Parmi nos lectrices, on a la chance d’avoir des fidèles qui sont là depuis bien des années et qui parfois, aiment prendre la parole pour donner leur propre point de vue et nous rappeler que tous ces témoignages d’accouchement sont une mine d’or si on se souvient que chaque histoire est unique ! Elle témoigne sur le blog… Les témoignages d’accouchement : une mine parfois
Nos témoignages sur la peur de l'accouchement
J'avais tellement peur d'accoucher, si vous saviez ! La trouille ! Les chocottes ! Je crois d'ailleurs que c'est une des premières choses à laquelle j'ai pensé en voyant mon test de grossesse positif s'afficher : "mince mais il va falloir que j'accouche ?". Je me faisais une montagne de la naissance de mon enfant, je me demandais comment un être humain de plusieurs kilos pouvait arriver à passer par un si petit trou censé être plus ou mois prévu à cet effet... J'avais une vraie peur de l'accouchement, presque une phobie, à cause de tout ce que l'on m'avait raconté, j'étais même incapable de regarder des émissions comme Baby-boom avant de donner la vie à ma fille... et puis les premiers signes annonçant l'accouchement son arrivés....
Avant d'accoucher je n'étais jamais rentrée dans un hôpital
Je ne connaissais strictement rien au monde médical, du coup j'étais complètement terrorisée à l'idée de me retrouver entourée de tous ces médecins, sage-femmes et leurs instruments de torture. Je ne voulais pas de péridurale car j'avais une phobie des aiguilles, j'avais peur d'avoir mal, je ne voyais même pas comment il serait possible un jour que j'accouche. Rien que pour aller faire une prise de sang, il fallait que je sois accompagnée par quelqu'un car je tombais tout le temps dans les pommes alors accoucher ? Et puis risquer d'avoir des points de suture à l'entre-jambe ? même pas en rêve !
Cette peur était totalement irraisonnée, je ne sais pas du tout, tout elle venait. Pourtant je n'avais jamais entendu de témoignages spécialement traumatisants sur l'accouchement (ça c'était avant d'ouvrir la catégorie maternité du blog, j'ai bien fait de ne le faire qu'après !), personne ne m'avait raconté de choses horribles sur la naissance d'un enfant en elle-même mais ça me dégoûtait, tout simplement.
Et puis je suis tombée enceinte de ma fille
Je ne sais pas si c'est le travail des hormones - et je pense qu'en effet c'est le cas -, mais du jour au lendemain, l'accouchement m'est apparu comme quelque chose de "normal". Je n'avais pas hyper hâte d'y passer, mais ça allait, je me disais que bon, maintenant qu'elle était là, il allait bien falloir la faire sortir... et finalement le jour J tout s'est hyper bien passé ! Je ne dirais pas que j'ai aimé accouché, mais je suis très fière d'avoir aussi bien géré je vous en parlais ici.
Vos témoignages sur la peur de l'accouchement
Comme vous le savez, sur ce blog, on part du principe que le récit d'un accouchement n'est pas assez pour se faire une idée. Ce n'est pas parce que ça se passe comme cela pour une personne que toutes les femmes sont pareilles. Alors on a demandé aux lectrices du blog de nous parler de leur peur de l'accouchement. Voici leurs réponses.
Charlotte : J'avais très, très peur de l'accouchement et de la douleur... Impossible de regarder l'émission Baby Boom, ça me terrifiais d'entendre les femmes crier... Pendant ma grossesse, j'ai eu également très peur, et j'en étais presque à espérer d'avoir une césarienne... Mais les cours de préparation à l'accouchement m'ont aidé, surtout quand la sage femme a dit qu'on était faite pour ça, que ça déclenchait plein d'hormones pour la douleur. Finalement, quand le moment est venu (bébé ne voulait pas sortir, on a dû me déclencher...), j'ai super bien gérer la douleur avec de la méditation. Je me suis créé un espace mental (un jardin zen) et j'y suis restée presque tout l'accouchement (qui a quand même duré 24h à partir de la perte des eaux). J'ai quand même eu la péridurale. Cela fait deux ans et j'ai complètement oublié les douleurs, je me souviens plus du tout de ce que peuvent être les contractions (à part que je m'imaginais traversée par des vagues, et mon objectif c'était de monter avec, mais de refuser de le laisser entraînée par elles). Je me souviens plus de la grosse douleur du moment où il a fallu pousser. Apparemment, ça a duré 10-15 min, mais dans ma tête, c'est plus 5 minutes...
