Phyl ne savait pas si elle voulait devenir un jour maman. De toute façon, à cause de soucis médicaux, il y avait de grands risques pour que cela ne puisse jamais être le cas. Et puis elle est tombée enceinte, naturellement, et c’est le drame : elle en sait pas comment réagir. Si vous avez vécu la même chose ou si vous avez des conseils pour l’aider, n’hésitez pas à lui laisser un commentaire. Merci pour votre aide.
{Témoignage} Je ne suis plus sûre de vouloir devenir maman
Bonjour à toutes,
Je situe rapidement le contexte, j’ai 38 ans passé, 8 ans de relation qui se déroulent à merveille, un mariage dans quelques mois et une devise : profiter de la vie ! et sortir, beaucoup sortir ! Bien sûr, vous l’aurez deviné, je n’ai pas d’enfant.
Je me suis posée la question de devenir maman, nous nous sommes lancés dans les essais bébé et j’ai rapidement compris que quelque chose clochait du côté possibilité de grossesse.
J’ai fait des examens car j’aime comprendre ce qui cloche. Mes trompes étaient bouchées. Bon… mon médecin m’envoie chez un spécialiste de la PMA. Je comprends dans quel engrenage je me lance.
On en discute avec mon conjoint et on se dit que finalement, le jeu ne vaut pas la chandelle. Je suis d’ailleurs la première à le dire. L’envie de devenir parents n’est pas assez présente pour se lancer dans cette aventure. On laisse tomber et on profite !
4 ans après, je ne sais quelle mouche me pique, certainement celle qui me dit de ne pas avoir de regret, je remets cette envie de bébé sur le tapis. Mon conjoint n’est pas du tout chaud (accessoirement, on a pris 4 ans) et notre vie ainsi est vraiment pas mal… :).
Je lui dis que de toute façon, vu mon âge, les « chances » sont minimes (10%) et que surtout, je ne veux pas regretter de ne pas être allée jusqu’au bout. Il valide.
C’est parti, c’était fin 2020.
On commence le parcours PMA, on va jusqu’au bout.
Je confirme que mon envie d’enfant étant limitée (et la sienne aussi), il est clair que je ne ferai qu’une unique tentative (toujours pour cette histoire du 0 regret vous l’aurez compris). Résultat de l’expérience, 1 embryon. On peut difficilement faire moins. Ça me va.
Comme on devait se marier quelques semaines après (mais finalement ça a été décalé avec le contexte), on opte sans se poser de question pour la congélation. Mon âge continue d’avancer, les chances se réduisent mais tant pis. Hors de question de me marier enceinte et surtout , je veux fêter ça dignement ! Depuis le temps qu’on attend…
Comme j’aime aller jusqu’au bout des choses, je demande à faire une tentative de désobstruction des trompes.
Les médecins ne proposent jamais cette solution et je me demande bien pourquoi….. ça devrait être le début du traitement avant d’infliger aux femmes des piqûres et autre traitement qui peuvent être mal vécus… (mais c’est un autre sujet).
Résultat du « débouchage » : une trompe de désobstruée mais pas l’autre.
Très bien, là, je suis vraiment allée au bout des choses. Toutes les conditions font que les probabilités de grossesse sont minimes et ça me va. Même si en lisant tout ça, ça semble très très incohérent : « elle veut mais elle veut pas ? ». Je ne m’explique pas mon comportement…
J’ai appris depuis peu que je suis enceinte… de façon naturelle.
Ça a été à la vitesse de l’éclair. Je pensais a une GEU et même pas.
Mon problème : on ne peut pas dire que ce soit la joie qui se soit manifestée… J’ai fait le maximum pour n’avoir aucun regret et maintenant que c’est arrivé, je suis au fond du trou, complètement perdue. Je n’y étais tellement pas préparée… J’ai l’impression de devoir faire le deuil de ma liberté, j’ai l’impression d’étouffer presque…
Mon conjoint réagi de la même façon que moi, ce qui n’aide pas du tout. A ce rythme, il va vite y avoir un décalage entre lui et moi, ce que je redoute par-dessus tout. On a toujours était raccord sur tout et notamment le fait d’en profiter à fond et là, je me dis que je vais être « contrainte » de me calmer, ça va être moins drôle, moins fun.
