Beaucoup de futures mamans ont besoin de se donner du courage pendant leurs essais bébé. Tomber enceinte peut prendre des mois, voire des années, que l’on doive passer par un parcours PMA, ou pas. Qu’il y ait un soucis d’ordre physique et de façon avérée ou que l’infertilité soit tout simplement inexpliquée. Si certaines se demandent pourquoi je me permets d’écrire sur le sujet, c’est tout simplement parce que je l’ai vécu. Je suis tombée enceinte 3 années après avoir arrêté ma pilule.
3 longues années où j’ai dépensé beaucoup d’argent en tests de grossesse et beaucoup d’énergie en espoir déchu. Et puis, un jour, alors qu’on ne s’y attendait plus : les deux traits tant attendus sont apparus. Que vous en soyez donc à deux semaines ou à deux années d’attente, je sais donc ce que vous vivez.
Que faire quand on ne tombe pas enceinte ?
Bien sûr, je ne vais pas vous parler du côté médical, ce n’est pas mon métier. Je vous conseille, dès le début de vos essais bébé de prendre rendez-vous avec une sage-femme (oui, même si vous n’êtes pas enceinte, elles sont tout à fait capables de faire le suivi gynécologique classique et bien plus disponibles), qui pourra ainsi vous faire faire différents examens et suivre votre parcours. Personnellement, je vais vous parler de l’aspect plus psychologique, afin de gérer au mieux cette attente.
« Pour tomber enceinte, faut pas y penser »
Alors déjà on va arrêter de se culpabiliser avec cette phrase à la con (on en parlait déjà ici). Quand on veut faire un bébé, on y pense et c’est normal. On ne parle pas d’une lubie, on parle de tomber enceinte. C’est hormonal, c’est viscéral, il est impossible de ne pas avoir cette idée en tête quand on croise des nouveaux-nés ou « pire » : des femmes enceintes. Et ces règles qui reviennent chaque mois et cette période d’ovulation à ne pas louper… on a beau essayer de ne pas faire de fixette dessus, il ne faut pas se mentir : tout est fait pour qu’on y pense encore et encore.
Ce que l’on peut par contre essayer de faire : lâcher prise
Quand on veut tomber enceinte, parfois on a tendance à tout organiser autour de la vie d’un potentiel bébé qui n’est pas encore créé. On repousse les voyages « au cas où je serai enceinte », on fait l’amour sur commande « parce que j’ovule », on suit une alimentation particulière « pour stimuler je sais pas quoi d’ailleurs », on remet certains projets à plus tard… alors que finalement tout ça ne fait que vous ramener à ce désir de grossesse.
Mon conseil : Prévoyez des voyages (je suis partie au Canada à 1 mois et demi de grossesse et tout s’est bien passé, je vous en parlais ici) avec votre amoureux, faîtes l’amour quand vous en avez envie et pas juste « parce que vos glaires indiquent que c’est la bonne période » (glamour toujours), mangez pour vous faire du bien au corps mais pensez aussi à votre moral… faîtes du sport, ne mettez aucun projet en stand-by car vous ne savez pas combien de temps ces essais bébé vont durer. Des jours (peut-être êtes vous déjà enceinte sans le savoir), des semaines, des mois, des années… en attendant : continuez à vivre !
Ne pas jalouser les femmes enceintes
Ça ne sert à rien de lancer des regards meurtriers aux femmes enceintes, vous ne connaissez pas leur parcours, elles ont peut être autant galéré que vous pour devenir un jour maman. Disons que la jalousie n’arrangera rien et qu’en plus elle vous enfoncera dans votre mal-être. Je comprends que vous puissiez être déstabilisée par la présence d’une femme enceinte, que cela ne fasse que vous ramener à votre triste réalité mais voyez plutôt le bon côté des choses.
Relativisez : Vous n’avez pas encore d’hémorroïdes, vous pouvez encore vous torcher les fesses normalement, vous épiler le maillot ou le SIF sans avoir à vous munir d’un miroir, votre ventre n’a pas encore de vergetures… (ce à quoi vous me répondrez : MAIS JE VEUX AVOIR CES SALOPERIES DE VERGETURES, JE M’EN COGNE QUE MON CORPS SOIT DÉFORMÉ !!!). Je veux me tartiner le corps de soins anti-vergetures inutiles car ma peau craquera quand même si elle en a envie !