Estelle : L'accouchement ne me faisait pas peur. J'ai fait une préparation "hypnonaissance", j'ai accouché 2 fois sans péri, j'en suis heureuse et fière.
Chloé : Avant de tomber enceinte la première fois, je n'avais pas du tout peur. J'avais même hâte de connaître ce que je ne connaissais pas. Au deuxième, j'ai eu un peu d'appréhension mais sans plus. Ce sont deux enfants rapprochés donc mon esprit était très occupé par mon premier et par ma grossesse nouvelle. Maintenant, enceinte du troisième, j'ai une peur viscérale de l'accouchement. Parce-que je sais désormais ce que c'est vraiment. Je ressens la peur primaire et bestiale, au point que lorsque le jour arrivera, j'espère accoucher seule ! Comme un animal qui de cacherait dans un état de faiblesse (je crois que les hormones parlent à ma place).
Lamy : Au début de ma grossesse, l'inconnu de l'accouchement me faisait encore assez peur, avant cela n'en parlons même pas ! J'avais comme unique image de l'accouchement, un moment qui se vit dans la douleur, plus ou moins selon le déroulement. Cette peur ne s'est jamais trop éloignée jusqu'au début de mes cours de préparation à l'accouchement dans mon troisième trimestre. Je suis tombée sur une super sage-femme qui nous a tellement bien préparés à l'accouchement que j'ai enfin compris ce qui allait nous arriver à baby et moi au cours de cette aventure mais aussi les pouvoirs incroyables de mon corps de femme. Quelques lectures complémentaires plus tard, vers 35 SA, j'ai commencé à me dire qu'en fait pour le jour J je souhaitais tenter d'aller le plus loin dans la physiologie, sans péridurale. Je dis bien "tenter" car je gardais en tête que tout cela restait une grande inconnue malgré tout et que je ne voulais me fermer à rien. Cela dit, j'étais alors persuadée que la nature avait tout prévu et que mes hormones étaient formidables si je leur permettais de s'exprimer et pour cela je ne devais pas laisser la peur prendre le contrôle, je devais me mettre dans ma bulle de confiance ! J'étais assez chamboulée de ma propre volonté et décision, moi qui avait tant de craintes à peine quelques semaines plus tôt.. Finalement, j'ai bel et bien accouché sans péridurale après un long travail de plus de 20h et pourtant à aucun moment je n'ai pensé à la péridurale, à aucun moment je n'ai été dans la souffrance. Notre corps est incroyable !
Mylla : Pour ma 1ère grossesse j'étais sereine j'évacuais le stress grâce à mon sport que j'ai pu pratiquer jusqu'à la veille de mon accouchement, étant une warrior à la base, j'ai voulu dès le début de ma grossesse accoucher normalement sans péridurale, sans préparation, et franchement je ne regrette absolument pas de mon choix.
Au : C'est une vraie phobie ancrée en moi, malgré la préparation à la naissance et le fait d'être totalement consciente que j'allais avoir mal mais qu'il faut y passer ''j'étais pas la première ni la dernière femme à accoucher'' je pense que j'ai fais un blocage : résultat des courses 48h en salle de naissance et césarienne d'urgence que j'ai vécue comme un soulagement inespéré après 52h de contractions !
Sophie : Avant d’être enceinte, je souhaitais vivre un accouchement sans péridurale en salle naissance nature. Et puis une fois enceinte tout a changé, étant en grossesse à risques avec une surveillance +++, où j’ai été arrêtée à deux mois de grossesse pour risque de fausse-couche. J’ai commencé à développer une peur de l’accouchement. Rapidement j’en ai parlé à mon obstétricien, qui a été très à l’écoute. Toute la grossesse bébé était en transverse et le dernier mois il était en siège, donc toute la préparation a l’accouchement s est faite avec la prévision d’une césarienne programmée. La césarienne programmée a bien eu lieu, mon compagnon était présent avec moi au bloc, et c'était un bel accouchement par césarienne.