Il y a encore 10 jours, c’étaient les rires et les soirées (vive les clopes, les apéros et j’en passe) et du jour au lendemain, je suis dans la privation totale. J’ai l’impression d’être punie, je perds tous mes repères et je ne sais vraiment pas au final si j’ai envie de cette vie-là, avec un fil à la patte. Là ça fait seulement quelques jours que je le sais, je sature déjà !
Je n’avais jamais envisagé la possibilité de réagir de cette façon. J’étais tellement persuadée que ça n’arriverait pas que je n’avais pas vraiment pensé à ma réaction si une grossesse se concrétisait. Et en y pensant rapidement, ça allait de soi que je m’adapterait.
Il était inenvisageable de me marier enceinte et après 3 reports suite au covid, on trépignait d’impatience de faire enfin une bonne grosse fête avec tous nos amis et famille ! Je vais être pas mal à 6 mois de grossesse…
Voilà… je ne sais plus du tout ce que je dois faire, personne n’a de solution mais si l’une d’entre vous à un témoignage dans le même sens et bien, rien que de le lire me fera me sentir moins désemparée. Je vous remercie pour votre soutien.
Vous souhaitez publier votre histoire sur le blog ? Déposez votre témoignage mariage ou témoignage maternité ici.
Agnès dit
J’avoue que je suis un peu perplexe à la lecture de cet article. De ce que je lis, vous avez tout tenter pour ne pas avoir de regret, au cas où ça marche. Mais je n’ai jamais senti un besoin fort d’avoir un bébé. Peut-être que c’est du à votre situation actuelle et qu’audépart elle était là. Mais ce n’est pas retranscrit dans l’article.
Pour faire la pma, il faut quand même une sacrée envie d’avoir un bébé vu toutes les contraintes et parfois souffrance que ça engendre. Une femme qui passe par là, c’est parce qu’elle est prête à tout pour avoir un bébé.
Oui vous pouvez avorter si finalement vous n’en voulez pas. Et il vaut mieux d’ailleurs si c’est le cas car un enfant c’est beaucoup de joie certes mais aussi des sacrifices et il n’a pas a payé de votre « je n’aurai pas de regret » . Car finalement depuis le début vous pensiez que ça ne marcherait pas. Mais avez vous pensé que vous vous lancez la dedans car vous vouliez vraiment un bébé ou juste parce que cette histoire d’horloge biologique vous a fait flipper ? C’est ça que j’ai du mal à déterminer.
N’ayez pas ce bébé pour de mauvaises raisons. Ayez le car vous le voulez vraiment et que de facto vous serez prêts (avec votre conjoint) a faire ce qu’il faut pour qu’il soit élevé dans un milieu plein d’amour, pour en faire un adulte.
Il y a beaucoup de détracteurs de la pma et de l’avortement gratuits qui pourrait citer votre histoire comme raison pour les interdire ou les faire payer…
Madeleine dit
J ai fait 5 ans de PMA… je n y croyais plus. Et puis voilà, j ai deux loulous. C est chaud, mais avec mon mari, on en profite « à fond ». De leurs sourires, de leurs progrès, d être tous les 4 ensemble.
Je sais que j aurais été aussi heureuse sans enfants, j avais fini par me faire à l idée. Mais l aventure d etre parent, c est à la fois épuisant et magique. C est effrayant, et ça donne un sens à tout.
Nous continions de voyager, de sortir (sauf covid). On rigole bcp.
On bosse aussi pas mal, mais je me suis mise à 80% pour ne pas passer mes we à faire des lessives, et du coup, nos we sont assez sympa. On voit du monde, on fait des brunchs, des balades, et si on sort le soir, bah, on prend une baby-sitter.
Est ce que je suis fatiguée. Oui, claquée même. Mais je sais que c est transitoire. À 3 ans, c est déjà nettement moins sport, un enfant!
Aurez vous de l aide? C est vrai que c est plus facile avec une bonne baby sitter, une nounou et une femme de ménage 😆. Ca aide bien!!!
Christina dit
Bonjour,
Je comprends tous ces questionnements … Même si on ne peut pas se mettre à la place des autres tant qu’on n’a pas vécu nous-même ces situations.
Quand on fait appel à la PMA et que ça ne fonctionne pas, on tire un trait sur le fait de devenir parents naturellement, on se pose la question de savoir si oui ou non on veut vraiment un enfant, on commence à faire nos projets à deux, etc ….
