est en périls a cause de moi je le sais plusieurs fois je me suis dit que si je n’étais plus là se serai bien mieux pour eux j’ai eu une grossesse pas trop mal juste le diabète gesta un accouchement qui a durée 26h très long mais qui ses très bien passé un bébé magnifique, bébé décelé RGO a ses 1 mois il pleur beaucoup et demande énormément les bras il a 6 mois et demie et se retourne ventre dos /dos ventre se met debout fait du 4 patte et a déjà 2 dent il ne dort pas beaucoup la journée il fait des siestes de 30 / 40 minutes la journée mais dort de 20h30 a 6h, après mon congé mat j’ai repris le travail mais 15 jour après j’ai chopé le COVID j’ai été arrêté 10 jour puis j’ai repris 15 jour et je me suis retrouvé au urgence puis en arrêt puis opéré d’un kiste de plus de 10 cm il mon retiré kiste et ovaires gauche ça fait beaucoup pour moi plus bébé qui demandent énormément d’attention, dans mon couple rien ne va le moindre truc part au clache j’en peu plus et je sais que tout est de ma faute que je suis la seule responsable j’ai l’impression d’être une mauvaise mère de pas l’aimer comme je devrais l’aimer y a des moments où je n’arrive pas à le calmer je n’arrive pas à savoir pourquoi il pleur ça me stresse ça me frustre et ça m énerve j’arrive même plus à faire semblant d’aller bien
Don dit
Bonsoir
Je tombe par hasard sur cette page.
J’ai 27 ans, j’ai accouché de mon 2nd enfant. Mon grand a 8 ans je l’ai eu à 18 ans à l’époque je vivais chez ma belle mère, aujourd’hui pour ma fille je suis dépassée, je me laisse aller , je n’arrive plus la fatigue devient de plus en plus dur, je n’entretien plus ma maison c’est très dur , j’ai goût à rien, personne ne me comprend, mon mari ne m’aide pas du tout. Tout me dépasse. Ma fille pleure beaucoup elle a le syndrome de kiss et une malformation de la pupille. aujourd’hui elle a 4 mois, plus ça va et mieux ça va , ses problèmes de santé m’angoisse je peux pas me confier ni confier mes peines mes doutes… à mon entourage. J’ai l’impression de la corde va lâcher… elle me fait tellement de peine j’ai envie qu’elle aille mieux j’ai l’impression d’être une mauvaise mère. Je suis fatiguée
Merci de m’avoir lu
Gobert dit
Bonjour les filles je vis actuellement une Dpp depuis 4 mois. Cest mon troisieme bébé il a 6 mois aujourdhui. Jai vecu enormement de stress a la naissance bcp de pleirs de bebe colique etc la fatigue qui s accumule car il se reveil tjrs la nuit. J angoisse des mon reveil. Je nai plus gout a rien jai peur de tout et quand je me retrouve seule avec mes enfants le stress est au maximum. Quand je dois coucher le petit jentends les grands qui se chamaillent tout cela me mets un stress je n arrive plis a rien gerer.Je n ai jamais ressenti cela. Aujourd’hui jai pris les choses en main et j attebds mes rdv avec psy et périnatalité avec impatience en esperant voir un mieux..
Avez vous gueri de votre Dpp ? Si vous pouviez m en dire plus. Je suis au fond du gouffre j apprehende les journees ou je ne sors pas.
Merci a celles qui me repondront
Miya Jia Young CHING dit
Bonjour je suis en plein de dedans, ma fille est merveilleuse en bonne santé et je l’aime malgré cette horrible maladie, c’est très difficile je vais mieux j’ai vécu des moments très très difficile avec cette horrible impression qu’on ne va jamais s’en sortir. Un accouchement naturel très difficile, j’ai eu peur de mourir. Et pour ma première qui a 5 ans j’avais eu une césarienne d’urgence et j’avais souffert aussi. Mais la suivi de cette souffrance, cette dépression on se demande pourquoi nous ? Pourquoi maintenant alors qu’on a tout pour être heureuse. Je n’ai jamais autant souffert. C’est une vraie souffrance. Le psy ma dit je suis en train de guérir, j’espère !!! J’ai dû même arrêter l’allaitement au bout de 4 mois alors que j’adorais ça à cause des antidépresseurs et des médicaments pour l’angoisse. Je ne me reconnais pas et j’aime la vie je veux revivre une vie normale et me retrouver pour pouvoir m’occuper de mes filles. J’ai du faire beaucoup de sacrifices et laisser mon mari, mon travail, ma famille pour venir vivre chez ma belle mère pour qu’elle s’occupe de mes deux filles. Je veux juste guérir depuis le début je demande de l’aide et je veux juste guérir rien d’autre n’a d’importance pour le moment. J’aime tellement mes filles et je me sens impuissante face à cette maladie. Mais j’avoue que je vais beaucoup mieux ma fille aura bientôt 5 mois et j’ai commencé le traitement en février et j’ai accouché le 25 décembre 2020. J’espère vraiment guérir.
Yas dit
Coucou Miya de t’être livrée comme tu viens de le faire, je suis aussi comme beaucoup d’entre nous passée par des moments où je pensais que jamais je n’irais mieux c’était impossible de songer que ça pouvait s’arranger..mais je te peux te promettre que ça va s’arranger et que tu vas de nouveau te retrouver et revivre normalement. Tu vas te dire elle dis n’importe quoi, je te demande d’y croire même si c’est dur tu vas guérir et tu es déjà entrain tu es sur le bon chemin sinon tu ne te serais pas retrouvé ici tu n’aurais pas demandé de l’aide, avec le temps ça va rentrer dans l’ordre sois bienveillante avec toi même et éprouve de la compassion pour toi même, tu as comme tu la dis fais tout ce qu’il fallait et c’est formidable bravo à toi, tu es une super maman tes enfants et ta famille ont de la chance de t’avoir oui oui ! 😊 j’ai eu un trouble de l’anxiété généralisé suite à la naissance de mon fils et comme toi j’ai eu peur de mourrir ce qui a provoqué beaucoup d’angoisses, continue ta thérapie, ma TCC m’a énormément aidé et continue de parler librement d’exprimer tout ce que tu ressens. Courage super maman je la vois déjà ta lumière au bout du tunnel et tu ne tarderas pas à la voir. Tendrement .
