Si certains patrons se réjouissent de la grossesse de leur employée, ce n’est pas le cas de tous. Il y a quelques jours je vous demandais via Facebook comment avait réagi le vôtre et ce qu’on peut dire c’est que certains sont vraiment gonflés ! Ce qui m’inquiète c’est que quand on voit qu’en Espagne ils proposent aux femmes de congeler leurs ovocytes pour faire leur carrière avant, on pourrait réellement entrevoir une dérive quant aux patrons qui ne veulent pas de grossesse parmi leurs employées « par contre pas question que vous tombiez enceinte tant que vous travaillez ici, vous ferez un gosse plus tard, vous n’avez qu’à faire congeler vos ovocytes« . C’est bien entendu extrapolé, mais quand on voit comment certains boss réagissent on se dit que ce n’est finalement pas si irréel. Voici vos témoignages. Lire noter guide : grossesse et travail pour tout connaître des droits et devoirs de la femme enceinte.
{Témoignages} L’annonce de ma grossesse au travail s’est très mal passée
Laura : J’ai eue droit à un « ben je ne te félicite pas. Et puis de toute façon tu as de grandes chances de faire une fausse couche avant la fin du 3eme mois, c’est très fréquent » euh comment dire ça fait vraiment plaisir surtout pour une première grossesse … Mais quel ne fut pas sa tête quand je lui annonçais quelques semaines plus tard que finalement je n’attendais pas un mais deux bébés ? et que j’avais droit au double de congé mat !
Emmanuelle : Une collègue est revenue de congé maternité enceinte (retour de couche), quand elle est allée l’annoncer à notre cadre il lui a dit « tu comptes en faire combien comme ça ? ! » . Il ne rigolait pas du tout….
Jenny : Patronne qui a elle même eu des jumeaux il y a moins de deux ans… « Ah….ok…..je pensais pas si tôt va falloir que je m’organise mais félicitations« . Ça fait plus de 3 ans que je bosse pour elle, et ça fait 8 ans que je suis avec mon chéri… bref. S’en sont suivis des mails très désagréables où elle m’a ressorti des services quelle a pu me rendre plusieurs mois auparavant et pour je ne sais quelle raison… elle m’a mis des bâtons dans les roues pour chaque démarche administrative… et un joli « tu me fais pas le coup de tomber enceinte toi aussi » à ma toute nouvelle collègue arrivée depuis même pas 3 mois….. Joyeux quoi !! Comme quoi, entre femmes on ne se comprend pas toujours !!!! Une patronne reste une patronne.
Anais : « Ça fait 6 mois qu’on envisage un licenciement mais comme tu es enceinte on ne peut plus. Donc on va prendre ça comme un nouveau départ« . Finalement il m’a mit beaucoup de pression jusqu’à la libération par le congé pathologique. De retour de congé parental à temps partiel (28h), on a fait une rupture conventionnelle 3 mois après. Très mauvaise expérience de grossesse au travail…
Amandine : Pour ma 2 ème grossesse j’ai eu des petits soucis au début, donc j’ai du rester 15 jours a la maison… dès la reprise du boulot je lui ai donc annoncé la bonne nouvelle, mais pas pour lui, il m’a dit : « ah bon je croyais que tu avais une grippe, c’est pire encore !!« . Voila sa réaction et cela a continué tout le temps de ma grossesse. Moi j’appelle ça du harcèlement morale. Du coup je suis actuellement en congés parental et tellement bien avec mes princesses !
Noémie : Pour ma part, je suis seule dans les locaux à 400km du siège sociale. Je l’ai annoncé par téléphone et par lettre avec AR après. J’ai eu le droit à un chaleureux « vous vous arrétez quand et combien de temps ?« . Heureusement mes collègues ont été plus chaleureuses !
