Sissi et son chéri sont en parcours PMA. Mais il s’est avéré que leur première FIV est un échec, le test de grossesse qu’elle vient de faire est négatif. Alors comment surmonter cette épreuve et avoir le courage de reprendre les traitements si durs à encaisser pour le corps d’une femme ? N’hésitez pas à lui répondre en commentaire pour l’aider. Voici son témoignage.
{Témoignage} Surmonter l’échec d’une pendant un parcours PMA
Bonjour, je souhaite partager mon histoire avec toutes les futures mamans en attente au un espoir aboutisse. Ou celles qui ont eu la chance d obtenir un beau +++ après un parcours similaire au mien.
Voilà, après 5 ans d’essais bébé infructueux pour devenir parents (j’ai 33 ans, mon doudou 38) nous décidons avec mon conjoint de faire appel à la PMA. Voici maintenant 1 ans que notre parcours a débuté. Le verdict n a pas tardé à tomber. Mr est OATS (faible concentration de sperme). Moi à priori rien de décelé (pas même une endométriose malgré de très fortes douleurs lors de mes cycles) ni même de trompe bouchée.
Le médecin nous oriente donc vers une fiv ICSI.
Nous sommes plein d’enthousiasme à l’approche d’une solution pour enfin devenir parents. Commencent alors les traitements, la surveillance, les premières piqûres qui devront s’arrêter pour cause de confinement COVID. On devra attendre mai pour reprendre notre parcours. Puis en juillet la ponction a lieu. Sur 10 ovocytes de ponctionnés, seulement 2 embryons ont été obtenus (un soucis d’ovocytes matures). Mais 1 seul sera congelé en vue d’un transfert ultérieur car la progestérone est trop élevée pour le transférer « frais ». Nous vivrons notre premier échec d’implantation.
On laisse passer les vacances d’été, on reprend en octobre le traitement, la ponction. Cette fois-ci : meilleure lueur d’espoir : 10 ovocytes, 5 fécondés, 1 de perdu mais 2 de congelés a j3 et 2 a j5. On devra par contre attendre le prochain cycle car j’ai un risque d’hyperstimulation.
Le transfert s’est donc fait plus tard avec un blastocyste de 5 jours
J’ai cette impression que comme il est plus développé, il aura plus de chances de s implanter. Je suis très optimiste jusqu’à la veille de la prise de sang où je craque pour un test de grossesse urinaire, qui s’avère négatif… je m’effondre.
Au premier transfert, j’avais beaucoup de mal à respirer, notamment le soir. Beaucoup moins au deuxième transfert sauf depuis hier soir où je ne sais pas si c’est lié au traitement, à l’angoisse de l’attente, au rejet de mon corps pour cet embryon.
J’ai cette sensation que je ne pourrai jamais porter d’enfant.
Si certaines d’entre vous ont vécu une histoire similaire et ont malgré tout eu une issue positive, je serais très intéressée de lire vos témoignages.
Je vous souhaite à tous une belle vie et merci à la créatrice de ce blog qui nous aide à parler de tous ces sujets <3
Vous souhaitez publier votre histoire sur le blog ? Déposez votre témoignage mariage ou témoignage maternité ici.
Zazou dit
4 IAC
Découverte de l’endométriose celioscopie
Puis FIV et mon est fils est le 5 ème embryon transféré je n’y croyais plus ce transfert je l’ai mal vécu j’étais déprimée limite dépressive et ça a fonctionné
Quel beau cadeau après 6 ans de galère
Bon courage à toutes les femmes suivies en AMP c’est vraiment un parcours difficile émotionnellement et physiquement
Celine dit
Bonjour Sissi, je te comprends tellement…
Je pense sincèrement que le parcours PMA est une des expériences les plus difficiles dans une vie mais qu’elle peut aussi nous faire énormément grandir et évoluer…
Avec mo’ chéri, nous avons décidé de commencer les essais bébés en mai 2014. En décembre 2014, j’ai fait des tests d’ovulation pour optimiser les câlins. Je me suis rendue compte que je n’ovulai pas… Je suis donc allée voir ma gyneco qui m’a fait passé des examens… Le stress m’avait fait monter le tsux de prolactine ce qui bloquait mon ovulation… Après un traitement homéopathie d’un mois ça allait mieux mais devant mon inquiétude elle a accepté de faire d’autres examens et d’en faire faire à mon homme… Heureusement car on apprendra rapidement qu’il est atteint d’azoospermie… Il n’y a pas de spermatozoïdes dans son spectacle spermogramme. La gyneco nous oriente donc en PMA. Premier rdv en juin 2015. On fait des tonnes d’examen. On apprend de plus en plus de mauvaises nouvelles.. Mon homme a un gène de la mucovsidose (il n’a pas la maladie mais a une agenesie des canaux deferents, un gros il n’a pas le tuyau qui relie le testicule à la sortie… Il produit des spermatozoïdes mais ils ne sortent pas…). Obligé donc de passer par une FIV. Mars 2016 FIV ICSI 1 qui se solde par une fausse couche précoce. Heureusement on a 3 embryons congelés !
