![salon de alliance](https://lamarieeencolere.com/wp-content/uploads/2025/04/ban-LMEC-Avril-2025.gif")
Mon bidou je l’aime, il porte ma petite fille et plus il grossit et plus ça veut dire que l’on se rapproche du jour où je vais la rencontrer et enfin pouvoir la tenir dans mes bras. Oui mais plus on évolue dans la grossesse et plus mon renflement devient encombrant quelles que soient les situations, d’ailleurs en voici 5 auxquelles je n’avais pas réfléchi avant de tomber enceinte…
- enfiler des chaussures sans galérer
Tu vois la distance de la Terre à la lune ? ben mes pieds j’ai l’impression que c’est pareil. Alors même si ça fait des années que j’ai abandonné la prétention de pouvoir les ronger (je ne sais même si j’y suis arrivée un jour), j’aurais quand même bien voulu avoir la possibilité de pouvoir continuer à en prendre soin. Mettre du vernis, les masser, ou même juste les voir de près quoi je m’en contenterai en ce moment. Mais non : ma souplesse légendaire (j’ai beau faire du yoga et des étirements rien n’y fait) assortie à la grossesse fait que j’ai de plus en plus de mal à les atteindre. J’envie les mariées d’été qui peuvent simplement enfiler des tongs les derniers mois… Pour ma part je pense arriver à la maternité en UGS.
- se faire le maillot normalement
A partir de mon sixième mois de grossesse il a fallu se rendre à l’évidence : ma féminité vue du dessus n’était plus qu’un vague souvenir. On a beau se pencher, se tortiller ou essayer de rentrer le ventre c’est peine perdue : on ne la voit plus. Et comme bien évidemment il était hors de question de me rafraîchir à l’aveuglette au risque de m’entailler (on gardera l’épisio pour le jour J) j’ai pour la première fois eu recours à un miroir pour cette opération délicate de restauration. On ne va pas se mentir c’est quand même plus ou moins un moment de solitude…
- se baisser sans plier les jambes
Bon alors ça c’est plutôt un bon point : s’il y a encore quelques semaines mon élasticité me permettait encore de toucher mes mi mollets (non pas en dessous ne rigolez pas) aujourd’hui me baisser pour ramasser quelque chose est un vrai effort physique ! Du coup j’apprends à me baisser sans me faire mal au dos, en pliant les jambes. je me dis que d’une part ça me fait travailler les cuissots et d’autre part j’en profite pour contracter le périnée quand je me relève : hop petit exercice au top !
- dormir sur le ventre
C’est sûrement le plus cruel pour moi, qui dors depuis des années côté pile et qui n’arrive à me rendormir que comme ça. J’ai réussi à palier à ce problème jusqu’au quatrième mois mais c’est aujourd’hui impossible. J’essaie maintenant de faire levier avec un traversin pour me mettre de trois quart et caler mon bidou sur le côté mais on ne va pas se mentir : ce n’est pas pareil et ça manque tellement !!! Sans compter qu’il faut la plupart du temps environ 2 minutes avant qu’une crampe ne se déclare dans ma fesse m’obligeant à changer de position ou que ma fille se sentant totalement écrasée ne commence à me filer des coups de pieds… DAMNED !
- le missionnaire
Pas vraiment besoin de vous expliquer le pourquoi du comment, cette image parle d’elle même…
Je me retrouve totalement ! Aujourd’hui dans mon sixième mois, c’est tout à fait ça. Avec en plus, les envies d’uriner tous les 15 min (bb est bas selon l’échographe) même la nuit, les problèmes pour se lever du canapé trop mou… Oui oui je sais, ca ne va pas aller en s’arrangeant.
j’ai tellement ri avec ton article, c’est trop ça!!!
ah ça me rappelle des souvenirs rigolos tiens 😉
mention spéciale pour la photo du chat lol
bizz et courage
Ahahahahahahaha, c’est tellement vrai. Pour les pieds : demander à chéri de les masser, et mettre des converses sans lacets ^^.
Pour se faire le maillot, allez dans un institut ça fait de bien de prendre un temps pour soi et ça évite de prendre des positions étranges avec un miroir sur le frifri.
Le dodo sur le ventre la tout dépend de bébé, le mien n’aimait pas que je dorme sur le côté gauche…
Quand au missionnaire à vous les dérivés, et autres position spéciale grossesse qui pousse à l’imagination.
Parce que va falloir être imaginatif après l’accouchement.