Florence est atteinte d’endométriose et son chéri a une azoospermie. Les médecins préconisent un don de gamète, ce qu’il a du mal à accepter. Comment l’aider dans cette épreuve ? Voici sa question.
{Témoignage} Fiv et don de gamètes : comment l’aider à accepter ?
Bonjour à toutes,
Alors voilà je suis en couple avec mister S depuis trois ans. Il y a un an et demi on m’a diagnostiqué l’endométriose, opérée il y a un an et le diagnostic stade IV est tombé…. Mister S à été très présent et m’a soutenue plus que ce que je pouvais imaginer…
Après une ménopause artificielle de 3 mois, on décide d’essayer de faire un enfant. (Depuis le temps qu’on en parlait !)
Après 6 mois d’essai bébé à cause de ma maladie nous revoyons mon gynécologue qui nous oriente vers la PMA avec quelques examens à débuter avant le prochain rdv.
Mais voilà, la nouvelle tombe… Mister S a une azoospermie.
On attend donc avec impatience notre prochain rdv. Bien évidemment cela reste à confirmer par un deuxième spermogramme, la consultation avec un andrologue et bilan sanguin complet mais voilà mon soucis :
la gynécologue nous à demandé d’envisager le don de sperme et l’adoption.
mon conjoint a du mal à digérer la nouvelle et je voudrais l’aider comme il m’a aidé avec le diagnostic de l’endomètriose
Il pense qu’il a raté sa vie car il ne peut pas faire d’enfant, il a peur d’avoir un enfant qui ne lui ressemble pas et est persuadé qu’avec un don de sperme l’enfant ne sera pas de lui.
De mon côté je suis divisée entre l’envie d’être enceinte mais à quel prix ? Je souffre de voir mon compagnon avec cette tristesse. Je suis passée par là quand on m’a diagnostiqué l’endométriose, ce moment où l’on en veut au monde entier de nous affliger cela et où tout un monde s’écroule.
Mais je ne sais pas quoi faire pour l’aider.
Je lui ai déjà dis que l’amour d’un enfant se construit dans le temps mais je comprends que c’est une décision difficile à prendre.
Après les épreuves qu’on a vécu en trois ans je sais que notre couple est solide mais cette épreuve s’annonce encore éprouvante.
J’aimerais savoir si certaines d’entre vous on déjà affronté cette situation et comment vous avez réussi à la surmonter. Je suis un peu déboussolée par tout ça et ne sais plus par où commencer pour avancer à nouveau. Savez-vous si le don de gamètes est fait en fonction de quelques traits physique du conjoint ?
Votre conjoint à t’il réussi à accepter le don ?
Merci à vous toutes pour vos réponses et merci à La Mariée en Colère de me permettre d’écrire mon témoignage.
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gaelle131313 dit
Bonjour,
Nous avons été dans la meme situation, mon mari souffre d’azospermie (genetique aussi). Mon mari était assez frileux sur le don de spermatozoides et plus en faveur de ládoption a la base (moi le contraire) et apres discussion avec la gynéco (en or) et d’autres couples dans la meme situation nous sommes partis pour le don de spermatozoides. Apres d’innombrables rendez vous, attentes, déceptions en PMA (ou on a decouvert que je souffre également déndometriose stade 3/4) et après 2 coelioscopies, nous avons maintenant un magnifique petit garcon de presque 2 ans. Cést un tel bonheur que nous ne regrettons aucun des sacrifices fait. Mon mari qui etait mitige au depart ná jamais regrette son choix et il adore notre fils, il ne fait aucune difference. Cést un vrai papa poule et je suis sure que notre fils lui ressemblera quand meme, l’éducation est tellement importante. Nous avons deja commence a lui expliquer dóu il vient, notre parcours et son statut privilegié de « bebe miracle » 🙂
Tout ca pour dire que si le chemin est long et difficile, il faut garder espoir.