Mon parcours me fait me poser toutes ces questions également. Rapidement : 10 ans d’essais, 2 fois enceinte naturellement et 2 fausses couches, 3 Fiv qui ont failli me coûter la vie, le Covid est arrivé et on n’a pas fait la 4e (et on ne la fera sans doute jamais), on a déposé une demande d’agrément pour l’adoption, on attend … Aujourd’hui, effectivement, je me pose la question de savoir si j’étais enceinte naturellement, quelle serait ma réaction … Mon mari serait le plus heureux, mais moi, je ne sais pas ….
Ça ne fait que quelques jours que vous l’avez appris, c’est normal de se poser toutes ces questions, vous êtes encore sous le choc de la nouvelle, et les hormones ont commencé à travailler. Quelque soit votre décision, c’est à vous qu’elle appartient, et ce sera la bonne !!
Humbert dit
Bonjour
Je pense en lisant cet article que vous n’êtes pas vraiment prête à avoir un enfant ….
notre société nous fait penser que nous devons avoir des enfants que c’est le cours normal de la vie
Mais certains vivent sans enfants et s’en portent très très bien
Il faut bien peser le pour et le contre tout n’est pas tout rose avec un enfant
C’est du bonheur c’est vrai mais c’est aussi beaucoup de difficultés de peur de stress
De plus avoir un bébé est une chose mais élever un enfant et aider un ado à devenir un adulte est une difficulté supplémentaire …
il faut voir plus loin …
ceci n’est qu’un avis
Je suis certaine que vous prendrez la bonne décision et que vous serez heureuse
Bonne continuation
Chloé dit
Bonjour,
On dirait que votre décision est un peu prise, vous n’avez pas l’air emballés pour garder cet enfant… Un projet bébé, c’est doux, joyeux, une grossesse (malgré ses maux) c’est magique… Si vous n’y voyez que du négatif, ne vous enfermez pas par peur de ne plus avoir l’occasion de tomber enceinte. Ne faites pas naitre un enfant par obligation. On fait des enfants pour les rendre heureux, pas pour nous.
Quant au mariage, franchement est-ce si grave de trinquer au sans alcool ? J’ai fait 1000 trucs pendant ma grossesse dont deux voyages au bout du monde (4 et 6 mois de grossesse) et sans fatigue, promis. vous n’êtes pas à une coupe de champagne prêt et la fête sera de toute façon réussie, votre grossesse n’y changera rien. Courage dans votre réflexion, vous avez encore un peu de temps. Tenez-nous au courant 🙂
Clem dit
Bonjour !!
Je fais suite aux commentaires sur l’avortement… Ce n’est pas un acte anodin, bien au contraire !!!
Je voulais d’un deuxième enfant, mon conjoint aussi. Et je suis tombé enceinte tout de suite. Et là, catastrophe ! Dès que j’ai vu le test positif (15 jours après avoir discuté d’un bébé avec chéri) ma première réaction a été « oh non pas déjà »….. Tous les jours je guettait/espérait la moindre tâche de sang qui aurait annoncé au FC…
Et comme vous je voyais la contrainte alors que j’ai déjà un petit garçon, mais justement j’ai beaucoup culpabilisé par rapport à mon fils.
Donc je me suis mis uniquement des points négatifs en tête, du coup je ne mangeais plus, je ne dormais plus, j’avais des palpitations +++ et je pleurais tout le temps. Pas moyen de me réjouir et dès qu’on parlait du bébé, j’avais l’impression que que ça sonnait faux en moi.
Très vite j’ai pris la décision d’arrêter cette grossesse (la chose la + difficile que j’ai eu à dire à mon homme, qui a été formidablement extraordinaire)
J’ai eu une IVG médicamenteuse.
Eh bien, contre toute attente, quand je me suis retrouvé à saigner sur les toilettes, j’ai pris une grosse claque « oh mon dieu non, c’est fini »….. Incompréhensible !
Mais le pire, ça a été 48h après l’expulsion. Ma tête étant « libérée d’un poids » (eh oui car mes hormones étaient encore présentes), je me voyais avec mon fils et un autre petit bébé !!!!!!! Moralement ça a été très difficile, bien que mon choix était réfléchit (enfin pas totalement finalement…). On peut finir par regretter même si c’est ce que l’on voulait au départ…
Depuis début janvier, pas une minute où je ne pense pas à ce petit être, je ne peux plus me regarder sans voir un monstre, et je pleure quasiment tous les jours !!!
Alors oui, le début d’une grossesse est un très très gros chamboulement, tant par les hormones que par les questions que l’on se pose.