Davion dit
Bonjour, êtes vous de paris ? Si oui serez t’il possible de partager avec moi le nom de votre psy je fais une dépression post partum et j’ai besoin d’aide. Merci
Alex dit
Bonjour, j’aimerais être aidé car ma femme qui souffre terriblement de sa dépression post partum et de l’angoisse de séparation avec notre fille ne souhaite ni en parler ni être aidée. Elle préfère rester au fond de son trou et vivre malheureuse. Cela me rend triste et à moi seul je n’arrive pas à l’aider.
Skatyx dit
Courage Betty, écrire ici est déjà le début du chemin… j’ai fait une dépression post partum pour mon 2ème enfant et un conseil : en parler, en parler, en parler ! Ça t’aidera à construire ta réflexion sur ce qui se passe, à poser des mots sur les troubles, à t’alléger l’esprit… ne cherche pas à trop à te faire comprendre (Sans l’avoir vécu soi-même c’est difficile) mais certains te donneront des axes d’avancement précieux, des retours d’expérience, du soutien -même infime- mais non négligeable dans cette période difficile. Entoure toi, lis, cherche de l’aide. Pour moi ça a été une psy salvatrice et aussi le retrait d’un stérilet hormonal qui me chamboulait tout pour le remplacer par un stérilet au cuivre. C’est en me documentant, en lisant beaucoup et en demandant de l’aide que je m’en suis sortie. 6 mois pour moi mais même si ça te parait dur et inimaginable de t’en sortir aujourd’hui parce que tu es en plein dedans, sache que tu vas t’en sortir. Il existe aussi beaucoup d’associations de soutien également, n’hésite pas à prendre contact. Crois en toi, tu y arriveras. Plein de courage
Meulin dit
Bonsoir, je me retouve tellement dans ce témoignage. Je n ai pas voulu me faire suivre. Une depression post partum apres un grossesse geniale, un bebe désiré mais un accouchement extrement difficile qui a ete le debut d une mauvaise periode. Un bebe RGO ++ reconnu au boit de 4 mois…
Avec le recul, il aurait fallu un suivi medical et psy, et une prise en charge pr bebe et moi.
Ce chamboulement dans la vie et ce fameux passage de 2 a 3, on n y est pas préparé, du tout.
Le papa a repris le travail des le retour a la maison. Je me suis sentie seule, perdue, et cherchais le mode d emploi.
C est la semaine d adaptation a la creche qui m a permis de me retrouver, de prendre du temps, et de me dire que ca allait s arranger, et la reprise du travail m a fait sortir la tete de l eau. Beaucoup de courage, le calme revient apres la tempete.
Axelle dit
Bonjour Betty,
J’ai aussi vécu une dépression post partum qui a durée presque 3 mois. Malheureusement je n’ai pas voulu demander de l’aide.
Nous avons eu une petite fille il y a 1 an et nous la désirions plus que tout. Cette dépression a commencé à partir du moment ou mon mari a reprit le travail. Je passais ma journée à pleurer, je me renfermait, je n’avais que des gestes mécaniques pour mon enfant. Mon mari était formidable mais où était ma vie d’avant? Premiere des mes amis à avoir un bébé, il est vrai que cela crée un fossé et sans nos parents proche impossible de souffler.
Je ne suis sortie de ma dépression qu’au moment où mon mari s est mis à pleuré à son tour, lui qui avait été si fort jusque la. Il m’a expliqué que pour lui aussi c etait difficile, qu il ne supportait pas de me voir comme ça. Où était passée la femme qu’il aimait? Puis j’ai compris qu’en effet je n’étais pas la seule à vivre se chamboulement, qu’il fallait que j’arrête d’être égoïste et que je ne pense pas qu’à moi mais aussi à eux qui étaient ma vie.
Tu as très bien fait de te faire suivre. Je pense qu’il te faut le déclic et qu’après tout sera derrière toi. La plupart du temps on s’en sort. Je ne peux pas te donner de conseil car on est toutes différentes. Je ne peux te souhaiter que du courage.
AxL
Souline dit
Bonjour,
Je suis traitée pour une dépression post partum depuis fin décembre, ajdui je peux te dire que oui ça va mieux avec un accompagnement d un psychiatre , d’ un psychomoteur de l unité de périnatalité de la clinique,d’une psychologue…
Si jamais tu as besoin de parler, tu peux demander à la mariée en colère mes coordonnées. Courage tu vas y arriver !!!
Melanie dit
Bonjour,
Pourrais-je avoir vos coordonnées ?
D’avance merci
Cordialement
Julie dit
Bonjour Betty,
Mon post-partum a également été un enfer, malgré le fait que ce bébé était plus que tout désiré. Je me suis également demandé où était le service après vente 🙂
Si tu veux en discuter avec moi, tu peux demander à la mariée en colère de nous mettre en contact.
Courage, tu verras bientôt la lumière au bout du tunnel. Mais sache que tu n’es pas la seule à avoir vécu cela.
Et cela ne fait pas de toi une mauvaise mère.