Juillet 2016 TEC 1 : Fausse couche précoce
Septembre 2016 : TEC 2 : pas de transfert car les 2 embryons n’ont pas tenu à la decongellation…
On décide de faire une pause car le moral ne va pas….jnai perdu mon boulot et me lance dans une formation donc pas possible de faire des traitements en même temps.
FIV ICSI 2 : avril 2017 : fausse couche précoce
TEC 3 : novembre 2017: négatif
On décide de changer de centre de PMA, on refait tout un tas d’examens plus douloureux les uns que les autres pour chercher une raison à mes fausse couche à répétition. Aucune raison n’est trouvé, on nous dit que c’est la faute à pas de chance…
On ne lâche rien on continue malgré les kilos pris, le moral qui joue aux montagnes russes, la fatigue, l’incompréhension, la tristesse… Mai 2018 FIV ICSI 3 : négatif et pas d’embryons congelés.
Octobre 2018 : FIV IMSI 4. On est content on a réussi à convaincre le gyneco de passer en IMSI (protocole qu’on demande depuis la FIV 2 mais on nous disait qu’il n’ y avait pas vraiment de raison de le faire… Alors qu’on avait lu des études qui montraient que les chances de réussite étaient nettement supérieure (je ne me souviens plus du pourcentage).
Là, gros choc, on apprend qu’il n’y a aucun embryons fécondés sur les 8 prélevés à la ponction… J’en avais tellement marre qua’avny cette dernière tentative je voulais tout arrêter, mon corps ne suivait plus… Mo’ chéri a réussi à me convaincre de tenter une dernière fois, j’ai accepté que si on passait en IMSI.
Pour la première fois depuis le début de notre parcours, j’ai vécu cette tentative sereinement, et sans me poser en victime comme les autres fois. Avant ça je me disais toujours que je n’avais pas le choix… Si je voulais un enfant je devais en passer par la. Puis, tout au long du parcours j’ai fait un gros travail sur moi (hypnose, sophrologie, acupuncture, soins énergétiques, soins en mémoires cellulaires), le sport (je suis coach sportif depuis 2016),le yoga, l’alimentation, la méditation, de nombreuses lectures (développement personnel entre autre) m’ont permis de m’ouvrir à d’autres choses et de comprendre certains blocages inconscients de mon passé. Une fois que je m’en suis libérée, j’ai pu voir les choses complètement différemment et je me suis sentie maître de mes décisions.
Nous avons donc enchaîné sur une FIV IMSI 4 bis en nous disant que c’était la der des der. Je n’ai jamais été aussi sereine et confiante de toute ma vie. Tout s’est très bien passé pendant le traitement (alors que j’ai très mal vécu mes 9 précédents).
Je me répétais tout le temps que je devais avoir confiance en moi, en mon corps en l’univers. Trois mots sont ressortis de mes se’aces de sophrologie et d’hypnose : confiance, patience et bienveillance. Ces mots m’ont guidés et me guident encore !
Finalement, 11 ovocytes prélevés, 5 fécondés, 3 transférés à J3 (au début je ne voulais pas mais c’était notre dernière chance donc on a tenté le tout pour le tout). Le jour du transfert, le gyneco nous a quand même demandé de bien réfléchir car les trois étaient de très bonnes qualités dont deux d’excellente qualité. On a quand même pris le risque (en croisant les doigts pour qu’il y en ai au moins une qui en tienne pas !).
Finalement, pour la première fois le test de grossesse était positif avec un taux de Bêta HCG supérieur à 100 donc pas de fausse couche précoce comme les autres fois.
