Le premier accouchement d’Alice a été terrible. Mais en plus, aucune explication de la part de la maternité n’a été donnée à la jeune maman sur ce qui s’était passé. Enceinte de son second enfant, elle aurait voulu en savoir plus pour pouvoir appréhender plus sereinement cette seconde naissance. Voici son témoignage.
{Témoignage} Comment appréhender sereinement mon second accouchement ?
Bonjour à toutes et à tous,
Il y a 4 ans le 05 mars 2016 j’ai accouché de mon premier enfant Léon. Je souhaite livrer ce témoignage car je suis actuellement enceinte de mon deuxième enfant et je ne sais comment aborder un deuxième accouchement.
La grossesse s’était très bien passée, j’avais pris 9 kilos et ça avait été une grossesse très active. Il était clair à la dernière échographie que ce serait un beau bébé, prévu dans les 4kg environ.
J’ai perdu les eaux à 4h du matin et nous sommes partis à la maternité
J’ai commencé à ressentir des contractions une fois arrivée là-bas. Le bébé étant positionné dans le dos, j’ai eu beaucoup de mal à gérer la douleur et j’ai demandé une péridurale après avoir tenu 2 heures.
La pose de la péridurale m’a complètement soulagée et j’ai pu me reposer…
10h plus tard donc 12 heures environ après le début du travail le col était dilaté complètement mais le travail n’avançait plus.
La sage-femme qui me suivait depuis mon arrivée a demandé une consultation gynéco et préconisait une césarienne. La gynéco n’a pas approuvé et nous sommes restés dans cette situation. Puis la seringue de la péridurale qui était quasiment vide n’a pas été remplie par l’anesthésiste. Et c’est là qu’a commencé mon calvaire….
Mon petit bonhomme Léon était coincé au niveau des épaules depuis déjà un bon moment dans mon bassin.
Tout a coup il a commencé à fatiguer et le personnel soignant s’est affolé. Plusieurs personne sont rentrées en catastrophe dans la salle d’accouchement, une sage-femme est monté sur mon ventre pendant qu’une autre tirait sur la tête à l’aide d’une ventouse et qu’une autre la tirait également.
Puis ils ont décidé de casser la clavicule de mon bébé pour l’aider à sortir
Bon je vous avoue que cette partie c’est mon conjoint qui l’a suivie en détail car personnellement sans péridurale j’étais sur une planète de douleur et plus du tout présente.
J’ai réussi à le pousser dehors et il a été très rapidement emmené en soins.
Je suis soudainement descendue à 6 de tension et j’ai fait une hémorragie donc il ont fait sortir mon conjoint qui est parti en peau à peau avec Léon en se demandant s’il me reverrait. Il n’a plus eu de nouvelles pendant 2 heures.
Il ont réussi à juguler l’hémorragie.
Ensuite la gynéco est allée chercher le placenta dans mon ventre. Je n’ai clairement pas souvenir d’une pire douleur dans ma vie. Puis elle m’a recousue une épisiotomie monstrueuse intérieure comme extérieure à vif sans péridurale ni anesthésie locale et en s’agaçant que « je ne me tienne pas tranquille« .
A 19h30 j’ai enfin pu rassurer mes proches et voir mon petit Léon.
Puis ils m’ont monté en chambre…
Et la au moment ou je souhaitais simplement me reposer une sage femme m’a indiqué qu’elle devait me poser une sonde sous prescription de cette charmante tortionnaire gynéco…
Ok pas de problème mon intimité était un champ de bataille mais allons-y, il paraissait logique que l’œdème pouvait empêcher le fait d’uriner et j’étais consciente de la nécessité de cet acte.
Après s’être loupée 2 fois elle a finit par appeler une collègue pour qu’elle éclaire la pose de la sonde avec… son portable !
Je vous laisse imaginer mon état de nerf et de souffrance après cet accouchement. La sage femme pleine de bienveillance qui m’avait suivi depuis le début et qui aurait du finir sa garde depuis bien longtemps est venue me voir dans ma chambre les larmes aux yeux en s’excusant de la tournure des événements. Je l’ai remerciée car nous étions Léon et moi en vie même si un peu secoués.