Tout cela arrivera bien assez tôt je vous le dis.
et encore moins les jeunes mamans…
Alors là, je ne veux pas vous faire peur, mais s’il vous plaît, soyez tendre avec les jeunes mamans, même si vous ne comprenez pas (encore) leur mal-être. Vous vous dîtes peut-être « mais comment peut-elle être triste alors qu’elle a un bébé ? ». Cela s’appelle la dépression post-partum et pour l’avoir vécue, je vous jure que c’est largement aussi dur à vivre (voire même bien plus) que 3 années d’attente pour tomber enceinte.
Déculpabilisez-vous du fait de ne pas tomber enceinte
Vous n’y pouvez rien ! Certaines femmes n’ont qu’à attendre un cycle, d’autres doivent patienter des années, c’est injuste mais ce n’est surtout pas votre faute. Même si vous avez de l’endométriose, même si vous êtes OPK : vous n’avez jamais voulu tout cela, alors déculpabilisez. Et puis discutez-en avec votre conjoint. Souvent celui qui a un « souci » physique a tendance à se ronger les sangs en se disant que l’autre pourrait peut-être déjà être parent s’il n’était pas avec nous etc… enlevez-vous ces idées de la tête. Si votre chéri(e) vous aime vraiment, il y a peu de risque qu’il pense de telles choses. Mais mettre des mots sur votre mal-être vous aidera à rassurer.
Prenez du temps pour vous (tant que vous en avez)
Sophrologie, Yoga, massages, soins pour vous… prenez le temps de vous relaxer. Ce n’est pas quand bébé sera là que vous pourrez faire tout ça (enfin si mais pas tout de suite on va dire).
Il est donc encore temps de profiter du fait de ne pas être encore maman.
Et puis parlez à vos proches de votre mal-être. Pas à n’importe qui (des fois les gens ont des réactions tellement débiles) mais à des amis ou à des proches de confiance qui sauront être compréhensifs. Ainsi cela vous évitera peut-être les sempiternels « Alors le bébé c’est pour quand » ou autres réflexions blessantes quand on n’arrive pas à faire un enfant.
Elisa RICHARD dit
Bonjour,
Pour ma part j’ai 25 ans donc certain pourront ce dire que j’ai encor le temps et la réponse est oui mais!
J’ai voulu avant d’envisagé une grossesse réunir tous les critère sécurisant:
-une maison
-un compagnon que je sent apte a être un bon père aimant et présent et sécurisant ( et que j’aime bien sur depuis 7 ans)
– un emploi stable pour chacun de nous
– une certaine prise de conscience sur ce qu’impliquais un enfant mais aussi pour ma part guérir les blessures du passé.
Novembre 2021 j’étais prête et je suis resté sans pilule et sans règle pendant 2 mois. jusqu’à janvier 2022 mes règle ne son pas apparu mais tous les test étaient négatif. je me suis dit que c’était surement dû à l’arrêt de ma pilule puis mes règles son venu et je me suis dit que le parcoure pouvais commencer. et la SURPRISE après une envie spontané de vomir dans ma douche je me décide à faire un test qui c’est avéré positif ! Croyez moi je ne me vente pas je venais de sortir d’un parcoure de psy et je me suis dit que j’avais enfin le droit d’être heureuse. Mon corp ma rattrapé…. un matin en fin janvier je suis prise douleur et je me vide littéralement de mon sang tous en psychotant pendant 4 h a ne plus savoir quoi faire. ( de 4h du matin a 8h)et je vais même au boulot! pour au final allez a l’hôpital et découvrir que je faisait une grossesse extra utérine… BIM opération et ablation de ma trompe gauche…. mes cicatrices encors aujourd’hui me font mal. Mon ventre gonfle sans grossesse et j’ai des symptômes de grossesse jusqu’au jour ou j’ai mes règles et je revis en boucle ce moment (douleur identique-> peur ->hôpital).
Une boucle infernal c’est installé. depuis je fait du reiki, je tricote, je fait du sport je sort et je me suis même marié ( car peur de mourir sans protégé et porté le nom de mon mari).