Laisse le temps a ton mari de digerer la nouvelle, soutient le autant que possible et surtout parlez vous! cést le plus important en PMA pour rester soudés.
Bon courage a vous,
Pilipili dit
Bonjour,
Idem pour nous. Je n’ai pas de soucis mais on a diagnostiqué une oligospermie à mon mari lors du premier spermogramme puis le deuxième était pire, azoospermie…
Pour mon mari et moi, c’est clair que nous ne voulons ni don de sperme, ni adoption. D’ailleurs, personnellement je ne me sens pas prête non plus à avoir un enfant par FIV.
Nous sommes très soudés et nous avons décidé de faire d’autres projets ensemble et de profiter de notre vie, et si un miracle arrive un jour nous serons très heureux. Et si ce miracle n’arrive pas, nous serons aussi très heureux.
Nous avons dû passer par des moments où on s’est recentré sur nous-même et on s’est demandé pourquoi on voulait un enfant pour nous-même et pour notre couple. Au final, on s’est rendu compte qu’un enfant n’est pas indispensable pour avoir une vie merveilleuse et épanouie.
Avoir un enfant est une expérience de vie irremplaçable, mais ne pas avoir un enfant est aussi une expérience de vie irremplaçable. Un couple qui a des enfants vivra des moments (positifs ou négatifs) qu’un couple sans enfant ne vivra jamais, et inversement un couple sans enfants vivra des choses qu’un couple avec enfant ne pourra jamais expérimenter.
Nous avons décider de nous concentrer sur tout ce que nous avons, au lieu de tout ce que nous n’avons pas.
Je vous souhaite beaucoup de courage pour traverser cette épreuve et je souhaite que vous trouviez l’expérience que vous souhaitez vivre tout les deux et que ça vous rende heureux.
Stella dit
Bonjour Florence,
Ici aussi mon mai souffre d’azoospermie dû a une maladie génétique. Du coup à la différence de ton chéri, il toujours plus ou moins su qu’il devrait avoir recours à un don de gamètes.
Je pense qu’il va falloir un peu de temps à ton chéri pour s’y faire, c’est normal. En plus il faudra qu’il passe encore d’autre teste et peut être qu’il voudra bien faire une biopsie testiculaire et peut être qu’il trouveront ce qu’il faut pour que vous ayez un bébé de vous 2.
Après, la PMA va sûrement vous en parler mais il va falloir vous inscrire au CECOS je pense, c’est l’organisme qui gère les dons de gamète en France et j’ai cru comprendre que les délais d’attente sont assez longs. Ca vous laissera du temps pour vous faire à l’idée, cheminer dans votre réflexion et je crois que vous êtes assez entourés (je vis en Belgique donc on a pas ça ici, je dis ça par rapport aux témoignages que j’ai pu lire par-ci, par là).
De plus au CECOS (comme ici en Belgique) prennent les caractéristiques physiques principale du papa (couleur de peau, d’yeux, de cheveux, etc)
Vous pouvez aussi vous faire aider pour y voir plus clair par une psy spécialisé en périnatalité. Mais je sais que les hommes sont souvent réfractaire à cela…
Mon mari et moi on a toujours parlés du fait de vouloir des enfants et lui s’était déjà fait à l’idée du don. Il me l’a dit tout de suite, au cas où je voulais pas rester avec lui pour ça. Et de suite j’ai penser que ce n’était pas une raison de ne pas être avec quelqu’un qu’on trouve « cool » « bien » (ça c’est ce que je me suis littéralement dit au bout d’une semaine de relation, suite à son annonce.)
Je veux des enfants avec lui, mais pas spécialement pour ses gênes,ok je le trouve beau et ce serait cool mais ce n’est pas le principal. Ce que je veux surtout c’est élever un enfant avec lui, je l’ai choisi lui comme père pour la personne qu’il est et si ses gênes ne sont pas les siens ce n’est pas grave car je pense que c’est l’éducation qui fait ce que l’on est. Ok physiquement on peut avoir une ressemblance avec ses parents mais les attitudes et les mimiques jouent aussi beaucoup dans la ressemblance. Je vois déjà certaines mimiques qu’a mon mari et que notre enfants pourrait avoir par imitation. On partage des valeurs commune et on a envie des même choses pour nos enfants. Je sais qu’il fera un papa merveilleux, il adore les enfants, il aime s’en occuper et c’est ça qui compte plus que tout!