Tout au long de l’attente avant la prise de sang, je parlais avec une copine qui était aussi en PMA. Elle m’avouera après que cela faisait quelque jours que mon discours avait changé et que du coup elle était persuadée que j’étais enceinte…
Je vivrai au jour le jour pour ne pas me faire de faux espoirs jusqu’à la fin du premier trimestre.
Le 9 octobre 2019, je suis devenue maman d’un petit Maxence ! Mon petit loulou a aujourd’hui 17 mois et nous sommes les parents les plus heureux du monde. Je suis sur mon petit nuage depuis le début de ce dernier traitement, le 27 décembre 2018.
Désolée mon témoignage est très long mais 4 ans et demi en PMA ce n’est pas rien… Je voulais te donner une grosse dose d’espoir et de confiance. Essaies de te tourner vers le sport, le bien-être, le développement personnel si cela te parle. Je pense sincèrement que quand on est bien dans sa tête et dans son corps les choses se passent plus facilement !
Et pour ce qui est de ta première fiv j’ai souvent entendu dire (et les médecins me. L’ont dit à moi) que la première c’est un peu un test pour voir comment notre corps réagit… Pas d’inquiétude si ça ne fonctionne pas du premier coup même si je sais que c’est très difficile moralement, mentalement, physiquement et émotionnellement.
Bon courage pour la suite. Parle en beaucoup avec ton conjoint, ça aide vraiment. Acceptes tes émotions, tombes pour mieux te relever. Je te souhaite le meilleur pour la suite
Aurélie dit
Bonsoir
Je viens amener un peu d’espoir également. Après 1 an d’essai, rdv avec ma gynéco en 2015 pour des examens. Le verdict tombe mon conjoint est OATS et moi je n’ovule pas naturellement (mais aucun autre problème). On part sur la FIV ICSI. 1ère tentative en mars 2016. J’y crois à fond ! On pousse à J5, il n’y a qu’un seul embryon à transférer, rien à congeler. C’est négatif. Tout s’effondre. Pourquoi moi ? On se pose quelques mois mais on reprend rapidement. Tentative FIV2 octobre 2016. J’avais un protocole court pour la FIV1, donc ma gynéco veut essayer un protocole long. Je demande un transfert de 2 embryons, ma gynéco accepte un double transfert J3+J5. Et toujours rien à congeler. C’est positif ! Mais le taux de HCG n’augmente pas correctement. J’enchaîne les pds, les écho, on entend un cœur… mais à 7sg le coeur ne bat plus. Grossesse arrêtée décembre 2016 je dois prendre un comprimé pour évacuer l’embryon. Affreux, je ne le souhaite à personne. Je suis dévastée, juste avant Noël. FIV3 en mai 2017. Vu que la tentative précédente était positive (même si fc) on refait la même. Double transfert J3+J5, rien à congeler, négatif. Là c’est trop. Trop dur physiquement et psychologiquement j’ai besoin d’une pause. Ma gynéco est d’accord, surtout que l’hôpital prévoit d’acheter un embryoscope, elle veut aussi que mon conjoint fasse une biopsie testiculaire car selon elle, le problème vient des spermatozoïdes de mauvaise qualité.
Biopsie en février 2018. FIV4 ultime tentative la pression monte mais j’essaie de rester détachée. Mai 2018 j’insiste pour avoir un transfert de 2J5. Ma gynéco est d’accord, je crois que même elle, elle n’y croyait plus vraiment ! A J5 il n’en reste que 2 (hasard ?). Transfert le 14 mai 2018. C’est positif. Cette fois le taux augmente bien. La 1ère écho révèle 2 poches ! Les 2 se sont accrochés, ce sera des jumeaux. Ou plutôt des jumelles, elles ont 2 ans maintenant. C’est un combat mais ça vaut le coup. Accrochez vous. Renseignez vous sur la biopsie testiculaire et le Time Lapse (ou embryoscope), j’ai aussi fait une séance d’ostéopathie avant la ponction. Courage et bonne chance.
Just dit
Bonjour ,
Je ne comprend que trop bien ce que tu ressens et je suis vraiment désolée pour vous .. mon mari est aussi OaTS et moi je n avais aucun souci particulier. si je peux te redonner un peu d espoir , après 8 ans de combat , 5FIV ICSi sans compter les traitements qui n’ont pas aboutis et tout le reste , j ai enfin eu le bonheur de devenir maman . Il faut s accrocher même si c’est dur , même si on a envie de tout abandonner , je vous souhaite beaucoup de courage !