Mon fils a eu la clavicule et l’humérus fracturés il ne supportait pas qu’on le porte ou qu’on lui touche la tête durant ses premiers mois et je devais l’allaiter allongée.
J’ai mis 3 semaines à pouvoir me lever sans m’évanouir
Quant aux points de l’épisiotomie j’ai commencé à aller mieux quand ils me les ont été enlevés.
Hors sur mon dossier à la maternité il est juste spécifié « ventouse difficile ».
Je trouve que c’est quelques peu minimisé.
J’estime avoir subit des violences gynécologiques mais je ne souhaite blâmer personne. Léon et moi sommes en très bonne santé et en vie ce qui est magnifique. Mais je voudrais comprendre ce qui s’est passé car je suis enceinte de 16 semaines et que mon deuxième accouchement approche.
Mes proches (mon conjoint et ma maman surtout) souhaite que je bénéficie d’une césarienne programmée et je ne suis pas contre. Ils ont clairement peur pour ma vie peut-être beaucoup plus que moi d’ailleurs.
En ce qui me concerne je souhaite simplement comprendre si ce qui s’est passé résulte d’erreurs d’où le simple « ventouse difficile » ce qui signifie que je peux envisager un second accouchement par voie basse sereinement. Ou si effectivement ma vie est en danger ce qui nécessiterait une césarienne programmée.
A l’heure actuelle je n’ai aucune réponse et la maternité m’accuse moi (et mes proches) de dramatiser le premier accouchement.
Je vous laisse juger par vous-même….
Ma grossesse était merveilleuse puis j’ai allaité Léon pendant 1 an et le maternage fût une période extraordinaire. Je souhaite simplement aborder sereinement pour ce deuxième bout de chou le seul bémol de notre histoire commune avec mon petit Léon !
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Liliwed dit
Plusieurs réponses ont déjà été abordées ici mais un 2e accouchement après un 1er accouchement traumatique n’est pas simple. Visiblement le dossier est vide et vous semblez être au sein du même Hopital.
Vu les lésions de votre enfant il est possible qu’il ait eu une (fausse) dystocie des épaules, mais elle peut être due à l’expression abdominale (qui brutalise la mère et l’enfant aussi, et ne donne pas forcément un bon axe au bébé, en plus d’être associé à des lésions périnéales importantes). En tous les cas, ça n’est pas une simple ventouse difficile.
Monter sur le ventre et ne pas prendre en compte la douleur, y compris sur une suture (ou l’urgence ne peut plus servir d’excuse) sont entre autre des mauvaises prises en charge en effet.
Pour avoir des réponses il est possible de revoir la sage femme empathique qui a été soutenante après coup, vous pouvez demander à la rencontrer soit au sein de l’hôpital, soit au conseil de l’ordre des sage femme (dans le cadre d’une doléance et non d’une plainte, pour l’avoir fait c’est en effet réparateur et instructif, cela a corroboré nos intuitions avec notre mari, sur une voie basse aussi très difficile et de mauvaises décisions : la Sf pensait que je partirai en césarienne, la gyneco a insisté sur la voie basse). Ça a un peu fermé la boucle aussi (en parallèle de recherches et des soins sur les séquelles qui m’ont aussi appris beaucoup de choses).
Sur la voie d’accouchement il est en effet possible de demander une césarienne programmée, cela n’est pas nécessairement un bras de fer en fonction de l’interlocuteur (elle m’est aussi préconisée après un forceps musclé, mais pour me préserver et changer le scénario).
Pour la voie basse, elle est envisageable aussi si vous la souhaitez et si vous récupérez la confiance suffisante dans votre capacité et celle de l’équipe qui vous accompagnera d’y arriver. Il faut une relation de confiance solide dans le soin à reconstruire après un événement de ce type (vu que la confiance a été abîmée par les mauvaises pratiques et mauvaise communication-y compris après coup-de l’équipe + de l’établissement). C’est plus cette confiance (y compris en vous en ayant détricoté ce qu’il s’est passé et l’origine des difficultés qui ne vous sont pas forcément inhérentes) qui peut aider, plus que le simple et banal « chaque accouchement est différent » qui remet encore les choses sur de l’aléatoire (pas très sécurisant).