Virginie : Ça a eu lieu quelques jours après mon échographie du 1er trimestre. Ma collègue et ma responsable ont été mises au courant un peu avant. Leur joie m’a permis d’affronter l’accueil glacial auquel j’ai eu droit avec mon patron : l’échange a duré 30 secondes, le temps de lui dire quand j’accouchais et de l’entendre me lâcher un « félicitations » à peine audible quand je suis sortie de son bureau. D’ailleurs, mon retour de congé mat’ ne s’est pas mieux passé car à ma demande d’aménagement d’horaire (je voulais rester à temps plein), il m’a proposé … une réduction d’horaire ? Du coup dans un mois et demi, nous mettons fin à mon contrat !
Cécile : Très difficile quand ton boss te dit « Tu sais il existe des solutions, il va falloir vite assumer et prendre tes responsabilités« … c’était il y a 4 ans, j’ai bien évidemment quitté cette société mais j’en reste très peinée… J’espère que sa propre femme n’aura jamais à entendre cette phrase !
Chloé : L’annonce de la grossesse a été très bien prise par mon patron : il a été mis tout de suite au courant, car j’ai eu besoin de me confier à lui pour aménager mon emploi du temps en amont (protocole FIV ). Par contre, je n’avais pas prévu tous les soucis de santé que peuvent engendrer une grossesse, et j’ai fais partie des 10% de grossesse patho… Carences, coliques néphrétiques, une pneumonie ( ! ) puis une MAP à 26 semaines. C’est l’accumulation d’arrêts maladies qui l’a dérouté, surtout que je suis responsable d’une boutique; il ne pouvait plus compter sur moi par rapport à cette grossesse. Cela a créé des vives tensions (car la menace d’accouchement prématuré a été causée par le travail : port de charges lourdes, station debout, horaires aménagées non respectées, trajets en voiture…). Mais je cite : « quand on est responsable d’une boutique on ne compte pas ses heures, enceinte ou pas » ). Je dois reprendre mi août, et je ne sais pas comment cela va se passer…
Lilie : Sa réaction « Bon ben, c’est la merde quoi » Génial !
Et vous, comment a réagit votre patron à l’annonce de votre grossesse ?
Sandrine dit
Bonjour,
Pour mon premier c’était un « accident », comme on dit. Mais le choix de le garder était volontaire. Je m’étais séparée du père avant de savoir que j’étais enceinte.
Quand j’en ai parlé à mon patron, il m’a dit : « il me semble comprendre qu’il n’y a pas de papa, ce serait mieux pour vous de ne pas le garder… »
Emilie dit
Quand j’ai annoncé ma première grossesse, un de mes patron l’a pris normalement et le second m’a demandé cash « c’est un accident? » j’ai répondu que non c’était voulu et j’ai alors eu droit à « Et vous avez dû essayer beaucoup? dans quelle position? »
Pour le deuxième, ayant été en arrêt une semaine à cause de grosses nausées, mon premier patron me dit « tu n’as pas quelque chose à m’annoncer? » et le second « c’était voulu? »
Et dirent qu’ils ont chacun 3 enfants….
A mon retour du deuxième congé de maternité, on m’a déjà dit qu’il fallait que j’évite une troisième grossesse….
Aurelie K. dit
Bonjour,
Je suis enceinte de 30 semaines et arrêtée depuis 3 jours (car contraction trop frequente). Cela fait 1.5 ans que j’ai ce nouveau travail et je suis tombée enceinte 9 mois après avoir commencé. Mon patron vient de m’avouer aujourd’hui que s’il avait su que je serais tombée enceinte aussi rapidement il ne m’aurait pas embauchée (malgré qu’aujourd’hui il est très content de mon travail et de mon implication). Je l’ai un peu mal pris, même si je comprends son point de vu en terme financier. En lisant vos témoignages, je me dis que mon patron est plutôt soft mais il y a encore beaucoup de chemins à faire pour qu’être enceinte est normal et cela fait partie de la vie…
Simon Laura dit
Bonjour,
Je suis enceinte de mon deuxième enfant sur contraception. Il n’était pas attendu mais nous avons décidé de le garder même si de base nous ne voulions pas d’autres enfants.