Juliette dit
Hello Sissi,
Première chose et je pense la plus importante, surtout accroche toi !
J’ai 30 ans et mon cher et tendre a 31 ans.
En 2017, quelques mois après notre mariage, nous décidons de fonder notre famille.
Début 2019, après un an d’attente qui s’est soldée par une fausse couche précoce, ma gynécologue nous dirige vers une consœur spécialisée en infertilité et le diagnostique tombe : Monsieur, à cause d’une varicocèle, a peu de spermatozoïdes (qui en plus sont de mauvaise qualité et peu mobiles) et de mon côté, des ovaires un peu fatigués.
Même si la nouvelle est dure à digérer, on décide de se battre et 4 mois plus tard, 1ère fiv.
8 ovules à la bonne maturation sont fécondes pour 3 embryons au final. Un premier transfert en février qui ne prend pas (j’entends encore ma belle mère me dire que je n’aurai jamais dû accepter ce nouveau boulot et que c’est à cause du stress que ça n’a pas marché). Beaucoup de culpabilité suivi d’une longue interruption à cause du Covid.
Juin 2020 arrive et on a enfin le droit au second transfert qui se solde aussi par un échec…
On décide alors que mon mari se fera opérer de sa varicocele (au cas où) et on doit donc attendre novembre pour partir sur la seconde fiv.
Entre temps, notre couple a pris un sacré coup (personne n’en parle mais quand on rentre en parcours PMA, c’est une épreuve dure pour un couple). Monsieur est en colère contre tout et le monde et moi je vis très mal le fait que 7 de mes amies accouchent en 2020. 3 mois plus tard, après une succession de rdv chez une psy pour discuter d’une éventuelle séparation, on reprend le dessus.
2nde fiv en Novembre 2020 : 8 ovules à la bonne maturation pour 6 embryons à J+5 (finalement, une très bonne idée cette opération de la varicocele de Monsieur). Transfert immédiat de 2 embryons et la bonne nouvelle tombe pour Noël, je suis enceinte.
Aujourd’hui, je suis dans mon 4ème mois et j’attends un p’tit bout pour Septembre.
Je sais que la route est longue et difficile mais ça va aller ! Il faut y croire.
Sandrine dit
Bonjour Sissi,
Je crois que ton histoire résonne chez beaucoup de celles qui sont passées (ou qui passent) par un parcours PMA.
En ce qui me concerne j’ai arrêté la pilule en novembre 2015. En 2017, ma gynéco nous dirige vers la PMA. Après un bon nombre examens, on nous indique que nous sommes en infertilité inexpliquée. On nous oriente d’abord vers des insémination intra-utérine, qui se solderont toutes par un négatif, avec des larmes à chaque fois. Au bout de la 4ème, on nous dit que les fécondations ne se font pas, il faut passer en FIV ICSI. J’ai fait ma première en novembre 2019. Mon ovaire gauche est rétro-utérin, et très difficilement ponctionnable. Au final, nous auront seulement 6 ovocytes qui donneront 2 embryons, qui seront transférés à J2. J’y crois très fort, et l’échec en est tout aussi dur à encaisser. Fin février 2020 je commence un nouveau protocole, vite interrompu par le 1er confinement. C’est un nouveau coup dur. On nous propose de programmer un nouvel essai en août 2020, mais je décide de le décaler à septembre. Je sens que j’ai besoin de vacances, mon mari aussi. Le nouveau protocole démarre, avec des doses beaucoup plus fortes. Au final, on me ponctionnera 11 ovocytes, qui donneront 6 embryons. On m’en transfère 2, et les 4 autres sont congelés. La prise en sang est programmée pour le 21 octobre, la veille de mon anniversaire. Quelques jours avant, je perds un peu de sang, et je m’effondre. Pour moi c’est encore un échec. Je fais quand même la prise de sang parce qu’elle est obligatoire… et elle est positive! Je viens de débuter mon 6ème mois, mon petit garçon devrait arriver début juillet.
Je sais que les résultats négatifs sont toujours des moments très difficiles, douloureux mais on finit par se relever, recommencer, avancer, un pas à la fois. Cet échec ne veut pas dire que ça ne marchera jamais pour toi, la PMA est un long parcours. Prend le temps de pleurer si c’est ce dont tu as besoin, de te remettre, mais ne te décourage pas.