Au fond de vous, vous vouliez essayer d’avoir un enfant, c’est bien qu’il y a un petit quelque chose 🙂
N’hésitez pas à aller en parler avec un professionnel (psy ou sage-femme)
Lora dit
Hello,
Je comprends bien ce que tu vis! 2ans d’essais, pas/peu d’aide du Gynéco, on a abandonné pour le moment bien qu’on y repense mais on a fait le choix de favoriser notre couple, les sorties, Restos, etc. On sort beaucoup !
Et c’est vrai que quand on y pense, il y a une vraie crainte de perdre cette vie où nous avons peu de contraintes et problèmes. Des fois j’ai envie d’être maman et des fois surtout pas.
Par contre, je ne te recommanderai pas de te faire avorter, à mon avis c’est une situation que tu risques de mal vivre et peut être tu pourrais le reprocher à ton conjoint.
Deedee dit
Les vécus des uns n’est pas le vécu des autres… mais vos questions me rappellent les miennes, il y a quelques mois…
Je suis tombée enceinte, par accident, sous stérilet. C’était mon 3ème enfant. J’avais toujours en tête de faire un petit troisième, mais mon compagnon était clair : il n’en voulait pas. J’avais toujours dit que si je tombais enceinte par accident, hors de question d’avorter (pur choix personnel, je précise que je suis 400% pour le droit à l’avortement).
Quand je suis tombée enceinte, ayant déjà cru un mois plus tôt que je l’étais (mon stérilet avait semble-t-il bougé mais je ne m’en était pas rendu compte), je n’ai pas écouté les signes. Le mois précédent, où j’avais émis mes doutes à monsieur, j’avais eu un bon aperçu de sa réaction si cela devait arriver… quand j’ai eu tous les signes, je ne me suis donc pas écouté et j’ai creusé les tranchées devant notre nouvelle maison en me disant que de toute façon, monsieur n’en voulait pas, qu’il ne l’accepterait jamais et que de toute façon le risque de fausse couche avec un stérilet augmentait fortement.
Au bout de deux semaines de retard, le test était sans appel. La réaction de mon compagnon m’a beaucoup remise en question : est-ce que je voulais réellement ce troisième bébé ? On avait programmé des vacances au ski dont je n’aurais pas pu profiter… Retour des nuits hachées… La réaction de monsieur ne m’a pas beaucoup aidée… je me sentais coupable par rapport à lui, tout en voulant ce bébé et me disant que « c’était le mauvais moment ».
La nature a dû m’entendre, j’ai fait une fausse-couche 30 minutes après avoir vu son coeur battre pour la première fois, à 8 semaines.
Aujourd’hui, je ne m’en remets pas. Je me dis que ces obstacles que je voyais n’en étaient pas. Il aurait dû naître demain et il me manque tous les jours. Mon compagnon, même s’il avait accepté la venue de ce bébé, est totalement passé à autre chose et n’est pas du tout prompt à en discuter. Aujourd’hui, je me rends compte que l’absence de ce bébé risque de nous coûter notre couple et/ou ma santé mentale. Une partie de moi en veux à mon compagnon et encore plus profondément à moi-même.
Je ne dirai pas que la maternité est un long fleuve tranquille. J’adore mes enfants mais parfois, effectivement, je me sens complètement coincée. Le pire, ce sont les deux premières années… malgré cela, j’aurais bien remis le couvert pour un troisième.
Mon seul conseil sera de t’écouter toi, avant tout. Pèse le pour et le contre et discutez-en à deux. J’espère que ton compagnon est causant que le mien… Quelle que soit ta décision, car tu as tout à fait le droit de ne plus vouloir de cet enfant, il faut que tu sois en paix avec toi-même et au clair avec ta décision… Bon courage…
Helene dit
Bonjour,
Je ne vais pas spécialement aller dans le sens des autres commentaires.
Avant de parler avortement je pense que le mieux est de se poser et d’en discuter avec votre conjoint (même si la décision finale vous reviendra) et de prendre une décision.
N’oublions pas que même un début de grossesse chamboule énormément entre les hormones et les questions sans réponses (pour le moment) mais pas de panique ! Prenez les choses les unes après les autres, posez vous et réfléchissez à ce que vous voulez réellement.
Non, ce n’est pas parce que vous avez été au bout du parcours PMA que vous avez l’obligation de conserver cette grossesse.