Quand j’ai annoncé ma grossesse à mon chef il m’a traité de menteuse, car je lui avais dit que je ne voulais pas d’autres enfants, puis il m’a demandé si je connaissais la contraception. Quand je lui ai dis que c’était une grossesse sur contraception il m’a alors répondu « et ton mec il sait pas mettre de capote ? Ou elle était percée ? »
En voulant en parler à mon directeur, je me suis retrouvée accablé de reproches sur la travailleuse que j’étais et que mon chef a juste parfois des paroles qui dépassent sa pensée.. Je suis désemparée
Dorothée dit
Alors moi je vais vous donner ma version, de l’autre côté de la barrière…
Nous sommes une petite équipe (féminine et à peu près du même âge) et nous nous entendons toutes bien.
Lorsque j’ai annoncé ma 2eme grossesse (2 ans après la première) j’ai eu droit de la part de certaines de mes salariés: « déjà? C’était voulu? J’aurais préféré que ce soit machin qui soit enceinte »
Quand l’une m’annonce qu’elle est enceinte, je suis toujours contente et la félicite, au fond c’est top nos enfants sont tous plutôt rapprochés, par contre c’est humain intérieurement de se demander comment on va gérer, dans mon cas je sais bien que je ne peux pas demander aux autres de compenser l’absence, et c’est moi à chaque fois qui doit compenser pendant l’arrêt…
Linette dit
Aprés une grossesse très pathologique (arrêtée pour toute la grossesse à la fin du 1er mois), je suis de nouveau enceinte 10 mois après mon accouchement, 2 moi après avoir repris le travail avec des cheffes pas conciliantes. J’attends le plus possible de leur annoncer et je le fais à 3 mois. 2 réactions:
– 3 mois? Bon, bah ça règle la question, tu dois le garder, c’est trop tard pour avorter.
– ah? Tu vas encore nous en pondre un… Enfin, tu verras, tu pourras faire un élevage comme avec les chiens.
Mimi dit
bonjour
j’ai une collegue qui a fait une fausse couche il y a quelque temps elle a deviné ma grossesse et m’a beaucoup culpabisé en me disant que normalement c etait à elle d’être enceinte etc qu’elle etait désolée de ne pas être heureuse pour moi etc… je l’ai vraiment mal vécu depuis notre conversation elle s’est braquée et ne m’adresse plus la parole… mon retour au boulot s’annonce compliqué…
Sobon dit
Bonjour. Je m’appelle Nella
Il y a 15 mois je me suis fait embaucher comme vendeuse à temps plein dans un tabac loto presse PMU. 39 ans ( 3 enfants de 17, 16 et 14 ans) mon futur mari 40 ans (2 enfants de 9 et 12 ans) nous ne souhaitions plus d autres enfants. Mais voilà au au cours des mois qui passaient nous avions envie d avoir tout de même un enfant ensemble. J arrête la pilule et je tombe enceinte au bout de 3 mois. Nous sommes très heureux. J appréhende la réaction de mon patron. Suite à une suspicion de fausse couche au bout de 5SA je lui apprend la nouvelle et là boum. Lui et sa femme’me disent à peine bonjour et je me prends des réflexions pour le travail non fini de ma collègue. Je décide de lui parlé et il me répond qu il m’a embauché car je ne voulais plus d enfants. Que ma grossesse le fou dans la merde car qd je suis en arrêt maladie il doit quand même payer des charges et mon salaire alors que je ne suis là et payer une autre personne pour me remplacer. J’ angoisse d ‘aller travailler chaque jour car j ai peur que à nouveau je perds du sang et demande de rentrer, d être en arrêt. Je suis déjà fatigué de travailler 6 jours sur 7 et les jours férié ( 9h à 13h). Très fatigué depuis le début de ma grossesse. Je me baisse plusieurs fois par jour à devoir ramasser les papiers qui tombent, les cigarettes, faire la presse , rester debout entre 5-7h par jour sans avoir le temps d’avoir une pause assise vu que je suis seul. Vu sa réaction cela ne facilite pas. Il ne pense plus que j’étais assez’flexible pour mes horaires même quand il me demandait de rester encore 1h et faire la fermeture ou autre et qu’il me prévenait parfois 2h avant. Voilà le remerciement. De plus il ne me donne presque jamais mon chèque de paie dans les temps. Jusqu’à 3 jours de retards ( suivant les mois il suffit que cela tombe un samedi donc sur le compte pas avant jeudi). Après mon congé je demanderais une rupture conventionnelle et j’irais bosser ailleurs.