Mélanie : J’appréhendais pas mal mon accouchement avant de tomber enceinte (les accouchements des copines et femmes de ma famille ne se sont pas toujours très bien passés) et puis quand je suis tombée enceinte, rapidement, avec un placenta recouvrant, on m’avait dit « césarienne obligatoire » alors je m’étais faite à l’idée et surtout au fait que je n’aurai pas un accouchement par voie basse. Et au dernier trimestre, miracle! mon placenta est remonté et c’était ok pour un accouchement par voie basse. Alors que je n’étais pas du tout stressée par la césarienne… oups la j’ai commencé à stresser mais j’étais tellement contente de pouvoir accoucher naturellement que ça a été. Finalement mon accouchement a quand même été déclenché mais tout c’est très bien passé !
Pépette : Pour mon premier accouchement, l’idée d’accoucher me faisait peur mais plus dans l’idée que je m’en faisais et le jour J arrivée, la peur c’est envolé. Malheureusement suite à une erreur médicale, ma fille est décédé. Donc quand mon deuxième accouchement est arrivée, j’étais terrifié à l’idée de pousser à nouveau. Heureusement, j’avais une équipe ce jour là qui étais vraiment formidable et à mon écoute.
Elodie : Premier bébé un peu peur de l'accouchement, mais surtout peur d'être déclenchée à cause de mon diabète. C'était un soulagement à chaque consultation quand je repartais et qu'on me disais que c'était bon, qu'il n'y aurait pas de déclenchement sauf si ma pépette prenait trop de poids d'un coup. Le jour J par contre c'était panique à bord. Je ne dilatais pas, j'ai fissuré la poche à 6h du mat le 24, j'étais à 1 et demi et à 20h30 j'arrivais difficilement à 3 avec les contractions par les reins je ne gérais rien... Une sage-femme a pris pitié en me passant en salle d'accouchement pour me poser la péri à 20h50. Je ne gérais pas du tout mes contractions, j'étais seule une grosse partie de la journée et j'avais surtout peur pour ma pépette, puisque j'avais constaté le ralentissement de son rythme cardiaque pendant les contractions. Ma pire crainte était que ma fille ne survive pas... On m'a posé la péri et une poche d'ocytocine en me disant que si ça ne bougeais pas rapidement, c'était césarienne d'urgence car ma pépette commençait à fatiguer. Finalement j'ai accouché naturellement à 1h04 le 25, en 2 poussée d'une crevette de 2kg160 qui est partie en neonat pendant près d'une semaine... Pour mon deuxième, pas vraiment d'appréhension, seulement hâte de rencontrer mon petit prince. Ça a été rapide, au point où je n'ai pas eu de péri et c'était mon plus bel accouchement.
Mélanie : J’avais très peur avant de tomber enceinte et ça s’est intensifié pendant la grossesse… et puis par « miracle » le jour de l’accouchement j’étais super zen et super confiante, j’allais enfin rencontrer mon bébé… puis ça s’est terminé par une césarienne d’urgence.
Nikita : Je n'avais aucune peur de l'accouchement et finalement elle est arrivée à cause de ma sœur. Je suis la plus petite de 4 filles, mes 3 grandes sœurs ayant déjà été maman. Cette sœur m'a raconté l'accouchement comme une vraie torture, un truc laborieux qui a duré 2 jours. Du coup quand j'ai accouché la première chose que j'ai dit après avoir mis au monde mon petit gars a été "et c'est tout" ce qui a grandement surpris la sage femme. Je ne dis pas que c'est une partie plaisir du moins avant la péridurale. Après je faisais des micros dodos entre les contractions j'ai même dormi sur la table d'accouchement. J'en veux un peu à ma sœur de m'avoir inquiétée outre mesure même si j'avoue qu'elle a eu deux accouchements compliqués. Bien entendu tous les accouchements sont différents mais je pense que dans la majeure partie tout s'envole quand on regarde ce petit être qui nous regarde.