Malgré tous ça les douleurs sont toujours là voir même me fait peur car aucun professionnel de santé ne prend mon cas au sérieux. j’ai mal avant pendant et après les règles avant pendant et après ovulation en gros j’ai 7 jour sur 35 jour ou je ne souffre pas ( et quand je parle de douleur c’est celle qui te ferait presque tombé dans les pommes) . bref j’ai beau tous faire pour lâcher prise (même si je prend ma température chaque matin grâce au dispositif ava et que j’achètes des vêtements de grossesse au cas où puis faut pas ce le cacher c’est vachement confort quand on est ballonné et les robe flatte la silhouette bref je m’égare…)
Comment faire pour déjà arrêter de souffrir physiquement ? Es ce que je doit finir cet grossesse qui n’existe plus depuis janvier ?je n’en sais rien mais j’en est marre des violences que l’on m ‘inflige en me disant que ma douleur est inexistante et que tout est normal alors que je connaissais mon corp sans pilules. On m’incite a reprendre la pilule alors que j’ai un désire d’enfant… bref je ne suis pas écoutée. et sa me bouffe ! je compatis pour toute cet femme qui vive pire que moi et je suis si heureuse pour c’est femme qui y arrive… je vais continué à espéré je vais continué à être une meilleur version pour moi et cette future grossesse. et puis si ça n’abouti pas de quelconque manière et bien je me formerais pour être famille d’accueille ou adopté car l’important n’est pas qu’il soit de mon sang . L’important c’est de véhiculer des valeurs et d’aimer plus que possible tous en apportant un cadre sécurisant ou l’enfant pourras éclore et devenir ce qu’il rêve d’être.
PS Désolé pour les fautes j’ai beau me relire je ne les vois pas…
et merci pour vos témoignages, nous somme tous dans le même combat ! force courage et amour pour vous ! à bientôt ^^
Chris dit
Bonjour à toutes,
Avant tout, un grand merci pour cet article. Il parle précisément de ce que j’ai pu ressentir depuis presque 4 ans qu’on essaye d’avoir un bébé. J’ai 34 ans et autant dire que depuis, toutes mes amies, même celles qui ne voulaient pas encore d’enfant il y a 4 ans) sont maman ou en fin de grossesse. Infirmière puéricultrice, je vois des enfants toute la journée. Je vous laisse donc imaginer ce que je peux ressentir vos-à-bisous de mon mari qui rêve dnenfants depuus des années ou quand je vois des femmes enceintes et des jeunes mères et le niveau de culpabilité face à certaines de mes réactions (surtout quand une de mes amies ou copines m’annonce qu’elle est enceinte: devant elles, je ne montre rien, je dis « trop chouette! Félicitations!! », puis je vais m’isoler discrètement pour pleurer un coup et revenir souriante comme si de rien n’était…). J’ai de l’endométriose, un SOPK et je n’ai plus mes trompes ovariennes depuis 3 ans. Depuis, en parcours de PMA. J’ai eu deux grossesses, deux fausses-couchés (à 9 et 6 SA, respectivement découvertes à 12 et 8 SA). J’ai eu le malheur à ma première fausse-couche de me projeter énormément avec cette petite graine. Et l’arrêt de la grossesse fut, à ma connaissance, la pire épreuve de ma vie. À la grossesse suivante, j’étais le pessimisme incarné (sans doute un mode de défense pour ne pas trop souffrir si ça foirait). Là on vient de m’implanter un embryon (apparemment d’une « qualité étonnante, avec un développement hors du commun, avec un taux d’implantation d’au moins 45%! » d’après la biologiste, ce qui apparemment est très bon signe). Cette fois, je suis plutôt optimiste. J’attend encore 4 jours pour faire un test urinaire en attendant le test sanguin. Mais une partie de moi me dit « fais gaffe quand même, si tu te projettes trop, rappelle-toi à quel point tu peux souffrir… ». Bref, attente interminable…. Témoignage sans doute un peu long pour un commentaire de blog mais ça faut du bien de ne pas se sentir seule dans cette situation. Et dans mon entourage, personne n’a vécu ce que je vis et c’est difficile de trouver quelqu’un qui me comprenne… Merci à toutes. Je vous souhaite aussi de ne pas perdre espoir et d’avoir un beau bébé en plein santé. ☺️
Agathe dit
Alors j’ai le moral dans les chaussettes. J’ai fais des tests de grossesse le week-end dernier( Dimanche et lundi), quatre au total, ils étaient tous positifs. J’ai acheté une digital, il est sorti negatif, je me suis dis que peut être les hormones de grossesse n’étaient pas encore concentrées, alors j’ai attendu…Jeudi matin(aujourd’hui), j’ai acheté une grande marque de test et j’ai refais le test 3 fois et tout était negatif. Je suis tellement chamboulée, emotionnellement je suis à plat. J’ai 37ans mariée depuis 3 ans j’ai le SOPK mon mari et moi on essaye depuis et rien. Et lui il a déjà un enfant d’une précédente relation. Je ne vous parle pas des frustrations et des piques que la maman de sa fille m’envoie. J’irai à l’hôpital demain, je ferai un test saguin, mais je ne m’attend pas à quelque chose de positif. Je suis venue ici juste pour savoir comment vivre avec ça je suis au bord de la dépression.