Je te souhaite beaucoup de courage, et de bientôt avoir ton bébé.
Claire Cabréra dit
Bonjour. Mon cheri est OATS sévère, suite à un cancer et une chimio. Pas de soucis de mon côté. Quand on a débuté notre parcours Pma, on est partis direct en fiv icsi. Première fiv: 4 transferts (J3 frais négatif, tec J5 négatif, tec J5 négatif, tec J5 impossible car n’a pas tenu à la décongelation). Le dernier échec a été le plus dur à vivre. Mon conjoint culpabilisait beaucoup.
On a décidé de faire une pause dans les traitements pendant 3-4 mois. On a pu se retrouver, et j’ai pu prendre soin de moi sans prise de tête.
Pour la fiv 2, nous avons décidé (avec la gynéco) de faire un transfert de 2 J3 frais et de congeler les autres à J3.
J’ai essayé de prendre l’attente des 15 jours, avec beaucoup plus de zenitude (contrairement à la la 1ere fiv). J’ai été arrêtée jusqu’au test de grossesse car mon metier etait trop stressant et j’étais à 2 doigts de l’hyperstimulation.
J’ai résisté pour ne pas faire de test de grossesse. 15 jours plus tard j’ai fais la pds. J’ai ouvert le mail de résultats à plusieurs reprises pensant que je me trompais de ligne, mais non…J’étais bien enceinte!!! Enfin!!
À l’échographie, nous avons vu que nous attendions 1 bébé (l’autre embryon n’ayant pas tenu). Ma fin de grossesse a été perturbé par le covid. Mon fils est né 9 jours après le premier déconfinement. Il a aujourd’hui 9 mois et demi.
Surtout gardez espoir et restez soudés. Pensez à faire des pauses si besoin.
Je vous souhaite qu’un (ou 2) beau(x) bébé(s) arrive(nt) dans votre foyer dans quelques mois et aussi une belle grossesse.🍀🤞. Et n’oubliez pas: vous êtes une guerrière 💪💪
Pilipili dit
Bonjour Sissi,
Nous étions dans le même cas que toi. OATS très sévère pour mon mari et tout allait bien pour moi.
À la FIV ICSI 1 nous avons eu 2 embryons, 1J5 transféré en frais et un 1J5 en TEC qui ont été tous les deux négatifs. C’est vrai que c’est dur parce que je pensais naïvement que comme je n’avais pas de problème, il suffirait de transférer un embryon pour qu’il s’accroche.
FIV ICSI 2 nous avons seulement eu 1 embryon J5 qui a été transféré en frais. Et il y a eu un miracle, non seulement notre petit embryon s’est implanté mais en plus il s’est divisé pour nous offrir des vrais jumeaux.
Je sais à quel point ce parcours est difficile physiquement et mentalement. N’hésite pas à aller sur les forums de fiv.fr, on y trouve beaucoup de soutien.
Je te souhaite d’avoir bientôt ton bébé.
June dit
Bonjour sissi,
Si tu savais comme je te comprend…
Chaque parcours, chaque histoire est différente,
Pr la mienne elle est longue de 10ans d’essai bébé, avec un parcours PMA de 8ans, entre insémination intra utérine pour commencer, puis s’apercevoir que mes ovaires étaient tellement des faignasses qu’il fallait mieux passer par une fiv, puis fiv icsi car les spermatozoïdes de monsieur étaient eux aussi feignants… pour finir après notre 2eme tentatives de fiv do par un test positif et actuellement nous attendons notre petit bonheur désiré pour le mois de mai !
Chaque échecs ont été des épreuves compliquées, des remises en questions, du temps pour s’en remettre, puis à chaque fois trouver le courage de recommencer, avec cette appréhension de connaître encore un échec, et aussi l’espoir que cette fois-ci ça fonctionnera !
Ne pas abandonner si c’est vraiment ce que tu veux, se faire aider par des pros qui entendrons tes souffrances et te diront que c’est légitime, prendre le temps avant d’enchaîner avec de nouveaux traitements qui sont épuisant moralement et physiquement.
Et se dire que l’on est en bonne santé et que l’on peut profiter aussi du monde qui nous entoure, en attendant que bébé s’accroche,
Bon courage à toi, la pma est un long parcours, ne te decourage pas !