Si je te partage ma vision des choses, c’est surtout pour te dire que peut être si tu réfléchis à ta vision des choses, tu saura la lui expliquer et qu’il comprendra. Bien sûr pour lui ça sera toujours un peu difficile mais ça l’aidera peut être.
Si tu le souhaite, n’hésite pas à me contacter, je répondrais au maximum à tes questions. Je réfléchis beaucoup sur le sujet, si je peux aider ce sera avec plaisir.
Belette dit
Bonjour, ton message fait écho à ma situation également. Je souffre d’endométriose et mon conjoint d’azzospermie pour cause génétique (syndrome de klinfellter )…. on en est encore au début, rdv généticienne, endocrinologue/andrologue et urologue pour planifier la ponction testiculaire….
Ton message m’a fait beaucoup de bien et m’a aider à trouver certains mots Avec mon conjoint et il prend conscience peu à peu des choses et songe de plus en plus au don… merci beaucoup pour ton témoignage ! Bonne continuation à vous je vous souhaite plein de belles choses !
Stella dit
Oh belette, ça me touche énormément ton message. Je suis heureuse si j’ai pu vous aider ne serait-ce qu’un tout petit peu! Courage dans vos épreuves et pleins de belles choses à vous aussi!
Paillette dit
Bonjour Florence, après un an d’essai bébé nous avons appris l’azoospermie de mon mari. Quel choc pour tous les 2 ! À cet instant nous aurions été incapable d’envisager le don. Mon mari etait categoriquement contre. Nous devions prendre notre temps pour digérer tout cela. Et du temps, nous en avons eu car tout prend beaucoup de temps en PMA ! Sur le coup, c’est agacant mais avec le recul je pense que c’est juste nécessaire et salvateur. Il aura fallu un an entre le premier spermo et le verdict définitif de la stérilité de mon mari. Entre temps nous avons eu plein de rdv, il a eu plein d’examen pour tenter de trouver une cause et un remede, pour finir par une biopsie qui s’est avéré negative. C’est durant toute cette attente que nous avons réfléchi et mûri notre projet de parentalité et ce n’est qu’apres la biopsie que mon mari a pu prendre sa décision et nous faire ce magnifique cadeau que d’accepter d’être père grâce au don ! Laisse lui, et laisse toi du temps. le couple ne chemine pas au même rythme dans ce parcours. Pour l’instant, entoure-le de tout ton amour, montre lui que tu es la et que tu l’aimes. Pour la suite, je ne sais pas encore te dire car nous ne sommes qu’au début du chemin. Bon courage à vous !
Gaelle dit
Bonjour ! Ton histoire ressemble énormément à la mienne, à part que dans ma famille, l endometriose est une tare qui se transmet de génération en génération, et que je sais depuis l adolescence que je suis porteuse de cette maladie de m***e….