En espérant que vous trouviez ce dont vous avez personnellement besoin parmi toutes ces réponses et notamment les témoignages encourageants de celles passées par cette situation 😊
Liliwed dit
Une vidéo postée très récemment par une sage femme concernant la dystocie des épaules qui expliquent des lésions dont a souffert votre bébé :
https://m.youtube.com/watch?v=HbANvuN5tuQ
Liliwed dit
(En complément) : concernant les lésions de votre bébé, « sage femme mais pas que » a fait une vidéo courte mais instructive concernant la dystocie des épaules (visible sur YouTube). Elle explique bien cette complication rare et sa prise en charge et ses conséquences (fractures potentielles pour le bébé).
Aurore dit
Bonjour Alice, comme je comprends malheureusement la position dans laquelle vous vous trouvez. J’ai également subit des violences obstétricales pendant la grossesse et l’accouchement de mon premier (né en décembre 2917). Traumatisée aussi bien psychologiquement que physiquement, j’ai également angoissé à l’idée d’accoucher une nouvelle fois.
Ma deuxième est née il y’a un mois et pour me « soigner » de ce premier accouchement et me fabriquer de meilleurs souvenirs (je n’ai également pas de mémoire de la naissance de mon fils) j’ai décidé d’aborder ma seconde grossesse de manière différente : changement de suivis et de maternité ! J’ai également été suivie par une psychologue à la maternité, sachez que ces consultations sont proposées et sont prises en compte dans votre séjour. Enfin, j’ai transmis mon projet de naissance dans lequel j’ai expliqué les conditions d’accouchement de l’ainé ce qui m’a énormément aidé ! En effet, je n’ai pas eu besoin de me justifier en répétant mon passé à toutes les sages femmes, elles ont mieux compris mon « profile » ce qui leur a permis de mieux aborder mon accouchement et le fait d’écrire est une thérapie en soit… (que vous avez commencé par cet article).
Ah j’oubliais, mon fils est né a 51cm et 4,320kg et ma fille a 54,5cm et 4,430kg donc deux beaux bébés.
L’accouchement de ma fille s’est très bien passé ! Tout en douceur et j’ai pleins d’images et d’émotions de ce moment en tête.
Chaque grossesse et accouchements sont différents, rattachez vous à cette idée !
Je vous souhaite le meilleur pour cette nouvelle naissance.
Simone dit
Bonjour,
J’ai moi aussi eu un accouchement laborieux mais moins impressionnant que le vôtre. Pour résumer j’ai mis 30h à avoir ma fille, j’ai frôlé 3 arrêts cardiaques à cause de la péridurale que je ne supportais pas et j’ai eu la césarienne car j’ai explosé de colère au bout de 30h de malaises, vomissements et un col bloqué pendant près de 15h!!
Je pense que chaque accouchement est différent et puis rien ne vous oblige à aller à cette maternité ?
Le pb des césariennes c’est que ça coûte plus cher à l’établissement de la pratiquer, le suivi en post accouchement est plus long et la récupération aussi. Après si ça peut éviter le genre de situation que vous avez vécu… la demander est compréhensible mais je ne sais pas si vous trouverez facilement un obstétricien qui vous la fasse.
Bon courage et plein de bonheur!!
Christelle VEROVE dit
J’avoue être abasourdie par votre témoignage… Non seulement vous avez en effet subi des violences gynécologiques, mais certains des actes pratiqués sont totalement ILLÉGAUX, comme le fait de vous monter sur le ventre ou de vous retirer le placenta sans anesthésie. On entend souvent qu’il est normal d’attendre une quinzaine de minutes et que la sage-femme appuie sur le ventre pour le faire sortit, mais ça n’est PAS normal ! Surtout que chez certaines femmes, la délivrance peut prendre plus d’une heure. Nous sommes toutes différentes, mais à vouloir tout faire de façon rapide, certains membres du corps médical se rendent coupables de gestes que je qualifierais de honteux et graves ! Je peux comprendre que vous ne souhaitiez blâmer personne mais là, il y a clairement des gens à blâmer, ce que vous avez subi est grave ! Je ne sais pas si le délai de prescription est passé mais je vous conseillerais vivement de porter plainte, si ce n’est pour vous, pour les autres femmes qui risqueraient de tomber entre les mains de ces tortionnaires.