Sana dit
Je suis enceinte de 5Sa, et je suis à ma troisième semaine de boulot en cdi. C est un poste que j attendais depuis un moment et ma chef a réellement besoin de moi pour cettr année…du coup je pense faire une ivg…j’ai 30 ans,mariée depuis 1an et demi.j’ai mal au coeur pour avoir pris cette décision mais si je veux assurer mon avenir et ma carrière je n ai pas trop le choix….quels sont vos avis?
Ana dit
Bonjour Sana,
Il ne faut pas que tu penses comme ça, l’arrivée de ce bébé est une chance extraordinaire et personne ne peut remettre en question cette grossesse (encore moins ton patron). Tu n’es pas mariée à ton employeur ! il faut que tu te ressaisisses, ta chef trouvera une autre personne car « personne n’est irremplaçable » . Tu risques de faire une grosse bêtise et tu le regretteras certainement plus tard; imagine que dans quelques mois, ils te virent ? Comment réagiras tu si tu as décidé d’avorter?
On a qu’une vie 🙂
Sobon dit
Bonjour. Je pense que tu auras tout le temps de retrouver un poste qui te plaira après bébé. Tu le dis toi même que ça te fait mal d’avoir pris cette décision. Tu regretteras cette décision toute ta vie surtout quand tu te prendras le remerciement en pleine face de ton patron. Tu es prête à un si grand sacrifice ? Pas le patron. Il en a rien à faire de toi. Il veut juste que sa boîte tourne et que l’argent rentre. J espère que tu changerais d avis et quand tu auras ton enfants dans les bras tu seras fière de toi de ne pas avoir fait passer le boulot avant la plus belle chose au monde . donner la vie. La plus grande richesse n es pas matériel ou professionnel.
Lilie dit
J’étais en CDD pour un remplacement de congés parental quand je suis tombée enceinte… Je l’ai annoncée à mon boss qui m’a dit « félicitations!! c’était prévu » et 2 – 3 bricoles positives pour finir par un « j’aime pas quand on me fait un enfant dans le dos ».
J’ai toujours pas compris 4 ans après.
Oxxie dit
Personnellement, j’ai voulu prévenir mes patrons au plus vite pour prévoir un peu la suite. Je bosse dans la restauration… Beaucoup d’heures, port de charges ect… « Mais… tu vas le garder??! » Bam ça c’est fait..
Depuis il me pourrissent.
J’ai galéré pendant des années pour en avoir un et là, je suis épuisée physiquement et moralement ! Je suis à peine à la fin des trois mois :/
BOSC Cindy dit
Pour ma part ça s’est passé plus ou moins en 2 temps : a l’évocation d’une future grossesse proche mon chef m’a répondu texto « il y a quelque chose qui existe, ça s’appelle l’avortement » (oui oui), ce a quoi j’ai rétorqué qu’il en était hors de question, d’où sa réponse suivante « dans ce cas il y a autre chose qui existe, ça s’appelle la capote »
Autant vous dire que je l’aurais bafféunjnnn si j’avais pu !!
Le 2eme temps a été a l’annonce réelle de la grossesse : « tres bonne nouvelle, félicitations (sur un ton très narquois), par contre a l’avenir tu diras a ton mari de se ligaturer la trompe, et j’espère bien que c’est le dernier »
Quel connard !!!