Laurie : L'accouchement, les contractions, la douleur et la péridurale me faisait peur, avant de tomber enceinte, pendant la grossesse et jusqu'à l'accouchement. J'entrais dans un monde inconnu, moi qui aime savoir où je vais, c'était compliqué à gérer. Cette peur a été accentuée par le fait que ma grossesse ne s'est pas passée comme prévu : beaucoup de soucis, un parcours du combattant pour résumer, où le stress a été présent du début à la fin. Ma fille a pointé le bout se son nez à 30 SA, beaucoup trop en avance, donc le jour de l'accouchement la peur était forcément au rendez-vous. Mais tout est passé très vite, j'ai été magnifiquement accompagnée et surtout ma fille allait bien compte tenu du terme. Courage à toutes, ça vaut le coup de souffrir un peu.
Marjorie : Non je n'ai jamais vraiment eu peur, pourtant le premier accouchement a été très compliqué. Pour mon second enfant je n'y ai pas repensé jusqu'à l'accouchement. Mais quand on m'a dit la tête est là, donc 2 min avant j'ai eu une peur panique. Une poussée et mon bébé était dans mes bras. Et tout s'est envolé ! Je suis de celles qui vivent le moment présent et se projettent pas trop.
Caroline : J’avais une peur bleu de l’accouchement avant d’être enceinte. A cause de ce qu’on voit dans les films et du peu de récit que j’avais pu entendre. Je n’avais pas spécialement envie d’avoir d’enfant et cette peur en était l’une des raisons. Une fois enceinte j’ai beaucoup cogité et j’appréhendais énormément le jour J. Mon chéri me parlait d’accouchement sans péri car il connaissait un certain nombre de personnes qui avait eu des soucis avec. Je n’étais pas pour, pas envie de souffrir du tout ! Mais pas envie non plus qu’on m’insère toute cette artillerie dans le dos … J’ai donc commencé à y réfléchir et me documenter un peu sur le sujet. Je penses avoir choisis d’accoucher sans péri vers les 5 mois. J’ai alors beaucoup bouquiner et lu de nombreux témoignages sur FB. J’ai appris ce qu’il se passait dans notre corps, tout ce cocktails d’hormones qui se libère pour nous aider. En comprenant ce qui m’attendait ma peur a commencé à s’envoler. Je ne me suis mises aucune pression. J’avais envie d’avoir un accouchement le plus physio possible, mais si je n’en était pas capable ce n’était pas grave. Dans mes moments de doutes je me disais que ce qui doit arriver arrivera et que stresser n’y changera rien. Arrivé le jour J j’ai dis en pleure à mon mari, juste avant de partir à la maternité que je n’y arriverai pas et que je vais prendre la péri en arrivant. C’était ma phase de désespérance… J’ai finalement eu mon accouchement sans péri et qu’est ce que j’en suis heureuse et fière ! Oui c’était dur, mais tellement loin de ces préjugés que l’on nous met en tête…
Fabienne : Il y a 2 ans et demi j’ai donné naissance à la plus adorable des petites filles (si si, en toute objectivité) Chanceuse, pour ma première grossesse, je suis tombée enceinte dès notre premier essai. Sauf que. Dans ma tête je m’étais dis « allez on s’y met », de toute façon comme pratiquement toutes mes amies ont eu des difficultés à tomber enceinte, je pensais que j’avais au moins 6 à 12 mois devant mois pour me faire à l’idée de porter la vie et devenir maman. Mais non. Bébé s’est logé au creux de mon ventre dès le premier mois d’essai. Du coup j’ai eu 8 mois pour me faire « à l’idée ». Et je me rends compte après coup qu’en fait j’étais terrifiée d’être maman. L’accouchement en lui même me faisait peur, la douleur, le fait que mon corps ne serait plus jamais le même après, mais surtout, SURTOUT, la trouille d’être responsable d’un petit être, moi qui aimait tant être tranquille et m’occuper de moi, dormir le matin, etc.