Aleka Zoppini dit
Bonjour les filles et merci pour ce blog ,j’ai 36 ans et suis sous clomid depuis 1 mois ,tout le monde me dit de lâcher prise mais c’est très difficile pour moi de ne pas y penser et pas possible de partir en vacances en ce moment, merci pour vos conseils mais tout ça je le fais déjà, je ne prend pas ma température, j’essaie d’y penser le moins possible mais le subconscient prends souvent le dessus alors si quelqu’un a un conseil je suis preneuse,merci bon courage a toutes
Cauvelet Kristel dit
Bonjour ,
A 41 ans et étant déjà maman d’un ado de 15 ans , je tente d’avoir un deuxième enfant alors que je n’y pensais pas du tout ces dernières années mais après ma rencontre avec mon futur mari , l’envi d’enfanter s’est fait ressentir
Cela fait peu de temps qu’on essaye mais il est vrai que les tests de grossesse négatifs sont assez compliquer à gérer mentalement
En vous lisant , j’ai été très émue par tous les témoignages et cet amour qui émanait de vos mots
Je nous souhaite une grande victoire ( si j’ai une petite fille je l’appellerais comme ça 😃)
Étant prof de danse , le lâcher prise est essentiel effectivement à notre bien être physique et mental
Un corps libre c’est un corps qui respire !
Trompat dit
Ces témoignages sont si précieux lorsque l’on essaye de tomber enceinte, merci à toutes et surtout merci pour cet article ! Il redonne le moral 🙂
Bon courage à toutes 💪
FloraF dit
Super article !! Je suis tomber enceinte après 2 longue années et 2 fausse couche (a 2mois et demis et 2 mois), 2 longue années à passer par la déception dès test de grossesse négatif, la joie lors du 1er test positif et la tristesse inconsolable lors de la perte de mes bébés.. 2 longue année à tous faire pour favoriser là fécondités arret total de l’alcool, arrêter de fumer, arrêter le café et tous les médicaments interdit au femme enceinte. Je vivait comme une femme enceinte alors que je n’en l’étais pas, juste pour essayer d’y arriver. Alors je me’retrouve tout à fait dans cette article. Et c’est finalement alors qu’on a lâcher prise mon mari et moi et que nous sommes parti en vacances tous les 2 loin de tout le monde, ce qui ne nous été pas arriver depuis 3 ans.. et c’est à ce retour de vacances que j’e suis finalement tomber enceinte pour la 3ème fois et que cette fois ci ça a marcher !