Je comprends donc vos craintes pour votre prochaine grossesse. Si je peux me permettre quelques conseils, si vous le pouvez, changez de maternité ! D’autant plus s’il s’agit de la même que celle dans laquelle vous avez accouché la première fois (vous risqueriez de tomber sur le même personnel), mais aussi tout simplement parce que si le personnel est déjà dans une démarche d’accusation, il ne fait preuve d’aucune empathie (je ne parle même pas de l’infantilisation et de la condescendance) et ça me paraît très, mais alors TRÈS mauvais signe. À 16 semaines de grossesse, vous avez encore le temps de changer et de trouver une équipe avec qui le courant passe, qui vous comprend, qui NE MINIMISE PAS votre expérience et pourra vous assurer que ces pratiques n’ont aucun lieu d’être, bref, qui est bienveillante.
Après avoir lu des tas de témoignages semblables au vôtre, j’avoue avoir une peur panique de tous ces genres de violences, c’est d’ailleurs pour ça que j’ai opté pour un accouchement le moins médicalisé possible. Le milieu hospitalier étant de plus extrêmement anxiogène pour moi, j’avais choisi l’accouchement à domicile, malheureusement devenu impossible dans le contexte actuel (alors qu’être en milieu hospitalier me semble plus dangereux qu’autre chose en ce moment mais bon, là n’est pas la question) Ce genre d’accouchement n’est pas pour tout le monde, pour diverses raisons, mais vous avez d’autres options, notamment une maison de naissance si vous avez la chance d’en avoir une à proximité, ou l’accompagnement global, c’est-à-dire le suivi de A à Z par la même sage-femme, y compris le jour de l’accouchement et les suites de naissance. Cet accompagnement a malheureusement un coût, mais la prime de naissance de la CAF peut vous aider à les couvrir.
Vous pouvez ainsi exposer toutes vos craintes à une personne qui pourra être à votre écoute, et respecter vos souhaits le jour J (dans la mesure du possible) Les accouchements sans péridurale aident également à minimiser les gestes médicaux invasifs, mais je comprends que la douleur puisse parfois être insupportable. Je rejoins donc Mathilde là-dessus.
Dans tous les cas, je vous conseille vivement de faire un projet de naissance (je ne sais pas si vous en aviez préparé un pour votre premier accouchement) et de déléguer à votre compagnon le fait de le faire respecter. Vous avez d’autres choses sur lesquelles vous concentrer à ce moment-là que de vous battre pour faire respecter votre volonté, ce qui vous prend une énergie monstre et compromet le bon déroulement de votre accouchement. S’il n’a qu’un rôle à jouer ce jour-là, je conseille que ce soit celui-ci.
Pour finir, je rejoins l’avis de Virginie, votre accouchement reste VOTRE choix, ne laissez personne vous imposer le sien, ça risquerait d’empirer votre expérience et vous risqueriez de vous sentir dépossédée de votre accouchement.
Dans tous les cas, je vous souhaite bon courage, et que la naissance de votre 2è se passe comme VOUS l’avez décidé (encore une fois, dans la mesure du possible), pas comme on vous l’a imposé.
Cline dit
Bonjour,
Je comprends vos appréhensions pour ce 2ème accouchement, surtout au vu du déroulement du 1er. J’ai également connu quelques difficultés pour mon 1er (80 min de poussées inefficaces après 2 nuits blanches de travail, épuisement, épisio, forceps et j’ai mis environ 9 mois à ne plus ressentir de douleurs), mais pas grand chose à côté que de ce que vous avez vécu.
J’ai depuis eu un 2ème enfant, et l’adage de chaque accouchement est différent, s’est vérifié pour moi. En 8 min de poussée cette fois-ci mon bébé était déjà dans mes bras, et sans épisio ou intervention d’instruments ; du coup une récupération beaucoup plus facile et surtout beaucoup moins douloureuse.