J’ai finalement accouché par voie basse après un déclenchement qui aura duré 48 heures, ma princesse est arrivée à 41 SA + 8. Forceps + épisiotomie + révision utérine, j’aurais tout eu. La douleur aussi, atroce, jusqu’à la pose de la péridurale, qui m’a énormément soulagée et qui était parfaitement dosée. Malgré ça, je n’ai aucun regrets. Oui j’en ai bavé post accouchement, mais l’équipe médicale a été au top, très à l’écoute, pendant toute la durée de l’accouchement, et le bonheur incroyable d’être maman compense très largement ces «désagréments passagers ». Après coup je reste persuadée que si je suis allée bien après terme jusqu’au déclenchement, c’est que psychologiquement je n’étais pas encore tout à fait prête dans ma tête. Ce n’est sûrement pas la seule raison bien sur, mais la part psychologique a certainement un rôle, je crois ? Cela dit ça ne m’a pas traumatisée du tout, je suis à nouveau enceinte pour notre plus grand bonheur ; et je sais aujourd’hui que si je dois repasser par tout ce que j’ai cité précédemment, ce n’est pas grave car le jeu en vaut largement la chandelle. Je sais que j’assure comme maman, que mon mari est ultra présent tant pour moi que pour notre fille, et que c’est génial d’être une famille! Le plus important au final, c’est que l’enfant se porte bien et soit en bonne santé !
Emilie : J'avais très peur de l'accouchement quand j'étais plus jeune. Quand j'ai su que j'étais enceinte, cette peur a disparu. Et j'ai vécu un accouchement de rêve. Je pense que le stress (légitime) n'aide pas mais difficile de passer outre j'imagine.
Laetitia : J'avais très peur de l'accouchement, j'ai peur de la douleur en règle générale. J'avais demandé à mon gynéco vers les 7 mois s'il n'était pas possible d'envisager une césarienne tellement j'avais peur. Et puis avec le soutien de mon chéri, j'ai essayé de me faire confiance et de faire confiance à la sage femme. Je ne suis pas arrivée avec un projet, mais en disant juste à la sage-femme : je ferai tout ce que vous me direz de faire ! Et j'ai adoré mon accouchement, tellement que je n'ai jamais envisagé une seconde pour ma seconde grossesse accoucher autrement.
Virginie : J'ai toujours voulu des enfants mais je ne voulais surtout pas accoucher. Cette peur de l'accouchement par voie basse, je l'ai depuis très longtemps, traumatisée par certaines histoires et mon imagination.
Je redoutais tellement ce moment que je disais que je ferai tout pour accoucher par césarienne. J'avais peur de ne pas être capable de le faire, peur de la déchirure, peur d'avoir mal pendant et après, peur de faire caca et j'en passe. Je suis née avec un double strabisme aggravé par les forceps du coup, l'accouchement me faisait aussi peur pour bébé. En résumé, tout dans l'accouchement me faisait peur. Une fois enceinte, j'ai espéré longtemps, très longtemps d'avoir besoin d'une césarienne. J'avais espoir que bébé soit trop gros, qu'il soit en siège... Mais non, bébé était en position optimale à 6 mois de grossesse, c'était un bébé de taille et de poids correct, en pleine forme... Rien mais vraiment rien ne tendait vers une césarienne. Les semaines passaient et je me rendais bien compte que je n'échapperai pas à l'accouchement par voie basse. J'ai travaillé avec ma sage-femme. Grâce à l'acupuncture, à l'aromathérapie, je commençais à me détendre en pensant à l'accouchement. 3 semaines avant le terme, j'ai perdu les eaux. On y était, le moment était venu. Sauf que le pré travail a duré 20h. 20 longues heures interminables où j'ai souffert le martyr car bébé appuyait sur le nerf crural et me réveillait la cruralgie à chaque contraction, soit toutes les 10 min. 20 longues heures où il a fallu me faire 2 perfusions de morphine pour me soulager. Et là, finalement, il n'y a plus qu'une chose qui m'importait, c'était que bébé sorte et de quelque manière que ce soit. Envolées mes peurs, mes phobies, je voulais accoucher et vite. Quand on m'a dit qu'on partait en salle d'accouchement, j'en ai pleuré. J'ai eu une équipe au top. La sage-femme m'a demandé si j'avais des souhaits particuliers, je lui ai juste demandé de ne pas utiliser les forceps, que je préférais une césarienne si besoin était. Elle m'a demandé pourquoi mais ne m'a pas jugée. Elle a compris ma crainte, m'a guidée. Bébé est donc arrivé 48h après notre arrivée à l'hôpital. L'accouchement s'est très bien passé et je n'ai plus peur de l'accouchement, du moins, pas comme avant...