Ne pas savoir c’est normal, de mon côté je souhaitais une grossesse et lorsque j’ai vu le test positif ma première réaction a été « et merde », aujourd’hui mon petit bout est né et je ne le regrette pas ! Et pourtant j’ai beaucoup angoissé avant ça ^^
Un avortement n’est pas anodin, il faut être sur de votre choix et ne pas le regretter plus tard.
Votre vie ne sera pas spécialement mise en parenthèses pendant 9 mois, oui il y a des choses sur lesquelles il faut se priver mais ça en vaut la peine (si vous souhaitez conserver cette grossesse).
Bon courage dans votre décision, peu importe laquelle elle sera la bonne pour vous 🙂
Aude dit
Coucou!!
Félicitation !!!!
C’est fantastique après toutes ses épreuves…
Mais je comprends votre inquiétude… on est jamais vraiment prêt à l’arrivée d’un enfant… c’est l’inconnu…
Effectivement il y a quelques règles à respecter pendant la grossesse mais il y a bcp de choses qu’on peut manger quand même… ça demande un peu d’adaptation…( vous êtes fan de sushis bah les makis aux crevettes c’est ok c’est cuit… la charcuterie sous vide c’est ok… le fromage pasteurisé c’est ok… et vous verrez que finalement on peut manger bcp de choses quand on regarde bien la composition des aliments…)
Maman depuis 5 ans je n’ai pas trouvé qu’avoir un enfant avait bcp modifié mes habitudes de vie… il faut avoir une personne de confiance pour garder bébé quand la sortie n’est pas adaptée pour lui… sinon vous pouvez l’emmener partout…peut-être que les deux premières années il faudra lever le pieds sur quelques sorties mais après si vous habituez votre enfant il vous suivra partout…
En ce qui concerne votre mariage effectivement ce jour là pas de champagne… mais est-ce si important l’alcool? Ne pas boire n’empêche pas de faire la fête…
C’est peut-être votre seule chance d’avoir un enfant… la vie vous offre un magnifique cadeau…
Un enfant ne change pas votre vie il vous en offre une encore plus belle…
Sarah dit
Bonjour,
Alors, personnellement je voulais un enfant depuis toujours, j’ai été super heureuse quand mon homme à accepté et quand je suis tombée enceinte. Ma grossesse aussi était le rêve.
Mais… J’ai beaucoup de mal à accepter mon rôle de mère et cette « non liberté » (j’ai accouché il y a 8mois).
Du coup, je me dis que si vous vous n’êtes déjà pas vraiment emballée maintenant, ça risque d’être vraiment difficile pour vous après.
L’avortement est une chose difficile, je pense. Et ça sera sans doute votre dernière chance.
Mais si la vie qui vous convient est celle sans enfant, vous risquez de mal vivre une vie avec enfant. Et quand les parents sont malheureux… Les enfants aussi.
Vous êtes face à un choix extrêmement difficile, mais vous avez encore le choix. Pour la dernière fois.
Bon courage à vous !
Cecilia dit
Bonjour, Je rejoints les commentaires précédents. Vous avez le droit de ne pas vouloir d’enfant même si vous êtes allées jusqu’à la PMA. Parfois un il faut être confronté à la réalité de nos choix pour savoir que cela ne nous convient pas. Réfléchissez y ensembles. Peut être juste que le timing n est pas le bon. Que vous étiez dans le cela ne se produira jamais et donc qu’au fond votre choix était déjà fait.
Ne gardez pas un embryon parceque vous avez 38 ans et que la société ne comprend pas les couples sans enfants.
Écoutez vous, parlez en avec votre conjoint.
La meilleur décision sera celle qui vous redonnera le sourire.Un grossesse ne doit pas être un fardeau.
Tenez nous au courant
Marie-Anne dit
Coucou, je pense pareil que le commentaire précédent as tu pensé à ne pas garder cette grossesse ? Je pense que c’est OK de changer d’avis c’est OK de ne plus vouloir et d’avorter. Au final tu as tout fait et maintenant que c’est la tu n’as plus envie. Autant interrompre plutôt que de le regretter tout le reste de ta vie. Tu aura peut être peur du regard des autre mais il faut savoir être égoïste et c’est OK de changer d’avis.
Bon courage à toi
Iaeti dit
Coucou ! Je comprends ton ressenti. As tu envisagé de ne pas garder cet enfant? Comment te sens tu lorsque tu penses à cette option? Bises à toi