Elsa dit
Je suis enfin enceinte, après deux ans d’essai et une première fiv gagnante. Je suis passée par des moments très difficiles, l’impression de ne pas avancer dans la vie, franchir le cap des 30 ans le ventre vide…
Si j’ai un conseil à vous toutes, encore dans cette galère, c’est de continuer à vivre votre vie en attendant. Même si ce n’est pas facile. Prenez les rdv, faites ce que les médecins vous disent, mais à côté de ça, ayez d’autres projets, qu’ils soient grands ou petits. Voyage, week-end, concert, commencer une activité sportive ou autre loisir, déménager… N’ayez pas de regrets. La vie est courte. Quand ça a commencé à être trop dur pour moi, j’ai vu une psychologue, ça a bien aidé. Aujourd’hui quand je regarde en arrière, je me dis que certes ces années ont été difficiles, mais je n’ai pas l’impression d’avoir perdu mon temps. J’ai profité, même si j’ai aussi connu le creux de la vague et les litres de larmes… j’ai aussi des souvenirs joyeux. Je vous envoie plein de courage.
Sopette dit
Bonsoir à toutes, j’ai 34 ans et cela fait trois ans que nous essayons d’avoir un bébé. En août 2017, le ++ est arrivé. J’étais aux anges, quel bonheur ! il fût bref puisqu’en octobre jour de l’échographie du 1er trimestre, mauvaise nouvelle hématome rétroplacentaire le foetus ne bougeait plus comme à la 17ère échograhie les images ont été douloureuses (j’avais eu quelques saignements légers, où j’avais été consultée à plusieurs reprises mais …) le ciel s’est écroulé sur ma tête, j’ai cru que c’était un cauchemar … l’hospitalisation pour évacuer ce petit être a été terrible.
J’ai du passer au bloc au mois de mai car il restait des débris. Depuis cet épisode c’est le néant me voici sous traitement oral (clomid et duphaston). Je garde espoir même si cela est parfois compliqué.
Un parcours qui reste mon parcours, mais nous ne sommes pas seules à combattre. Bon courage à toutes.
AnnA dit
Cela fait déjà…ou seulement… un an que nous nous sommes lancé dans cette aventure. Depuis toutes mes amies ou belles sœurs sont mamans ou enceintes… et nous nous attendons patiemment notre tour ! Ces derniers temps le moral est au plus bas, alors merci pour ces conseils. J’espère vivre une année 2019 plus sereine en essayant d’adopter la philosophie d’Elo et en souhaitant à tous les couples en désire d’un petit être à aimer que ce beau cadeau arrive très vite.
Helene dit
Je souhaitais vous remercier pour ce témoignage qui… après 8 mois d’attente pesante… fait du bien !
Le blog m’a réchauffé le coeur lors de mon mariage et maintenant, lors de mes tests bébé !
Elo dit
Bonjour,
J’ai arrêté ma pilule il y a 2 ans et 8 mois. Je suis en parcours PMA depuis 1 an et 5 mois. on m’a décelé le syndrome OPK il y a 6 mois et les stim de fonctionnant pas (j’en ai déjà fait 7) mnt je dois faire une IAC. Malheureusement j’ai eu un problème médical qui a repoussé l’IAC pour dans 2 mois… bref tout ça pour dire que l’attente je connais, et qu’a chaque fois qu’on trouve une solution, une lumière au bout du tunnel, un nouvel obstacle se met sur notre chemin.. ce n’est pas facile tout les jours, bcp de larmes, des gros coup de blues.. mais pour autant, je vous assure que malgré toutes ces déceptions, ces piqûres, ces examens en tout genre.. j’ai vraiment vécu une merveilleuse année, je pense que 2018 a été ma plus belle année même. Pourquoi me diriez-vous? Et bien parce que justement, en attendant bb, je m’oblige à trouver d’autre chose pour m’occcuper l’esprit. Et finalement je m’aperçois que je fais beaucoup plus de chose, je sors beaucoup, je vois mes copines, je vais à des concerts, je suis allée à Paris… je me suis mariée et je me suis lancée à coeur perdu dans les préparatifs, là pour noël c’est pareil je suis à fond dans les cadeaux etc.. au final je profite encore plus de la vie d’une part pour m’occuper l’esprit et d’autre part car il faut profiter d’être encore « libre » car après la vie sera complètement différente. Alors maintenant j’espère juste que bb arrivera bientôt pour vivre également une merveilleuse année 2019.
Courage à tout les couples qui sont dans la même galère que nous, on finira par y arriver.
L dit
Merci la mariée en colère et merci Elo pour ton commentaire si positif, j’en ai les larmes aux yeux. Je voudrais tellement réussir à être si positive…