Avec mon conjoint nous décidons très vite d avoir un enfant, nous nous connaissons depuis 5 ans, sommes ensemble depuis 1 an, c’est l amour fou ! À ce moment, j ai 26 ans et lui 30. Nous essayons pendant presque 1 an, on ne se prend pas du tout la tête, on voyage, week-end en amoureux, on adore notre vie. Et, ne me demande pas pourquoi, un jour où mr m annonce qu’il va chez le médecin, je lui demande de se faire prescrire un spermogramme…. Chose qu’il fait ! Nous voilà parti dans un petit labo de campagne, on prend tout avec le sourire, j’ai déjà un soucis moi, on ne peut pas en avoir un tous les 2! Passe une semaine, 2 semaines et toujours pas de résultats… On commence à se poser des questions… On appelle le le labo, le médecin, personne ne veut rien nous dire… Ce n’est qu’au bout de 4 semaines qu’on nous passe un coup de fil pour nous dire qu’il faut qu’on vienne vite. Azoospermie, on nous explique ce que c’est, on craque tous les deux… Et on nous dirige vers la PMA. Nous sommes très vite et très bien pris en charge. On nous explique les choses étapes par étapes et un deuxième spermogramme est prescrit, qui donnera le même résultat. On nous propose une intervention chirurgicale pour vérifier que les spermatozoïdes ne sont pas bloqués ds les testicules… On y croit, mais non… C’est la première fois que nous entendrons le mot stérilité…. Deuxième claque. Étonnamment, je le vis beaucoup plus mal e que mr… On nous expose donc les 3 solutions qui s offrent à nous. Le don de sperme, l adoption ou pas d’enfants… Nous en parlons énormément, longuement et je lui dit que peut importe ce qu’il choisira, je le suivrai. Je ne veux pas lui imposer une solution ds laquelle il ne sentira pas bien. Il me dit qu’il préfère le don, que c’est ce qui se rapproche le plus d’un parcours normal et qu’il pourra être présent tout au long de la grossesse et surtout, il m à dit, peu importe la génétique, tout ce qui sortira de ton ventre sera à moi ! Je le sentais décidé. Nous en sommes à 6 mois de PMA. Et là, le vrai parcours débute. Il faut prendre contacte avec le CECOS de ta région. Expliquer ton cas par courrier, et attendre leur retour par courrier, qui t indiquera ta date de rdv. Là, nous avons vu une généticienne, qui nous a expliqué que nous allions être sur liste d attente, car beaucoup de demandes mais pas bcp de donneurs. Et surtout, qu’il y ait un donneur avec les mêmes caractéristiques physiques et sanguins que mr !!! Elle prend couleur de la peau, des yeux, des cheveux, aspect global de la corpulence et son groupe sanguin. Elle prend aussi les miennes, au cas où…. Elle nous explique qu’il y a entre 10 à 13 mois d’attente sur notre région, sauf si nous parrainons un donneur (pas pour nous évidemment) nous pouvons gagner 6 mois. Donc il faut attendre qu’ils nous recontactent… Entre temps nous devons voir le psy du centre plusieurs fois, je dois passer une multitude de tests pour le dossier et nous devons passer au tribunal afin de réaliser une reconnaissance anticipé de cet enfant… Pour que mr soit reconnu légalement comme le père. Tout ça prend pas mal de temps… Nous avons commencé les inséminations au bout d’1 an et demi de PMA. Pour nous, la sixième sera la bonne, je suis actuellement enceinte de 8 mois d une petite fille, et mr est complètement gaga de mon ventre et de sa fille. Depuis que je suis enceinte, c’est comme si la PMA n avait jamais existée pour lui. Il parlait à mon ventre avant que j’en ai, maintenant elle est très réactive à la voix de son papa ! Le parcours fut long, j aurai 31 ans le mois prochain et lui 35, mais cette expérience, bien que longue et compliquée, nous a encore plus rapprochée, nous sommes encore plus complices… Nous avons évidemment été très soutenu par nos familles et amis proches. Le fait d’en parler avec eux nous a permis de destigmatiser la situation et de la banaliser ! C’est long, pas toujours évident, mais si la situation est choisie et assumée par mr, ça vaut vraiment le coup !
N’hésite pas si tu as besoin d’en parler, tout plein de courage à vous 2.
Stéphanie dit
Mon conjoint à également la même chose et ça n’a pas été facile à vivre ! Les médecins ont détectété son azoospermie en 2013. Il se sentait mal à l’idée de ne pas pouvoir avoir d’enfant. Il a fait tous examens jusqu’à la bise testiculaire. Le couperet est tombé, il n’y avait rien à la source. Pour nous c’était adoption ou don de gamètes. Nous en avons longuement parlété et nous avons opté pour le don de gamètes. Aujourd’hui nous sommes parents d’un petit Gabriel qui aura bientôt 2 ans et nous sommes comblés.