Après je pense que s’il n’y a pas de contre-indication médicale à accoucher par voie basse, c’est à vous que revient le choix de demander ou non une césarienne, en fonction de votre ressenti, de votre niveau d’appréhension. Peut-être qu’en échanger avec une sage-femme pourrait vous être bénéfique? Et, en fonction d’où vous habitez, pourquoi ne pas changer de maternité (je trouve que le retour qu’ils vous font sur votre ressenti de votre 1er accouchement, est jugeant et pas très bienveillant quand même..)?
Je vous souhaite que tout se passe au mieux pour vous et ce bébé à venir.
Louise dit
Bonjour,
J’ai connu un début d’accouchement similaire pour mon 1er enfant (ventouse, appui sur le ventre par une sage femme, episio sans consentement).Pas de risque vital me concernant mais une péridurale inefficace donc j’ai cru ne jamais y arriver…
Pour le 2ème accouchement, j’ai choisi de changer de maternité et ai tenté l’accouchement physiologique (activité dans la mesure du possible, bains, massages par mon mari, accunpuncture pour les contractions dans les reins). J’ai aussi eu mal, la fin a également été lente (mon bassin est relativement étroit mais j’en garde un bien meilleur souvenir. Je m’en suis remise beaucoup rapidement physiquement, sans parler du psychologique 😊
Je croise les doigts pour que tout se passe bien pour vous !
Mathilde dit
Bonjour
On ne peut imaginer ce que vous avez traversé….
Il faut savoir qu’à la suite dune grossesse dite « physiologique », l’accouchement ne présentera pas (dans l’immense majorité des cas) de complications lorsque le processus naturel n’est pas perturbé.
Dans un très grand nombre de cas, ce sont les interventions médicales qui précipitent des complications en cascade (pose de péridurale qui entraîne un travail qui stagne, une maman qui ne bouge plus, episio puis l’utilisation d’instruments, entre autre…)
L’accouchement est traumatique pour la maman et l’enfant.
Je ne peux que vous encourager à lire des ouvrages axés sur la physiologie de la naissance pour en comprendre ses mécanismes et comment aider l’accouchement à se passer au mieux (j’accouche demain, que faire de la douleur? Est un de mes favoris).
Ce n’est pas une promesse de réussite mais une manière d’aborder sereinement un mécanisme naturel que vous aurez compris!
Je vous souhaite une source et très belle rencontre avec votre bébé
Aude dit
Bonjour,
Quel accouchement en effet ça a dû être très difficile!!!
Pour ma part j’ai aussi subit une « ventouse difficile » après un travail très très long (72h…) avec une grosse épisiotomie et des complications gynécologiques. Enceinte de mon deuxième enfant j’ai eu beaucoup de craintes donc je sais pas où vous passez en ce moment, mais mon deuxième accouchement a été complètement différent…
Il faut savoir qu’une césarienne est une opération chirurgicale, on vous ouvre le ventre ce n’est pas anodin et le risque de complications et plus élevé qu’après une voix basse…
Si je peux me permettre un conseil le passage a été fait donc faites part de vos craintes à la maternité qui vous accouchera et profitez de votre grossesse… ce prochain accouchement sera très certainement très différent!
Bon courage 😀
Virginie dit
Bonjour, chaque accouchement est tellement différent qu’il est difficile de vous dire ce qui sera mieux pour vous ou votre bébé à venir. Le prochain peut être tellement merveilleux et comme une lettre à la poste. Vous pouvez aussi avoir quelques exigences des maintenant avec la personne qui vous suit et qui inscrira dans votre dossier pour le jour J. Et même le jour J il ne faut pas hésiter à vous exprimer et dire ce qui ne vous convient pas. Ne laissez pas votre entourage vous convaincre de ce qui est « mieux » Suivez votre instinct, si vous voulez tenter le voie basse alors faites le, si vous ne le voulez pas alors ne le faite pas mais ne laissez personne décider pour vous vous le regretteriez. Bon courage.