Et a 5 mois il est arrivé un jour en me hurlant dessus comme quoi je le faisais chier avec ma grossesse, mon ventre et mes rdv, que si c’était pour rien foutre je n’avais qu’à rester a la maison (texto)
Du coup je suis arrêtée depuis le début du 5eme mois a la demande de ma gynéco qui m’a trouvée vraiment pas bien physiquement et moralement ….
Elodie dit
Alors moi, mon boss a été cool mais mes collègues ont été pitoyables !
J’ai eu droit à un « on s’en doutait vu ta mauvaise humeur continue » puis un » si tu crois qu’on va t’aider… ». Effectivement, je n’ai eu aucunes aides même au 6eme mois alors que je travaillais à 50%. Du coup, arrêt complet et alitée dès le 7ème mois.
Je reprends en janvier mais vais chercher un boulot ailleurs rapidement.
Si Petite Soit Elle dit
Je me lance la semaine pro. J’avoue avoir un peu peur.
Je suis en CDI depuis janvier. j’avais déjà fait 8 mois l’an dernier dans la boite.
Mais je ne sais pas pourquoi j’ai été embauchée. On ne me donne rien à faire, je m’ennuie à 100 dessous de l’heure. J’espère que la grossesse m’aidera à y voir plus clair sur mon avenir pro
Si Petite Soit Elle dit
Voilà c’est dit. Sa réaction ?
Il n’a rien dit sauf qu’il ne pensait pas qu’il avait besoin de documents pour l’instant et quand j’ai dit que c’était pour début mai, il a dit « ok ».
Voilà tout.
Est-ce que je rentre dans la catégorie « mon annonce au travail s’est mal passée « ? x)
Cynthia dit
L’annonce de la grossesse a été plutôt bien prise par mes responsables, elles même déjà maman, surtout que j’avais fait une fausse couche un an auparavant durant le premier trimestre. Mais c’est durant les mois qui suivirent que la fatigue s’est accumulée. Travaillant à 25 heures, j’ai demandé à être plutôt de demie journée, afin de pouvoir me reposer le reste du temps… On me mettait parfois de journée complète allant de 7 à 9h de travail. Quand on est sur un plateau téléphonique avec des personnes au bout du fil qui ne sont pas forcément agréables et que la sonnerie retentit en permanence, ça vous épuise… Beaucoup… Deux mois et demi à l’avance j’ai demandé des congés, et j’ai appris à une semaine de la dite date que finalement non ils seront reportés de deux mois supplémentaires. Si j’ai demandé à avoir un peu de repos, ce n’est pas pour m’amuser mais pour essayer de tenir le cap jusqu’au bout. Le dernier mois avant mon départ en congés maternité, une accumulation de beaucoup de chose (boulot, fatigue, stress, anxiété, crise d’angoisse avec l’accouchement à venir, hormones, contrariétés…) ont fait que mon état psychologique frôlait le sol. Je tentais de rester forte malgré tout. Mais après avoir fait mon test de glycémie pour le diabète gestationnel, que je n’ai pas du tout toléré, j’ai failli faire un malaise et je ne me sentais pas de prendre la voiture et d’aller affronter une après midi de travail. J’ai prévu ma responsable qui s’est permise une réflexion sur mon état de santé en disant « qu’on ne peux pas être malade pour ce genre d’examen et que ça aurait été cool de la prévenir plus tôt pour pouvoir me remplacer ». Les nerfs ont lâché complètement, j’ai fini en arrêt total jusqu’à mon congés maternité. Et heureusement car mon col avait commencé à se modifier à 31 SA. A présent je suis au repos, je récupère et nous verrons bien commence se passera la suite après la naissance.
Madame Vélo dit
Moi je devais quitter mon boulot 1 mois après (démission pour rapprochement de conjoint) et quand je lui ai annoncé elle m’a dit « ah bah heureusement que tu t’en vas ! » Sympa… Mais je savais que si j’étais restée ça aurait été difficile pour notre chef car ma collègue aussi était enceinte (heureusement pour elle la nouvelle a été mieux accueillie !)!