Il est normal d'avoir peur de ce qu'on ne connaît pas. L'accouchement est une épreuve. Il ne faut pas hésiter à en parler. Je n'ai pas hésité à le dire aux professionnels qui m'entouraient, l'anesthésiste, la sage-femme, l'aide-soignante... Ils l'ont tous su. La communication est essentielle pour nous aider à appréhender les choses et réussir à un moment donné à lâcher-prise et se laisser porter par le moment.
Dans cette rubrique du blog, vous retrouverez tous les témoignages sur la peur de l'accouchement. Et des récits rassurants qui vous feront du bien <3
{Témoignage} Mon accouchement sans consentement
Notre fidèle lectrice souhaite à son tour partager son histoire comme de nombreuses femmes le font ici. Elle a vécu son accouchement comme si elle était étrangère à la situation, sans qu’on lui demande ou explique quoi que ce soit… Elle témoigne de son accouchement sans consentement sur le blog… Accouchement sans consentement : loin de ce que j’avais imaginé Bonjour à tous les parents
J’ai accouché sans péridurale : mais pourquoi tu te fais du mal ?
J. voulait partager avec nous son témoignage sur l’accouchement sans péridurale. En effet, la jeune maman a adoré cette naissance naturelle et souhaite dire à toutes les mamans combien elle a adoré l’expérience. Voici son récit. {Témoignage} Mon accouchement sa péridurale, ce souvenir merveilleux Bonjour à toutes les lectrices de La Mariée en Colère, J’ai accouché il y a deux ans d’une petite fille et
{Témoignage} Je voulais partager avec vous mon bel accouchement physiologique
Voici un témoignage qui devrait rassurer toutes les primipares, qui ont peur de l’accouchement. Pour la naissance de sa fille, Marina ne voulait pas de péridurale. Elle a accouché en douceur, dans la sérénité et la quiétude. Voici son témoignage. {Témoignage} Un premier accouchement physiologique, rapide et serein Bonjours à toutes, Je m’appelle Marina, j’ai 28 ans et je suis l’immensément heureuse maman d’Hortense, 6
Révision utérine : cet acte n’est pas toujours traumatisant
Nous recevons beaucoup de témoignages sur les séquelles psychologiques laissées par la révision utérine. Souvent pratiquée dans l’urgence avec une péridurale qui fonctionne plus ou moins, la maman qui subit déjà la douleur de l’accouchement, a en plus celle de cet acte vraiment pas anodin à encaisser. Heureusement, cela peut aussi très bien se passer. C’est le cas pour Cyrielle, qui a eu la chance
L’importance d’être entourée d’une équipe bienveillante lors de l’accouchement
Cyrielle a donné naissance à 2 bébés. Et ses 2 accouchements ont été foncièrement différents. La jeune maman pense que c’est grâce à l’équipe bienveillante et rassurante qui l’a accompagnée la seconde fois. Voici son témoignage. {Témoignage} 2 accouchements, 2 ressentis totalement différents grâce à l’équipe autour Bonjour à toutes les lectrices du blog, Il y a quelques temps je vous avais raconté mon accouchement
Comment j’ai surmonté mon angoisse du monde médical pour donner la vie…
Lila avait une phobie du monde médical, au point de ne pas vouloir tomber enceinte et bien sûr, encore moins accoucher. Mais elle a travaillé sur elle, et aujourd’hui elle revient vous annoncer qu’elle a surmonté toutes ses peurs et est devenue maman ! Voici son témoignage. {Témoignage} J’ai surmonté ma phobie du médical : je suis maman ! Bonjour les lectrices de La Mariée
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F. souhaite avoir un enfant mais voilà, autour d’elle, elle n’a que des retours catastrophiques de l’accouchement. Alors comment surmonter sa peur de l’accouchement pour devenir enfin maman et que tout se passe bien ? Voici sa question (et ma réponse en suivant). {Question} Comment passer outre ma peur de l’accouchement ? Bonjour ! Je suis votre blog depuis la préparation de mon mariage il
{Grossesse} Ma peur de l’accouchement
Avant ma grossesse, j’avais une peur bleue d’accoucher. Et puis une fois enceinte toutes ces angoisses se sont dissipées. Moralité : j’avais bien raison d’arrêter de me stresser car mon accouchement s’est très bien passé, je vous parlais également ici de mon programme de préparation à l’accouchement. En attendant, voilà ce que je ressentais à l’époque. 8ème mois de grossesse, il est temps de commencer
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