Durant cette épreuve nous avons été amenés à nous poser beaucoup de questions notamment sur la ressemblance et pour l’avenir de notre enfant. Mais tout ça n’est qu’accessoire.
Ton mari sera le père de cet enfant, il vivra ta grossesse avec toi, sera là à l’accouchement. Être géniteur, c’est facile, être père c’est bien plus profond. Un papa est là pour les calins, les bobos, consoler les gros chagrins…
Nous expliquerons à notre enfant de quelle façon il est arrivé pour qu’il puisse se construire avec ça. Et nous ne nous faisons aucun soucis parce qu’il a tout l’amour dont il a besoin .
Si tu as besoin dautres renseignements et du témoignage de mon conjoint n’hésites pas
Je vous souhaite le meilleur
N.R dit
Bonjour
J’ai vécu à peu près la même avec mon conjoint. Azoospermie aussi donc nous avons du envisager également le don de de spermatozoides. Mais mon mari a d’abord subit une ponction testiculaire qui a permis de prélever des spermatozoides à la source et la les médecins en ont trouvé et les ont congelés. On a su récupèrer 6 paillettes qui nous ont permis de lancer le protocole de FIV ICSI et grâce à ca j’ai un beau petit garçon de presque 9 mois :-))
Mais si il y a don de spermatozoides oui effectivement ils choisissent le dîneur en fonction des caractéristiques physiques du futur papa.
Si besoin n’hésite pas. Bon courage pour ton parcours. Je sais que c’est difficile et long mais c’est du bonheur au bout.
Petitlu dit
Bonjour
Je viens de lire ton commentaire et comme c’est aussi notre histoire j’aimerais te poser quelques questions si tu es d’accord… au bout de combien d’essais FIV est tu tombée enceinte? Combien d’embryons avez vous eu? Nous avons fait 2 essais et la première fois il y a eu un embryon pour 4 ovocytes prélevés et la deuxième fois 2 embryons pour 8 ovocytes… malheureusement aucun n’a tenu. J’aimerais juste un avis savoir si on est dans la norme, car les médecins ne veulent jamais nous répondre pour secret médical… merci d’avance
N.R dit
Bonsoir 🙂
Voilà un petit résumé de notre parcours.
J’ai réussi à tomber enceinte au bout de 4 traitements FIV mais qui n’ont pas tous étaient au bout.
Pour le 1er traitement j’ai du arrêter car j’ai ovule trop vite. comme c’était la première fois les médecins ne savaient pas comment j’allais réagir.
Pour le 2eme traitement ils ont réajusté et m’ont fait commencer l’orgalutran très rapidement. Ce traitement a permis une ponction folliculaire de 8 ovocytes mais aucun embryon 🙁
Pour le 3ème traitement je n’ai pas assez réagit j’avais que très peu de follicules donc on a tout stoppé.
Pour le 4éme traitement les médecins ont changé de traitement, il y a eu ponction et 8 ovocytes qui ont permis d’aboutir à 3 embryons. 2 de très bonnes qualités et 1 pas top. Les 2 premiers m’ont été implantés en même temps et un s’est accroché et il nous a permis de donner naissance à un merveilleux petit garçon fin janvier.
Nous souhaitons mettre le 2eme en route rapidement mais avec beaucoup moins de pression puisque nous en avons déjà un.
C’est vrai que le parcours est long et que le moral est souvent en dent de scie mais il faut essayer de rester solide et soudé avec son conjoint. Au bout de presque 4 ans nous avons enfin pu tenir notre bébé dans nos bras et nous ne regrettons pas tout ce que nous avons dû endurer.
Je te souhaite beaucoup de courage et surtout ne baisse pas les bras.
Si tu as besoin n’hésite pas.